J’ajoute quand même ceci. La « célèbre » « transcriptase » inverse a désormais était débusquée. Il s’agissait en fait de « rétrotranspons ». La transcriptase inverse humaine est produite par les éléments LINE-1, un type de rétrotransposons endogènes qui représente environ 17 % du génome humain.

.. «  Les rétrotransposons, parfois appelés « transposons de classe I », utilisent un mécanisme appelé rétrotransposition pour se copier et s’insérer dans de nouveaux sites du génome. Ce processus commence lorsque l’ARN du rétrotransposon est transcrit à partir de l’ADN. Une enzyme spéciale, la transcriptase inverse, convertit ensuite cet ARN en ADN double brin. Ce nouveau segment d’ADN peut alors s’intégrer à divers emplacements du génome hôte. Ce processus »naturel«  décrit ici, est ce que l’on attribue, à tort, à des »virus". 

Ce processus a des implications significatives pour l’évolution génomique, car il modifie la structure génétique et peut influencer l’expression des gènes. Les rétrotransposons sont parmi les éléments génétiques les plus abondants chez beaucoup d’eucaryotes, y compris les humains, où ils représentent environ 42% du génome total.

Les rétrotransposons sont activés en situation de stress. Cette activation est un phénomène bien documenté, notamment dans des conditions où les cellules subissent une perturbation de leur environnement physiologique. L’expression aberrante de rétrotransposons peut produire des ARN ou des protéines reconnus comme étrangers par le système immunitaire, déclenchant une réponse auto-immune.

... Le transfert mitochondrial au noyau nucléaire, loin d’être un phénomène lié à une infection virale, est avant tout un mécanisme biologique naturel et un processus évolutif. L’attribution systématique de comportements biologiques à des agents pathogènes externes empêche de voir les processus internes qui sous-tendent des phénomènes aussi fondamentaux pour la biologie cellulaire. Ce qui semble être une infection virale est, en réalité, un processus évolutif naturel bien compris aujourd’hui, mais qui, à une époque antérieure, aurait été difficile à distinguer de la théorie virale.

Plus la recherche scientifique avance et découvre des fonctions biologiques inconnues jusqu’à lors, et plus la virologie et sa théorie virale parait totalement obsolète et dépassée.