@Eric F
copié-collé : « Les protéines des singes et celles de bovins sont connues, celles des virus sont distinctes de celles-ci, il ne faut pas prendre les biochimistes que pour des cons et des truqueurs. »
Ils seraient avisés, ces chercheurs, de respecter les protocoles de recherche avec des contrôles plus rigoureux, comme les contrôles négatifs. Mais, ils se mettent la tête dans le sable pour ne pas voir leurs dérives.
Et les vésicules extra cellulaires et les exosomes émis par les cellules VERO ? Et les vésicules extra cellulaires et les exosomes émis par les cellules du sérum bovin, ils deviennent quoi ? Quelqu’un les retrouve dans les « fragments d’ADN » ? Parce que, oui, les vésicules extra cellulaires et les exosomes transportent de l’ADN, de l’ARN et sont constitués de lipides et de protéines. Et tout ceci baigne dans une solution cytotoxique qui amène à la mort cellulaire. Des débris de toutes sortes peuvent exister dans la préparation objet de l’étude. Mais de ceci tout le monde se moque, vous le premier Eric F, puisqu’aucun contrôle négatif n’est réalisé pour se « prémunir des risques de biais méthodologiques ». Mais les biais méthodologiques, vous passez par dessus, n’est-ce pas Eric F. La « virologie peut s’en passer et on peut croire au résultat des expériences sans avoir le moindre doute.
Il n’y a dans le protocole de la recherche virale aucun contrôle négatif. Tout l’édifice branle de partout et vous n’y voyez que du feu. C’est votre choix d’y croire, je le respecte. Pour moi ce protocole n’est pas sérieux et ne correspond d’ailleurs pas à la rigueur scientifique.
Et l’amorce, Eric F, elle vient d’où l’amorce qui est utilisée pour faire fonctionner la PCR à la recherche d’une séquence d’ADN ? Vous le savez ?
Copié-collé : »Ceux qui niaient jadis les bactéries ont fini par en convenir, nier les virus est désormais de même nature.« . Cela n’a rien à voir. Les »saignées« aussi étaient de »bonnes méthodes d’intervention. Et la mise en quarantaine des personnes atteintes de scorbut permettaient de se débarrasser de la maladie !
Avec les « virus » ce sont des histoires à dormir debout qui sont racontées. Seuls les virus, dans notre monde, sont en mesure de transformer l’ARN en ADN grâce à une protéine qu’ils produisent. Ils sont vraiment très forts. Mais quand il s’agit de les découvrir dans une sécrétion humaine, alors ils se font très discrets puisqu’on ne les retrouve « jamais » ! Ils faut les cultiver ! Quant à la contamination et à la propagation, déjà Milton Rosenau, il y a plus de 100 ans, n’avait trouvé aucune preuve ! Et ces preuves, à l’heure actuelle, n’ont jamais été apportées. Pierre Chaillot le démontre dans son ouvrage en utilisant les chiffres officiels.
Alors, parler des bactéries pour accréditer la thèse de l’existence des virus, c’est comme sortir l’argument de la terre plate ! Parce que « rien » dans la « théorie virale » ne tient l’analyse. Si les gens tombent malades, ce n’est pas le fait de « virus », bien d’autres explications sont plus rationnelles ! Est-ce que vous arrivez à remettre en question l’interprétation des événements de santé en vous concentrant sur les mécanismes physiopathologiques réels et en ne confondant pas corrélation et causalité ?