@Ouam (Paria statutaire non vacciné)
Oui, la découverte de la pénicilline a été une avancée majeure, capitale même, dans la santé des êtres humains, et d’autres antibiotiques par la suite. Avant les antibiotiques, une simple morsure de chat pouvait vous tuer. Ensuite, le second facteur qui a aidé l’être humain c’est l’hygiène et la qualité de l’eau. L’eau polluée était un vecteur de maladie considérable, elle l’est toujours dans certains pays du monde.
Il ne faut pas mélanger les bactéries, leurs toxines, les parasites et les spores, et les « virus artefacts ». Personne ne découvre de virus Ouam. Les « virus » sont une construction mentale, leur « génome » est généré par ordinateur. D’ailleurs, le fonctionnement que d’aucuns leur prêtent est en opposition absolue avec la réalité observable (comme la réplication dans la cellule -jamais observée-, comme la contagion et la contamination— contraire à la dynamique des épidémies).
Nous savons comment fonctionnent les antibiotiques en détruisant la paroi cellulaire des bactéries ou en empêchant la production de protéines chez elles. Les champignons produisent des antibiotiques, les bactéries produisent des antibiotiques, les plantes produisent des antibiotiques. Ceci fait partie de leur système de défense. L’être humain se protège des agressions par un système immunitaire qui agit en cascade. Il sait aussi produire des « peptides anti-microbiens », mais il est plutôt organisé d’une manière complexe avec différents niveaux de protection. Les « barrières extérieures » sont primordiales, avec l’immunité de première ligne. Lorsque cette dernière cède, que les agents pathogènes passent dans la circulation sanguine, alors l’organisme est en grand danger. C’est là qu’interviennent précisément les « antibiotiques » qui peuvent gérer la situation délétère dans la circulation sanguine. Mais une molécule, comme le dioxyde de chlore, parvient très bien à éliminer les bactéries de la circulation sanguine, avec l’immense avantage que les bactéries ne peuvent pas s’en protéger. A tel point que ce dioxyde de chlore est utilisé aujourd’hui à l’échelle « industrielle » pour protéger les fruits et légumes de l’attaque des micro-organismes, et pour purifier l’eau du réseau, celle que nous consommons (Il est particulièrement utilisé dans les pays où l’eau contient beaucoup de matières organiques et où les exigences en matière de qualité sont élevées).
La fièvre est un mécanisme de défense lorsque les agents pathogènes ont pénétré la circulation sanguine, la coagulation du sang est un autre aspect de notre défense immunitaire pour empêcher les agents pathogènes de se répandre trop loin. Tout ceci est parfaitement « régulé », ni trop ni trop peu. Il se trouve que dans des organismes atteints par certaines pathologies, comme l’hypertension, la réaction de protection par coagulation peut très rapidement devenir un véritable danger avec des risques de thrombose et d’accidents cardiovasculaires.