La volonté génocidaire des néo fascistes israéliens ne date pas du 7 octobre, qui n’est que la date de mise en oeuvre du génocide, mais au plus tard suite à la fin de la guerre des six jours de 1967.
Dès l’instant où les israéliens ont fait la démonstration et se sont convaincus de leur supériorité militaire autour de leurs frontières, les néo fascistes du coin ont commencé à réfléchir comment en finir avec les palestiniens et la Palestine.Pour Netanyahou, si on s’en tient à ses propres mots, sa conviction de néo fasciste remonte à la mort de son grand frère il y a plus de 40 ans.
Mais comme dit le proverbe, il y a loin de la coupe aux lèvres. Encore faut il prendre le pouvoir et se donner les coudés franches vis à vis de la communauté internationale pour commettre ce qui est le pire des crimes devant le droit international.
Car il n’existe pas pire crime que le génocide étant donnée que cela équivaut au niveau des individus à un assassinat prémédité et crapuleux. Avec les circonstances aggravantes d’actes de tortures. Pire, je connais pas !
Un exemple de la politique de négation du génocide en cours est la décision du maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, d’interdire l’exposition de médecins sans frontières sur Gaza.
L’argument fallacieux étant « le risque de trouble à l’ordre public ».
Le seul risque étant la propagation de l’indignation vis à vis de ce qu’il se passe dans la bande de Gaza et de manifestations contre les néo fascistes israéliens.
Le seul risque est de propager l’information contraire à la propagande.