@Iris
Tous les points sont litigieux ou faux.
1°)**Observation directe** : Visualisation des particules virales par microscopie électronique, en identifiant leur taille et morphologie caractéristiques.
Le MET ne peut faire la distinction entre des exosomes et des virus. Et l’on sait pertinemment que des cellules sous stress émettent abondamment d’exomoses dans le milieu extra cellulaire.
2°) Culture cellulaire** : Les virus sont cultivés dans des cellules hôtes, où leurs effets cytopathiques (dommages aux cellules) confirment leur activité infectieuse.
En réalité, les cellules provenant d’une sécrétion d’un malade sont effectivement cultivées, in vitro, mais en présence de cellules de reins de singe vert, appelées cellules VERO, et de cellules de sérum foetal bovin (pour nourrir les cellules en culture). Par ailleurs, dans la culture sont introduits des antibiotiques et des agents chaotropiques. Les effets « cytopathiques » sont en réalité le résultat d’un stress oxydatif subi par les cellules par les antibiotiques et les agents chaotropiques.
3°) **Isolement et purification** : Les particules virales sont isolées et analysées pour vérifier la présence de leur génome (ADN ou ARN) et de protéines caractéristiques.
En ajoutant des cellules animales (de singe vert et de sérum foetal bovin) on ne peut pas dire que l’on purifie la culture ou que l’on procède à un isolement. C’est même l’inverse !
4°) **Analyse génétique** : Séquençage et amplification (PCR) du matériel génétique viral pour confirmer son origine.
Le séquençage est réalisé à partir de fragments d’ARN ou d’ADN utilisés pour reconstituer un génome à l’aide d’algorithmes informatiques. Il faut, à un moment donné de ce processus, faire usage d’une séquence « remarquable » « préalablement » identifiée d’un virus « précédemment » identifié. La virologie utilise un raisonnement circulaire !
5°) **Tests fonctionnels** : Démonstration de l’infectiosité du virus en prouvant qu’il peut infecter des cellules, se répliquer et produire de nouvelles particules.
Ceci n’a jamais été prouvé. Ce qui est effectué, c’est à nouveau un test PCR à l’aide d’une amorce, préalablement attribuée à un précédent virus. Jamais il n’a été démontré qu’un virus pouvait infecter des cellules. Cette infection dont il est question est le résultat d’un test PCR. C’est ce qui s’est produit avec les « positifs » sans symptôme lors du covid19, faisant exploser le nombre de cas. Des malades « sans symptômes », malades parce qu’un test PCR le disait. Il faut vraiment tomber bien bas pour en venir à dire des choses pareilles.
6°) 6. **Preuves immunologiques** : Détection d’anticorps spécifiques ou d’antigènes viraux dans l’organisme infecté.
Les anticorps sont spécifiques parce que l’on veut qu’ils soient spécifiques. Mais ces anticorps peuvent être produits par des adjuvants, comme cela est le cas avec l’aluminium dans les vaccinations « traditionnelles ».
7°) **Épidémiologie** : Études montrant une corrélation entre la présence du virus et l’apparition de maladies.
L’expérience de Milton Rosenau, il y a plus de 100 ans, a démontré qu’il était impossible de rendre malades des personnes bien portantes mises au contact de malades de la grippe espagnole. En revanche, il y a une corrélation « parfaite » entre pic de pollution (inversion thermique) et pic de mortalité. Ce fut le cas au cours de l’année 2020 où une inversion thermique a pris place sur l’Europe à compter du 17 mars 2020 faisant augmenter considérablement la pollution atmosphérique. Le pic de mortalité s’est alors produit fin mars-début avril.
... « Ces méthodes convergent pour fournir une preuve solide de l’existence et de l’infectiosité des virus. ». Il n’existe aucune convergence ni preuve d’une quelconque contamination ou contagion. Les chiffres officiels présentés par Pierre Chaillot dans son livre démontrent que la contamination et la contagion ne sont pas observables. Pour le covid19, des régions comme la Bretagne ont été épargnée, alors que le Grand Est était fortement touché par la maladie. L’explication ? Les taux de pollution étaient très élevés dans le Grand Est, très réduits en Bretagne. Mais nulle trace de contamination ou de contagion. Lorsque des personnes baignent et respirent le même air pollué, les plus sensibles de ces personnes tombent malades et finissent, pour certaines, en service d’urgence. Il y a une corrélation parfaite entre pics de pollution et admissions en service d’urgence.
Mais, évidemment, l’explication « officielle » va faire croire aux virus parce que ceux ci ont une activité « politico-financière » !