@Francis, agnotologue
C’est assez simple à comprendre.
Dans la culture ayant servi à l’identification du SARS-COV2, des fragments d’ADN étaient présents. Ils ont servi à « générer » le génome du SARS-COV2 mais en s’appuyant sur le génome d’un précédent virus (identifié en 2018 par une équipe chinoise chez une chauve-souris).
Dans cette même culture, des anticorps anti-spike ont permis de déceler la présence de cette protéine, elle aussi « précédemment identifiée ». La vaccination ARNm, nouvelle version, avait pour objet d’introduire dans la cellule humaine cet ARNm, qui devait amener la cellule à produire la protéine spike. Une fois celle-ci produite, l’organisme devait la présenter au CMH (complexe majeur d’histocompatibilité. C’est de la théorie évidemment parce que rien n’est moins certain.
Il faut quand même spécifier que dans cette culture, non seulement figuraient les éléments de la sécrétion, objet de l’étude, mais aussi des cellules de singe vert (cellules VERO), des cellules de sérum foetal bovin et des antibiotiques. Sachant que d’une manière certaine, les cellules animales (les cellules prélevées mais aussi celles du singe et de la vache) vont émettre et relâcher dans la culture en question des vésicules extra cellulaires et des exosomes. Et toutes ces cellules, sous l’effet de la solution toxique, vont entrer en apoptose émettant ainsi des fragments de toutes sortes. Ainsi, dire que les fragments d’ADN ou d’ARN retrouvés dans cette culture sont d’origine virale, parce que certains de ces fragments répondent à la PCR, c’est aller bien vite en besogne surtout qu’aucun contrôle négatif n’est réalisé. C’est toute la méthodologie qui est suspecte.