@Enki
En fait, je crois me souvenir que l’ARNm était supposé rester localisé dans les cellules du bras, avec une faible durée de cohésion avant de se déliter, mais que les fragments de protéines spike générés sont transportés dans l’organisme de telle manière à être reconnus et mémorisés par le système immunitaire, et être ensuite progressivement résorbés en quelques jours.
Je ne sais pas s’il a été établi que le mécanisme de transcription inverse dans l’ADN d’une cellule se soit produit pour le vaccin, il n’y a du reste pas de distinction avec l’ARN du virus lui-même pour lequel cela pourrait se produire, avec probabilité infime, et localisé dans une cellule et non pas propagé dans le génome de l’ensemble de l’organisme
La sortie des vaccins lors de l’épidémie avait été précipitée et les étapes raccourcies ce qui posait un fort problème de risque, mais quatre ans plus tard les nouveaux produits doivent suivre le processus normal, il devrait donc être complété pour le vaccin en question.
La question de ’’fuites’’ pour un vaccin à virus mal désactivé se pose, mais on ne voit pas comment des fragments de protéine spike (très rarement la protéine entière) qui seraient exhalées puisse être contaminants.
Concernant les tests d’efficacité, je ne sais pas comment c’est établi en absence de la maladie, probablement en mesurant les anticorps générés, et on a vu que les chiffres miraculeux annoncés pour les vaccins pfizer et autre n’ont pas été tenus en situation de terrain.
Enfin à propos de la souche utilisée, dans cet article, il est écrit ’’Updated self-amplifying (SA) mRNA COVID-19 Vaccine, ARCT-154 (Kostaive) : the updated vaccine is targeted to protect against the JN1 lineage of omicron subvariants ’’