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Commentaire de Legestr glaz

sur La neige marine


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Legestr glaz Legestr glaz 6 janvier 20:02

@Iris
Rapprochez vous de la réalité. Les personnes qui sont décédées du covid19 et qui, en général, décèdent de maladies cardia-respiratoires en automne-hiver, lors des épidémies, sont des personnes qui présentent des comorbidités. Je traduis : sont des personnes « déjà malades », sont des personnes à l’immunité affaiblie. Cette liste comprend : les diabétiques, les hypertendus, les hypersulinémique, les insuffisants rénaux, les obèses, la BPCO. Les personnes en « bonne santé » ne meurent pas et ne tombent pratiquement jamais malades. La vaccination est un grand « bluff ».
Les personnes décèdent à la suite d’un déséquilibre redox dans leurs voies respiratoires. Et ce déséquilibre s’explique fort bien au plan biologique. Les vaccins ne peuvent strictement rien faire en situation de déséquilibre redox. Mais, très majoritairement, le public ne sait même pas ce qu’est l’équilibre redox, ni son déséquilibre. Dès cet instant on peut faire prendre des vessies pour des lanternes à la population. Parce qu’aucune vaccination se viendra renforcer l’équilibre redox. 

... « Chez les personnes non à risque, un excès d’espèces réactives de l’oxygène (ERO) est contrebalancé par une augmentation des défenses antioxydantes.  Chez les sujets dont l’équilibre redox est altéré, la production d’ERO n’est pas correctement contrôlée, ce qui entraîne une peroxydation de la membrane des globules rouges (GR), qui à son tour perpétue l’activation des neutrophiles. Un stress oxydatif excessif pourrait être responsable des lésions alvéolaires, de la thrombose et de la dysrégulation des globules rouges observées dans la COVID-19. Les antioxydants et les inhibiteurs de l’élastase pourraient avoir un potentiel thérapeutique. »... 

... "Un grand nombre de patients admis en réanimation après une infection par le virus SARS-CoV-2, responsable de la COVID-19, présente une proportion de neutrophiles anormalement élevée ainsi que des défenses antioxydantes altérées. Ces cellules sanguines s’activent et produisent des radicaux libres (espèces réactives de l’oxygène). Cette conception rend compte des thromboses diffuses, des atteintes multi-tissulaires ainsi que du maintien d’une hypoxémie (diminution de la quantité d’oxygène transportée dans le sang) en dépit du fait que ces mêmes patients soient placés sous assistance respiratoire. Cette approche explique pourquoi les enfants aux neutrophiles moins réactifs et aux défenses antioxydantes plus efficaces, sont moins concernés par les formes sévères de la COVID-19. La recherche de l’évolution de marqueurs biologiques de stress oxydant et de neutrophiles activés pourrait ainsi faire partie du bilan des patients afin d’identifier ceux susceptibles de s’aggraver.

Parce que, si l’on ne tient pas compte des processus physiologiques à l’oeuvre, on ne peut pas comprendre la maladie et on ne peut pas comprendre comment la soigner. 


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