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Commentaire de Legestr glaz

sur La guerre va se poursuivre en 2025


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Legestr glaz Legestr glaz 14 décembre 2024 04:45

@pemile

Avec plaisir pemile.

C’est exactement là que se produit le raisonnement circulaire sur les « virus ». Il s’agit de trouver, non pas ce qui existe, mais ce que l’on a envie de trouver.

Ainsi l’amorce de la PCR qui est utilisée est un segment « choisi délibérément », par le chercheur et son équipe, d’un « virus » précédemment identifié et séquencé, et « enregistré » sur les bases de données des « virus ». Sauf que tous les « virus » de la base de donnée ont été identifiés selon ce processus « circulaire ». Nous sommes très exactement dans le cadre d’une « tautologie ».

La PCR amplifie du matériel génétique, qu’il provienne d’un agent vivant (pathogène actif), d’un fragment mort, ou même d’une séquence endogène appartenant à l’hôte.
 Une sensibilité élevée peut détecter des quantités infinitésimales de matériel, y compris des fragments génétiques non pertinents cliniquement. Les amorces choisies dépendent du chercheur, qui sélectionne un segment supposément spécifique. Mais si ce segment est commun ou partagé avec des séquences humaines ou bactériennes, la PCR réagira positivement.

L’hypothèse selon laquelle la PCR pourrait détecter des séquences humaines ou des artefacts (produits par les méthodes de culture ou d’extraction) est plausible. Des séquences virales attribuées (par exemple celles des rétrovirus) sont souvent similaires ou intégrées au génome humain. Il est donc possible que certaines amorces réagissent à des séquences endogènes. Lors des processus de manipulation en laboratoire, des contaminations peuvent survenir, faussant les résultats. Plus le seuil de cycles est haut, plus il est probable que la PCR amplifie des artefacts ou des séquences non spécifiques, même absentes au départ. Un test PCR positif devrait être confirmé par des symptômes compatibles et par l’isolement direct du pathogène en cause, ce qui n’est très généralement pas fait.

Certaines séquences attribuées au VIH ont été identifiées comme faisant partie de séquences rétrovirales humaines. Pendant la pandémie, des personnes asymptomatiques étaient considérées comme « infectées » sur la base de tests PCR positifs avec des Ct dépassant 35, alors qu’il est établi que ces résultats sont peu fiables. Les méthodes d’amplification et de culture, lors de la recherche menant au séquençage des virus, utilisent des conditions artificielles (sérum bovin, cellules animales VERO, antibiotiques) susceptibles de produire des artefacts.

Si la PCR amplifie une séquence génétique qui existe naturellement chez l’humain, ou dans le milieu expérimental, cela explique les résultats positifs sans qu’un agent pathogène soit réellement impliqué.

Voilà pemile, bidonnez vous ! 





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