Andalucia mia, pays d’amour !
Andalucia ! Ce nom n'est-il pas à lui tout seul empreint de charme, de poésie, d'exotisme ? Voyelle "a" redondante, réitérée à trois reprises, son "ou" langoureux, sifflante "c" pleine de douceur... et c'est aussi un mot de cinq syllabes, ample, majestueux qui nous fait voyager vers d'autres contrées du sud... l'Espagne...
Dès l'ouverture de cette chanson, le son des guitares et des castagnettes nous transporte en Espagne...
Un bel hommage au pays d'origine, un bel hommage à l'Andalousie avec cette chanson... car le poète semble évoquer ici sa terre natale en employant ce possessif : "Andalucía mía". Et l'on perçoit aussitôt un attachement profond à cette région.
Ce pays est, dès lors, naturellement associé à l'amour... avec quelques mots de ce champ lexical : "amour, coeur, baiser, lèvre..." un amour fidèle, éternel, comme le suggèrent ces indications de temps : "toujours, que de fois".
Le poète s'adresse aussi à sa terre natale, en employant la deuxième personne du singulier, une façon de la personnifier, et de la magnifier...
La description qui suit est élogieuse, faite de perceptions visuelle, olfactive, auditive particulièrement agréables et douces dans ces expressions "ton ciel en fleur, parfum léger de tes doux orangers, J’entends toujours Tous les refrains si fous."... de quoi combler de "bonheur" le poète...
Les sonorités de fricative "f" contribuent aussi à cette impression d'infinie douceur...
Si bien que ce pays devient un paradis dans une apostrophe hyperbolique "Ô divin paradis".
Pourtant, ce paradis est jugé "frivole" par l'opinion commune, comme le montre la relative "que l'on dit frivole".
Mais, ce n'est là qu'une fausse réputation corrigée aussitôt dans les vers suivants :
"Tu m'as appris
Le prix d'une parole
Quand on jura chez moi
De s'aimer d'amour"
Le tutoiement familier traduit encore une complicité et le vocabulaire suggère une fidélité à toute épreuve.
Le refrain est de nouveau une déclaration d'amour réitérée :
"Andalucía mía
C'est pour toujours !
Andalucía mía
Pays d'amour !"
Le dernier couplet est une évocation des filles d'Andalousie : on les entend chanter des refrains qui sont magnifiquement comparés à des "bijoux". Et le poète fait aussi l'éloge de leur baiser inoubliable :
"Et je frémis encore
Au baiser si fort
De leur lèvre qui mord !"
Cette chanson est ainsi une magnifique ode à la sensualité : tous les sens sont sollicités. L'amour du pays devient aussi au fil du texte l'amour des filles de ce pays...
La musique joyeuse, rythmée et douce à la fois restitue bien cette atmosphère sensuelle et voluptueuse...
Pour mémoire :
Cette chanson a été écrite par Raymond Vincy et Albert Willemetz, la musique composée par Francis Lopez. La mélodie est inspirée d'une pièce symphonique connue : Andaluza du compositeur : Enrique Granados.
Les paroles :
https://greatsong.net/PAROLES-LUIS-MARIANO,ANDALOUSIE,107597786.html
Le blog :
http://rosemar.over-blog.com/2024/10/andalucia-mia-pays-d-amour.html
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74 réactions à cet article
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’’Voyelle « a » redondante, réitérée à trois reprises, son « ou » langoureux, sifflante « c » pleine de douceur... ’’...
Ça y est, elle recommence !
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Bonjour, ZenZoe
Mon épouse et loi nous faisions précisément la réflexion hier que cela faisait un bon moment que rosemar n’était pas retombée dans ses errements phonétiques.
Or, voilà qu’elle récidive dès le début de son article en faisant une nouvelle fois beaucoup de tort au texte qu’elle prétend défendre.
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@Fergus
La phonétique est pourtant une composante essentielle de la poésie... Désolée de devoir rappeler une chose si élémentaire... Vous connaissez les rimes ? Par exemple ? C’est le retour d’un même son en fin de vers...
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@Bonjour Fergus
Infernal !PS : Sérieux ? Vous discutez de Rosemar avec votre épouse ? Ben dites donc...
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@ ZenZoe
En fait, non, nous ne parlons pas d’elle.
Sauf quand, en parcourant des articles d’AgoraVox, mon épouse tombe sur des articles de rosemar émaillés d’analyses phonétiques qui n’ont strictement aucun intérêt — excepté dans les milieux d’experts en dissection littéraire — pour expliquer la valeur d’un texte.
