@George L. ZETER
Bonjour.
Non ! Il n’y a pas de génocide au sens de sa définition, il y a des victimes collatérales, en plus ces dernières ont été prévenues des actions qui allaient être engagées, pourquoi sont elles restées ?
Génocide du « Hamas » sûrement, qui pourrait critiquer l’anéantissement, l’annihilation de terroristes ? Toutefois ont peut tuer les hommes, mais les idées... c’est moins sûr.
Nous sommes sur ce qui se passe là-bas dans une des pires ignominies de l’histoire, teintée d’une hypocrisie machiavélique et indécente sur les justificatifs fournis d’une action militaire.
Mais c’est l’Etat d’Israël peuple meurtri par l’histoire, alors ont pardonne, on excuse (voir approuve, car qui ne dit mot consent non ?) , ils ne font que se défendre, pour être hypocritement poli. Que les auteurs d’octobre soient punis, le payant de leur vie est un concept que j’approuve. Toutefois notons que le sujet devient brûlant entrainant un traitement de l’information policé et bonheur d’autres évènements permettent de focaliser l’attention ailleurs.
Un bombardement fait 17 morts collatéraux, pour 1 terroriste abattu, c’est tolérable, acceptable, justifiable presque. Alors qu’ailleurs, une grand mère avec son chien périssent sous un missile devient un crime contre l’humanité.
La différence ? L’un à été agressé, l’autre n’étant qu’un vil agresseur. Oui, il n’est pas venu « au secours » de quelques uns martyrisés depuis dix années, il a envahi et tué.