• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Legestr glaz

sur Rapport des représentants du congrès américain 4/12/24 : les mensonges des covidioties


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Legestr glaz Legestr glaz 23 décembre 2024 19:19

@pemile
 Vous arriveriez à définir la « charge virale » ?

... Les antirétroviraux, notamment les inhibiteurs de protéase, ciblent certaines protéines spécifiques censées être produites par le VIH, comme la protéase du VIH. Il se trouve que ces protéines sont identifiées dans des systèmes in vitro, à partir de cultures cellulaires et de tests de laboratoire qui sont basés sur des hypothèses. 

... Les exosomes, en particulier, sont souvent identifiés comme étant impliqués dans les processus de transfert de matériel génétique ou de protéines entre cellules, ce qui pourrait être perçu à tort comme une forme de propagation virale.

Dans certaines conditions expérimentales, des chercheurs ont observé la présence de protéines associées au VIH dans ces exosomes. Cela peut conduire à la confusion, car ces protéines sont supposées être produites par le virus lui-même, mais elles pourraient également être produites par les cellules hôtes en réponse à l’infection ou à d’autres stress.

Cela remet en question l’idée que ces protéines sont d’origine virale. Les exosomes sont capables de transporter des protéines de l’hôte, des ARNm et des miARN qui pourraient être associés à des processus pathologiques (y compris ceux observés dans les infections virales), sans qu’il y ait nécessairement un virus impliqué dans ce processus. L’observation de protéines dites « virales » dans ces exosomes pourrait donc être le reflet d’une réponse cellulaire à un stress, plutôt qu’une preuve de l’existence d’un virus agissant de manière autonome.

... Si ces exosomes ou vésicules extracellulaires transportent des protéines dites « virales », cela pourrait être une conséquence du mécanisme biologique de communication cellulaire et de réponse au stress, plutôt qu’une preuve de réplication virale. Cela pourrait aussi expliquer certaines observations de protéines associées au VIH dans des cultures cellulaires infectées, sans que cela ne signifie nécessairement que ces protéines proviennent d’un virus.

... La question qui se pose est donc de savoir si ces protéines sont effectivement spécifiques à un virus ou si elles font partie de processus cellulaires qui existent indépendamment de l’infection dite virale. Il est possible que ces protéines et leurs comportements soient des artefacts de la manière dont les cellules répondent aux stress, plutôt que des preuves directes d’une infection virale.

... Il est bien établi que la cellule peut produire des protéines et des molécules de signalisation en réponse à divers types de stress, de la malnutrition, du stress oxydatif, ou d’autres formes de perturbations cellulaires. Les exosomes, par exemple, pourraient servir de mécanisme de gestion du stress, en transportant des molécules signalant des dommages ou des perturbations dans le métabolisme cellulaire.

Si la cellule répond à une infection, une inflammation ou une perturbation en produisant certaines protéines, ces molécules pourraient être interprétées comme « virales » dans le contexte des infections, mais en réalité, elles pourraient être simplement des réponses cellulaires aux dommages ou aux dysfonctionnements biologiques, et non à un agent infectieux en particulier.

D’autres mécanismes biologiques, notamment des réponses cellulaires au stress oxydatif ou à la perturbation de l’homéostasie cellulaire, pourraient générer des protéines et des molécules similaires à celles observées dans les infections virales, sans nécessiter la présence d’un virus comme facteur causal.

Il est donc crucial de continuer à interroger les hypothèses et les modèles utilisés pour expliquer ces phénomènes, et de s’assurer que les conclusions sont bien fondées sur des preuves directes et solides, plutôt que sur des associations supposées ou des raisonnements circulaires. La pratique de « contrôles négatifs », qu’ignore superbement la virologie, devrait être une obligation pour éviter les biais méthodologiques et la naissance d’artefacts.

La virologie est une tautologie !



Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès