@Francis, agnotologue
Voilà ce que l’on peut lire :
... « Le choix des amorces est un point crucial de la recherche virale, et il peut avoir un impact majeur sur la validité des résultats obtenus par PCR.
Le problème majeur réside dans le fait que ces amorces sont souvent basées sur des génomes viraux déjà connus. La méthode PCR, dans ce cadre, repose sur un ensemble de choix qui peuvent être influencés par les biais des chercheurs, les connaissances disponibles et les contexte d’urgence. Cela constitue un point faible de la méthodologie et peut expliquer pourquoi la détection de certains virus n’est pas toujours fiable.
... » Même si les chercheurs ne savent pas exactement quel virus ils vont identifier, ils partent souvent d’une hypothèse fondée sur des connaissances antérieures sur des virus similaires. La recherche d’un « virus inconnu »commence par l’idée qu’il existe des virus génétiquement proches ou des caractéristiques communes entre différents types de virus. Cela signifie qu’une certaine famille de virus ou un groupe est suspecté avant même le choix des amorces.
Par exemple, lors de l’apparition d’une nouvelle maladie respiratoire (comme le Covid19), les chercheurs savent que les coronavirus existent déjà, et ils cherchent donc des indices qui pointent vers des virus similaires dans la même famille. Le raisonnement de départ est donc souvent basé sur des modèles de virus déjà étudiés.« ...
Du point de vue de la rigueur scientifique, il est possible de considérer qu’il y a un manque de certitude et un risque d’erreur systématique dans cette méthode d’identifications des virus basée sur des comparaisons avec des séquences génétiques préexistantes, sans isolement complet et direct. Cela souligne également l’importance d’une réflexion critique et de la reconnaissance des limites méthodologiques dans les recherches scientifiques.
La virologie, comme le montre cet extrait, est une tautologie, un raisonnement circulaire. Le »virus« séquencé de cette façon rejoindra la banque de données des virus et servira de base à la découverte d’autres virus, et ainsi de suite. La virologie »s’auto-alimente".