Les références aux « sifflantes », « chuintantes » et autres « gutturales » l’amusent au plus haut point. -
@Fergus
C’est déjà ça, à défaut de comprendre !
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@Fergus
Et voici une leçon de poésie, de musique et de phonétique :http://rosemar.over-blog.com/2015/10/pour-ecouter-la-musique-des-mots.html
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@Fergus
une leçon pour les nuls en phonétique...
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@ rosemar
Brassens devait être « nul en phonétique », comme j’ai déjà eu l’occasion de vous l’écrire.
Ne vous en déplaise, il considérait que les mots, les rimes et le rythme des écrits ne relevait pas de la connaissance des référentiels experts mais de la sensibilité des auteurs, de leur aptitude à entendre dans leur tête les textes ou les poèmes qu’ils rédigeaient.
Il est vrai que Brassens — qui parlait toujours de ses chansons avec une grande simplicité — aurait détesté faire partie de ces pédants qu’il prenait plaisir à brocarder pour leur étalage prétendument savant ! -
@Fergus
Mais qu’en savez-vous si Brassens était nul en phonétique ? Un poète n’est sûrement pas nul dans ce domaine...
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@Fergus
Je vous le dis : il n’est jamais trop tard pour apprendre et pour être curieux !
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@ rosemar
Brassens était au contraire très pointu en phonétique.
Mon propos était ironique, précisément pour souligner que, malgré sa grande connaissance du sujet, jamais il ne s’est exprimé sur ses textes en mentionnant l’usage des « chuintantes » et des « gutturales », n’importe quel quidam étant capable de percevoir cela sans se croire obligé de le nommer !Et il est parfaitement possible évidemment de versifier sans avoir une once de connaissance du vocabulaire de la phonétique, le principal étant de percevoir les sonorités du texte pour produire un résultat harmonieux !
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Comme j’ai déjà eu l’occasion de vous le dire, votre propos de maîtresse d’école est en l’occurrence à côté de la plaque pour parler trivialement.
Transposé en peinture, il revient en effet à dire qu’il est impossible au visiteur d’une exposition d’apprécier une toile s’il ne sait pas nommer les techniques utilisées par le peintre. C’est ridicule ! -
@Fergus
Vexé ? Bien sûr qu’on peut apprécier un tableau sans en connaître les techniques... mais cette connaissance permet de mieux apprécier les oeuvres !
Vive la curiosité ! Elle est essentielle...
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@Fergus
Il ne faut pas mépriser la culture : c’est aussi une tendance de notre époque...
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Bonjour ZenZoe
« Vexé ? »
Comment pourrais-je l’être ? Et de quoi ?
Je note en passant que vous ressortez systématiquement ce vieux truc éculé lorsque vous êtes mise en difficulté par un intervenant. C’est au mieux puéril, au pire pathétique.« cette connaissance permet de mieux apprécier les oeuvres »
C’est vrai pour les étudiants de première année des Beaux-Arts ou pour les amateurs très pointus, certainement pas pour le vulgum pecus qui visite une exposition ou un musée.Quant à me reprocher de « mépriser la culture », c’est non seulement du mépris à mon égard, mais de la calomnie de bas étage.
La « culture », je lui ai consacré en effet au moins 250 articles sur ce site. Des textes portant sur la littérature, le cinéma, le théâtre, la peinture, la musique classique ou populaire, l’histoire et même l’architecture !
Ce que vous sauriez si vous n’étiez si égocentrique ! -
@Fergus
Le problème, c’est que vous semblez mépriser la culture qui n’est pas la vôtre ! Dommage ! Pour le reste, user d’insultes, m’accuser de puérilité, d’être pathétique, c’est tomber bien bas !
Mais qui est égocentrique ? -
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@ Zenzoe
Désolé, le commentaire ci-dessus était évidemment destiné à rosemar.
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@ rosemar
Comme dit un vieux proverbe, « Tel on est, on voit les autres » : il vous va comme un gant !
Car le mépris est évidemment de votre côté, pas du mien !Je n’ai en effet de mépris pour aucune forme de « culture », contrairement à ce que vous affirmez de manière péremptoire et mensongère, et contrairement à ce qui transparaît dans vos écrits, à l’image de l’un de vos derniers articles émaillé de commentaires méprisants de votre part sur la BD et les mangas !
Hélas ! si vous êtes incapable de percevoir cela, nul ne peut rien pour vous. C’est pourquoi je vous propose de « briser là » comme on disait autrefois.
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@Fergus
émaillé de commentaires méprisants de votre part sur la BD et les mangas !
Idem pour les jeux vidéos en général dont certains sont de véritables œuvres d’art. Mais on l’habitude des préjugés de vieille institutrice bloquée sur ses à-priori d’un autre temps.
