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Commentaire de Legestr glaz

sur Kostaive® auto-amplifiant : le mode d'emploi d'une bombe à spicules du covid


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Legestr glaz Legestr glaz 2 janvier 22:15

@pemile

 pemile commence l’année 2025 comme il a fini l’année 2024 : avec zéro argument ,ou démonstration, mais toujours avec une petite insulte en bandoulière. C’est à ça qu’on le reconnait d’ailleurs ! 

Voyez vous, pemile, ce serait bien, par exemple, de nous parler de ce processus de transfert d’ADN ou d’ARN mitochondrial au noyau nucléaire. 
Parce que, figurez vous, que cela existe et que cela a été parfaitement bien démontré. Contrairement à ce qui se passe avec les fragments d’ARN et d’ADN découverts dans les cultures cellulaires, que « l’on » prétend d’origine « virale » parce que l’on a « décidé » qu’il s’agissait de fragments viraux, par « convention ». 
Rien ne démontre que ces fragments sont d’origine « virale » et sont la cause de pathologies ! Rien ! 
C’est d’ailleurs très exactement ce que disait Kary Mullis, prix Nobel pour l’invention de la PCR : rien n’a jamais démontré que le VIH était la cause du SIDA !

La virologie est rattrapée par la réalité biologique.

— Les fragments d’ADN mitochondriaux (ADNmt) peuvent être incorporés dans le génome nucléaire (générant des séquences appelées « Numts » ou Nuclear Mitochondrial DNA Sequences).
— Les « Numts » peuvent compliquer l’analyse de l’ADNmt en laboratoire, en créant des faux positifs ou des ambiguïtés dans les séquençages.
— L’ARNmt peut être capturé par des mécanismes nucléaires de rétrotranscription pour être intégré dans le génome nucléaire.
— Ces transferts persistent à faible fréquence et témoignent d’un flux constant de matériel génétique entre organites et noyau.
— les fragments d’ADN ou d’ARN identifiés dans les cultures cellulaires lors de la recherche virale peuvent être, tout simplement, des artefacts ou des produits biologiques endogènes et non nécessairement des marqueurs d’agents pathogènes externes.
 Parce que l’ADNmt est connu pour être libéré dans le cytoplasme lors de stress cellulaire ou de dysfonction mitochondriale.
 Les fragments d’ADNmt sont mal interprétés comme étant des séquences virales car leur origine n’est pas soigneusement distinguée. 
 Les mitochondries produisent des ARN messagers (ARNm), ARN ribosomiques (ARNr), et ARN de transfert (ARNt), qui sont libérés dans le milieu extracellulaire ou intracellulaire lors de l’apoptose ou de stress. Tout ce qui se passe lors de la culture cellulaire en présence d’antibiotiques. Lors des passages en culture, des cellules subissent des processus de mort cellulaire (apoptose ou nécrose), libérant des fragments d’ADN et d’ARN dans le milieu.
 Ces fragments sont intégrés dans les analyses parce que des contrôles rigoureux ne sont pas effectués ! 
 Les techniques couramment utilisées pour identifier les virus, telles que le séquençage de nouvelle génération (NGS), la PCR et les cultures cellulaires, ont leurs limites et conduisent à des interprétations erronées.
 Lors de l’analyse des génomes viraux, des logiciels assemblent des fragments d’ADN ou d’ARN en séquences cohérentes. Cette étape repose sur des hypothèses. Des biais sont introduits parce que des séquences « endogènes » ressemblent à des séquences virales. 
Les logiciels de bioinformatique confondent des séquences humaines ou mitochondriales avec des séquences virales.
 Les cultures cellulaires utilisées pour, supposément, propager des virus, incluent souvent du s
érum bovin qui contient des fragments d’ADN et d’ARN exogènes. Des antibiotiques qui induisent un stress cellulaire et altèrent l’expression génétique. Des cellules VERO de rein de singe vert qui présentent des instabilités génomiques et expriment des séquences endogènes potentiellement confondues avec des séquences virales.
 La PCR amplifie des séquences spécifiques, mais si ces séquences existent sous forme endogène (comme des Numts), elles peuvent être interprétées à tort comme virales.
 Ces fragments endogènes, et non pathogènes, remettent en question la théorie classique des infections virales, en particulier pour les agents viraux identifiés uniquement via des séquences in silico.


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