@ETTORE
Vous écrivez :« N’oublions pas, que le labo de Wuhan, était pointé du doigt, faisant de ce pays, un des principaux responsables de l’origine du virus ( sans parler de la sauterie du Pangolin, et chauve souris, eux aussi avec papier d’identité, bien certifié, délivré par le marché lapidaire à ciel ouvert ) »
Il faut savoir que jamais les chercheurs en virologie n’ont pu extraire de « virus » directement de sécrétions humaines. Il faut toujours passer par l’étape de la « culture » in vitro. Mais là encore, jamais les chercheurs en virologie n’ont pu isoler un virus complet. Les « génomes » qui nous sont présentés « constamment », sont une « élaboration hypothétique » à partir de plusieurs « fragments » d’ADN ou d’ARN découverts dans la « culture » par test PCR. Test PCR dont l’amorce est « choisie » par l’équipe de chercheurs qui traitent la culture dans la base de donnée des « virus » (dont les génomes ont eu même été générés par « hypothèses successives ». Cela s’appelle une tautologie).
Le SARS-COV2, par exemple, a été identifié et séquencé, vous ne le devinerez jamais, en utilisant une amorce provenant du génome d’un virus découvert en 2018, par une autre équipe de chercheurs chinois, chez une « chauve souris ». Et oui ! Tout ceci est absurde. Nous assistons à un raisonnement circulaire sans fin.
Dans les laboratoires P4, il n’est pas question de virus, qui ne peuvent être « que » des artefacts. Dans ces laboratoires il est sans doute question de recherches sur les « toxines bactériennes », comme par exemple « Bacillus anthracis ». Une guerre biologique pourrait nous pendre au nez (elle pourrait même cibler des récoltes et non des humains). Mais les armes biologiques sont interdites. Alors on claironne que les chercheurs travaillent sur des « virus ». Quant à ceux-ci, il ne faut pas s’en inquiéter, ils sont aussi inoffensifs que les licornes. Il vaudrait mieux observer la météorologie et les inversions thermiques pour voir arriver les épidémies de maladies respiratoires, comme celle du covid19 qui correspondait, justement, à un épisode d’inversion thermique en Europe qui a eu lieu après la mi-mars 2020.