@Ouam (Paria statutaire non vacciné)
Hélas Ouam, l’Est de la France, même dans un petit village, reste un secteur où la pollution atmosphérique peut être intense. Les inversions thermiques sont fréquentes dans le grand Est.
Si tu veux regarder ça de plus près tu pourrais consulter « Atmo grand Est » qui fait un gros travail sur les conditions de pollution et la qualité de l’air. Il n’y a aucun doute Ouam, lors d’une « inversion thermique », même les petits villages du grand Est sont atteints par des niveaux de pollution augmentée. Le grand Est est connu pour ses conditions météorologiques favorables à l’installation des inversions thermiques (anticyclone, froid au sol, absence de pluie, absence de vent). La Bretagne, au contraire, est souvent protégée des inversions thermiques par la présence de pluie et de vent, par des températures plus douces avec le « gulf stream » qui passe au large.
https://www.atmo-grandest.eu/
Et si tu veux développer ta réflexion sur les méfaits de la pollution, tu pourrais lire ce document de juillet 2020 du « groupe de la banque mondiale », assez bien fait, et assez « objectif ». Il y a tellement de choses qui sont passées sous silence !
Extrait :... « À ce stade, on ne peut pas affirmer avec certitude l’existence de liens entre COVID-19 et pollution atmosphérique, étant donné qu’il est impossible de dénombrer avec précision les cas d’infection ou même les décès dus à la maladie. En outre, les effets sont influencés par des facteurs tels que la capacité des établissements de santé, leur accessibilité et la volonté de chacun de se rendre à l’hôpital. Néanmoins, sur la base de nos connaissances actuelles et comme indiqué plus haut, on peut raisonnablement postuler un lien général entre la pollution de l’air et les infections respiratoires.
.... En outre, lors de l’épidémie de SRAS en 2003 (le virus à l’origine du SRAS est proche du coronavirus actuel), plusieurs études ont mis en évidence une corrélation entre la pollution de l’air et une augmentation de la mortalité due au SRAS. L’une d’entre elles a ainsi révélé que les patients atteints du SRAS et provenant de régions de Chine où l’indice de pollution de l’air était élevé avaient deux fois plus de chances de mourir du SRAS que ceux provenant de régions ayant un indice faible. »....
https://www.banquemondiale.org/fr/news/immersive-story/2020/07/01/air-pollution-locked-down-by-covid-19-but-not-arrested