@Eric F
Les virus ne sont que de vulgaires artefacts. La protéine spike répond à la même logique. Les vaccins sont une hérésie.
La virologie ne s’est pas interrogée depuis des dizaines et des dizaines d’années. Elle n’a rien « ré-examiné » depuis la découverte des exosomes, des vésicules extra cellulaires et des corps apoptotiques. Elle n’a pas fait une seule observation après la découverte du transfert d’ADN et d’ARN mitochondrial au noyau nucléaire.
Ce qui veut dire que les chercheurs en virologie ne peuvent pas dire que les fragments d’ADN ou d’ARN qu’ils retrouvent dans les cultures sont d’origine « virale » ou ne le sont pas. La notion de « fragment viral » est une théorie jamais confirmée. C’est une démarche intellectuelle, rien d’autre. Il n’y a strictement aucune preuve que ces fragments d’ADN ou d’ARN soient pathogènes. Ces fragments d’ADN ou d’ARN, voire de protéines, sont, selon toute vraisemblance, des erreurs d’interprétation de phénomènes naturels. Etant donné que jamais un virus « entier » n’a été découvert, tous les génomes viraux, sans exception, sont des constructions mentales obtenus à partir de fragments d’ARN ou d’ADN mal interprétés.
... « Le phénomène de transfert d’ADN mitochondrial au noyau (ou transfert mitochondrial-nucléaire), bien que relativement peu compris, est un processus par lequel des fragments d’ADN mitochondrail sont intégrés dans l’ADN nucléaire. Ceci peut se produire en réponse au stress cellulaire.
Lors des études virologiques, on cherche des marqueurs spécifiques de l’infection virale dans les cellules comme des séquences d’ADN ou d’ARN. Ainsi, si un stress induit la libération de fragments d’ADN mitochondrial ou leur intégration dans l’ADN nucléaire, ces fragments peuvent être détectés et interprétés comme des produits liés à une infection virale. Ce qui veut dire que des fragments d’ADN mitochondrial intégrés au génome cellulaire peuvent être mal identifiés comme étant d’origine virale.
Lorsqu’on analyse l’ARN dans des cultures pour rechercher des infections virales, il serait crucial de distinguer les ARN d’origine virale de ceux provenant des mitochondries. Si des fragments d’ARN sont libérés ou transférés dans le noyau, ils peuvent être détectés comme des signatures génétiques erronées entrainant des conclusion fausses sur la présence de »virus« .
Cela met en évidence la nécessité d’utiliser des méthodes rigoureuses pour vérifier la provenance des fragments d’ADN ou d’ARN retrouvés. Par exemple, des contrôles négatifs et positifs doivent être utilisés pour confirmer que les fragments détectés proviennent bien d’un agent viral, d’un agent pathogène, et non de mécanismes cellulaires naturels mais non pris en considération. Il devient important et incontournable de considérer le profil de l’ADN mitochondrial dans les analyses afin d’éviter des confusions avec des fragments supposés viraux ou d’autres artefacts.
Les »virus" peuvent être en réalité des manifestations de processus cellulaires naturels, mal interprétés en raison de méthodes de détection insuffisamment rigoureuses. Ceci mérite une réévaluation fondamentale de la virologie qui doit remettre en question non seulement les méthodes de détection, mais aussi les concepts de base de la théorie virale, tels que la contagion et la propagation épidémique, jamais observées mais fantasmées.
La virologie ne s’est jamais remise en question et poursuit son chemin de raisonnement circulaire en refusant d’intégrer les nouvelles découvertes sur les exosomes et le processus de transfert d’ADN et d’ARN mitochondrial au noyau cellulaire.
Transfer of mitochondrial DNA into the nuclear genome during induced DNA breaks
https://www.nature.com/articles/s41467-024-53806-0