@pemile
copié-collé : « M’enfin, combien de temps encore tu vas ânonner en boucle les mêmes conneries, nos échanges précédents ont prouvé que tu n’avais aucune connaissance du sujet, tu n’auras jamais conscience du ridicule de vouloir insister à te poser en expert ???! »
J’aimerais voir ces « preuves » dont vous parlez ??? Vous radotez. Parce que ce n’est pas avec deux lignes comportant des grossièretés que l’on façonne des arguments. Vous êtes un amuseur public. Vous ne faites bien rire.
Il faudrait apporter la démonstration que ce que j’ai écrit est faux. Pas vrai pemile ? Ce n’est pas en répétant à l’envie que ce que j’écris sont des conneries, que cela devient une vérité. Non, ce que j’ai écrit reflète très exactement le processus utilisé par le MET. Ne vous en déplaise. Et je comprends que cela vous mette mal à l’aise. Alors, afin que vous veniez avec force arguments prouver que ce que j’ai écrit sont des « conneries », je le poste à nouveau ! Merci de votre aide à rétablir la vérité.
... Jamais pemile, jamais. D’ailleurs ,aucun virus n’a jamais été découvert. Il a « seulement » été découvert des fragments d’ARN ou d’ADN, qui ont permis, grâce à des processus informatiques, d’assembler ces fragments en un génome entier. Ce sont des algorithmes qui reconstruisent le génome supposé du virus à partir des fragments obtenus. Et cela repose sur des hypothèses, notamment la comparaison avec des séquences de génomes viraux « déjà connus ».
Les images obtenues par MET montrent bien des particules, mais ces particules sont interprétées comme des virus sur la base de leur apparence et de leur taille, sans preuve directe que ces particules contiennent un génome complet et fonctionnel.
Les particules visibles sur l’image sont donc des objets physiques réels, mais l’identification de ces objets repose sur l’interprétation humaine.
Cette interprétation morphologique ne garantit pas que la particule soit réellement un virus. Deux grandes incertitudes demeurent : le MET ne permet pas de savoir si la particule contient un génome complet. La MET ne prouve pas que la particule observée est infectieuse.
Les exosomes sont de petites vésicules extracellulaires, généralement de 30 à 150 nm de diamètre, libérées par presque toutes les cellules. Ils ont une membrane lipidique bicouche et peuvent contenir divers types de matériel, comme de l’ARN, des protéines et des lipides.
Le MET permet de distinguer les particules « que par leur taille et leur forme », deux critères qui ne suffisent pas à différencier un exosome d’un virus enveloppé.
Le monde émouvant de pemile : des photographies de virus ! Les licornes sont aussi très belles en photo !