@pemile
Bonjour pemile. Votre musette est vide. Les insultes, je connais. Vous pouvez bien écrire que je suis un clown que j’écris des âneries. Mais ceci n’est « que » votre jugement. Et de votre jugement, je ne tiens pas compte. Vous voyez comme les choses sont simples.
Alors un petit mot sur le transfert d’ARN et d’ADN mitochondrial au noyau ? Sinon, j’ai ceci à votre disposition (des âneries comme vous les appelez, j’anticipe !).
... Le processus de validation du SARS-CoV-2, repose sur des séquences de référence antérieures.
Le génome initialement utilisé pour identifier le SARS-CoV-2 a été comparé au virus de chauve-souris RaTG13, découvert et séquencé par une équipe de chercheurs chinois en 2018.
Le RaTG13 avait été consigné comme un coronavirus apparenté au SARS-CoV (de 2003) sur la base de son séquençage et de son alignement avec d’autres séquences de coronavirus déjà présentes dans les bases de données.
Lorsque des séquences génétiques issues de patients atteints de pneumopathies atypiques ont été analysées début 2020, elles ont montré une forte homologie avec le RaTG13 (environ 96 % d’identité génomique), ce qui a conduit à leur classification comme un nouveau coronavirus SARS-CoV-2.
Le problème est que la validité de cette classification repose entièrement sur la validité de la séquence RaTG13, elle-même déposée dans une base de données sans preuve expérimentale directe de son rôle pathogène.
Les premiers coronavirus humains (comme le SARS-CoV de 2003) ont été séquencés à partir d’échantillons cliniques de patients souffrant de syndromes respiratoires aigus sévères. Ces séquences ont été comparées à celles d’autres coronavirus animaux (comme les coronavirus de chauve-souris et de civettes), supposés être des réservoirs naturels. A aucun moment, il n’a été prouvé de manière expérimentale que les séquences initiales étaient directement responsables des symptômes observés. La classification repose sur une corrélation statistique et sur des analyses bioinformatiques (alignements de séquences).
Chaque séquence ajoutée aux bases de données devient une référence pour les études futures. Or, si l’une des premières séquences a été mal attribuée ou s’il y a eu des biais méthodologiques dans son identification, cela crée un problème d’héritage scientifique. Toutes les séquences futures comparées à cette référence rapporteront cette erreur.
Le problème est que les premières séquences de référence (notamment celles des coronavirus de chauve-souris et de civettes) ont été obtenues dans des conditions expérimentales peu rigoureuses et n’ont jamais été remises en question. Mais elles permettent de valider les recherches postérieures.
La virologie est une tautologie pemile, un parfait raisonnement circulaire !