En conséquence, voici à quoi il aboutit, après avoir, à juste titre,
refusé de sacrifier à la notion plus que bâtarde de « capital humain »
par définition, le capital humain est le temps de vie travaillé disponible, donc, utilisable par celui qui détient ce capital, par quel que moyens que ce soit, essentiellement en détenant la face créance de la monnaie
Si le capital disponible est supérieur au besoin du capitaliste, il reste un capital qui coûte et ne rapporte rien puisqu’il est non employé pour la création d’aucun bien et service. Ne constitue donc pas une source de plus-value.
Cela dit, le principe du salariat n’est pas le problème, en économie fondée sur la division du travail c’est même le seul qui permettre une économie fondée sur le mérite personnel, qui interdit de lui même son appropriation par autrui à son profit.
En système capitaliste, le capital humain s’incorpore dans le capital machine pour s’efforcer d’en extraire le maximum de plus-valu ou profit lors de sa vente sur le marché et où il faut dissimuler cette part en dissimulant le coût de production avec le capital humain qui est le seul qui s’échange en terme monétaire. E=MC2 parait il, ici, cela se traduit par la monnaie=la masse immobilisée par sa tension (valeur en terme monétaire).
En système communiste, c’est en connaissant le coût de production qui contient aussi le capital humain, qu’on peut l’ajuster en fonction de l’équilibre du marché et où le profit est donc dans l’économie de moyens de production dont la durée d’usage est une donnée clé, car le profit est collectivisé en terme de temps de vie dédié à la production.
Mais de mon point de vue, la notion de capital humain n’est pas bâtarde dès lors où ce capital est vu comme constitutif de la valeur de la monnaie. Avec la face dette ou devoir étant dû par les personnes en recherche de créance et qui donc, sont disponible à vendre leur force ou capacité de travail à ceux qui détiennent la face créance ou crédit ou droit et qui décident donc de l’emploi de cette force ou capacité de travail.
c’est le simple constat d’une réalité physique.
L’impôt ayant pour une partie plus ou moins importante de subvenir aux besoins essentiels de ceux qui sont sans emplois et donc, sans pouvoir gagner des droits de créance monétaire.
Etc...