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Commentaire de Christophe

sur L'histoire du monde ne commence pas au moment où les victimes ripostent et ce ne sont pas les Occidentaux qui sont les victimes !


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Christophe 27 décembre 2024 14:47

@Enki

En fait cela date de bien plus longtemps mais là aussi, nous parlons très peu de l’histoire.

Je suis en train d’étudier l’histoire de la politique internationale des Etats-Unis parce qu’il me semble important de comprendre comment ils sont parvenus à écraser le monde par leurs outils politiques, économiques et militaires.

Je suis reparti de la doctrine Monroe datant de 1823, celle qui a permis dans un premier temps de lutter contre les nations européennes (Espagne, France, ..) et qui a abouti à reléguer ces pays européens à des nations sans importance sur la scène internationale. Et je remonte l’histoire petit à petit. Le rôle de gendarme du monde exclusivement adressé aux USA c’est en 1906, le corolaire de Roosevelt :
L’injustice chronique ou l’impuissance qui provient d’un relâchement général des liens de la société civilisée peuvent, en Amérique comme ailleurs, justifier en dernier ressort l’intervention d’une nation civilisée. Et, dans l’hémisphère occidental, l’adhésion des Etats-Unis à la doctrine de Monroe les oblige, à leur corps défendant, à exercer des pouvoirs de police internationale dans des cas flagrants d’injustice ou d’impuissance.

Au nom de la liberté et de la démocratie, de l’autodétermination des peuples, les américains ont poussé dans leur pré carré (Amérique du Sud et Centrale) des dictateurs à prendre le pouvoir dans le seul et unique but de défendre leurs intérêts.

Dans le même temps ils se sont spécialisé dans la falsification de l’histoire. L’exemple le plus éclatant étant de classer Augusto Sandino dans les communistes alors que c’était un nationaliste libéral qui luttait contre un conservateur dictateur maintenu par les américains. En fait l’histoire écrite par les occidentaux est souvent parsemé de contre vérité ou de mensonge afin de s’assurer que nous avons toujours été du coté du bien, cela rassure les imbéciles.


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