@pemile
Mais ce sont des réalités biologiques pemile. Le MET ne peut pas distinguer les exosomes de pseudo virus !
Si vous avez un seule étude qui dit le contraire, n’hésitez surtout pas à la produire. Si vous faites l’âne pour avoir du son, c’est déjà gagné.
J’en conviens que je répète en boucle que le MET ne peut pas distinguer les exosomes de « virus-artefacts », qui sont, en réalité, eux aussi, des exosomes.
Je répète aussi en boucle que jamais un virus n’a été découvert « entier ».
Je répète aussi en boucle que jamais un génome complet de virus n’a pu être découvert.
Je répète aussi en boucle qu’il n’existe pas de photographie de « virus » mais seulement des images interprétatives.
Je répète aussi en boucle que jamais un virus n’a été découvert directement dans une sécrétion humaine. L’étape de la culture « in vitro », avec cellules de singe vert, de sérum foetal bovin, d’antibiotiques et d’agents chaotropiques étant nécessaires à la découverte de « fragments » d’ARN ou d’ADN qui sont « qualifiés » de viraux, par simple « hypothèse ». Alors que l’on sait que les cellules sous stress émettent abondamment d’exomoses dans le milieu extra cellulaire. Alors que l’on sait que ces exosomes transportent de l’ARN, de l’ADN, des lipides et des protéines.
Exosomes : an emerging factor in stress-induced immunomodulation
Les exosomes : un facteur émergent dans l’immunomodulation induite par le stress
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/24405946/
Si une seule de ces affirmations est fausse vous êtes prié d’en faire la démonstration. Mais je sais : ce sont des âneries ! Mais venant de pemile, ceci devient un véritable aveux. Lorsque l’on accuse quelqu’un de « mensonge » il faut venir avec des billes. Mais vous les seules billes que vous connaissez sont celles qui vous utilisez dans la cour de récréation. Vos réflexions sont de l’enfantillage. Et comme vous me semblez totalement ignorant de l’existence des exosomes voici pour vous :
... « Les cellules libèrent de manière constitutive de petites vésicules (40 à 100 nm) appelées exosomes, mais leur composition et leur fonction changent en réponse à divers défis physiologiques, tels que les blessures, les infections et les maladies. Des progrès ont été réalisés dans notre compréhension de la pertinence immunologique des exosomes, mais peu d’études ont exploré leur rôle dans la physiologie du stress. L’exposition à une variété de facteurs de stress aigus facilite l’efficacité des réponses immunitaires innées, mais les mécanismes de ces effets ne sont pas entièrement compris. Étant donné que les exosomes émergent comme d’importants médiateurs inflammatoires, ils jouent probablement un rôle similaire lorsqu’un organisme est exposé à un facteur de stress aigu. »...