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@Fergus
C’est faux ! Je ne faisais que citer les propos d’un chercheur Michel Desmurget qui a étudié ce sujet ! Mais bien sûr, vous allez remettre en cause les études de ce chercheur sur la BD et les mangas !
C’est vous qui avez usé d’insultes à mon égard, m’accusant de puérilité, d’ être pathétique !
L’insulte est trop fréquente sur les réseaux sociaux ! Il faut en prendre conscience ! -
@Fergus
Faut-il donc le rappeler ? Les insultes ne sont pas des arguments !
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@rosemar
Bonjour rosemar,
je vous conseille à vous aussi de lire ou relire les accords toltèques, car vous prenez trop les choses personnellement !!C’est faux ! Je ne faisais que citer les propos d’un chercheur Michel Desmurget qui a étudié ce sujet ! Mais bien sûr, vous allez remettre en cause les études de ce chercheur sur la BD et les mangas !
c’est bien évidemment faux, vous voulez nous imposer la vision de Michel Desmurget alors que de nombreux commentaires vous ont montrés que non seulement il n’a fait aucune étude sur le sujet, mais qu’en plus il n’a jamais lu de BD digne de ce nom et qu’il ne s’est jamais intéressé à LA manga !!
on peut ne pas être d’accord avec ce que vous dites ou avec ce qu’un gus vient raconter sur France inter ou France qqch, non ??
ça n’empêche pas que votre article, que l’on peut trouver intéressant ou pas du tout, ouvre sur des échanges enrichissants et c’est bien le but 1er de leur rédaction, non ??
ici on n’est pas à l’école et vous n’êtes pas la maitresse autoritaire, et si vous voulez jouer à ce petit jeu, il est normal que l’on s’y mette aussi, non ??
que vous vous agaciez contre moi ou d’autres petits malins qui viennent vous taquiner un peu, à la limite, mais s’en prendre à Fergus, je trouve ça déplacé
je vous remercie d’avoir écrit l’article sur la lecture, car grâce à vous et surtout aux intervenants, j’ai appris des choses que je ne savais pas, mais pour les études de texte de chanson, vous êtes toujours un peu à la ramasse, ne vous en déplaise
babelouest 15 janvier 21:46@rosemar
Bon. Je vais me permettre de vous recommander UNE MANGA* qui vaut largement bien des livres dits sérieux.
https://www.babelio.com/livres/Taniguchi-Les-Gardiens-du-Louvre/661853
.
*UNE MANGA : mon fils avait pour thème de mémoire, pour sa maîtrise d’Histoire de l’Art, les ressemblances et différences entre la BD européenne et LA manga japonaise. LE manga est ce petit livret assez bon marché qu’on trouve à foison dans certaines librairies. LA manga est la bande dessinée D’AUTEUR japonais, bien mieux dessinée et en grand format, avec une vraie histoire.
Point commun entre LE manga et LA manga : cela se lit de droite à gauche. Japonais oblige, même si les textes sont en français.là, ça m’a donné envie et je vais lire cette manga, et on peut dire que ça sera un peu grâce à vous et à votre article que je vais faire cette découverte
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@chat maigre
et je vous remercie encore une fois, puisqu’il est à la médiathèque de Marseillan et je l’ai réservé, je vais le chercher dans l’après-midi
ça doit vraiment être une bonne manga, car on fait partie d’un réseau de médiathèque qui rassemble toutes les communes de l’étang de thau et fait très rare, on a 7 médiathèques partenaires et on a 5 exemplaires, je n’avais jamais vu ça pour aucun livre !!
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@chat maigre
Ca arrive aussi avec d’autres livres comme beaucoup de corto maltese par exemple.
Pardon de sales et vulgaires BD qui m’ont fait fondre le cerveau. -
@rosemar
« ....Vous connaissez les rimes ? Par exemple ? C’est le retour d’un même son en fin de vers... »
Merci Rosemar, je me coucherai moins bête !
ps : ne pensez-vous pas que cette réponse que vous fîtes à Fergus incite à vous répondre avec sarcasmes ?
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@Astrolabe
C’est l’heure de la sieste mon bébé requin -
Bonjour, Astrolabe
Pour illustrer ma méconnaissance des rimes, ce poème que j’ai commis naguère : Le Ravi
Un ravi provençal, penché sur un ruisseau,
Contemplait le visage que lui renvoyait l’eau.
J’ai, ma foi, bel aspect et suis fort bien tourné,
Se disait le bellâtre en admirant son nez.
Il était, il est vrai, doté d’un appendice
A faire pâlir d’envie la plus chargée de vice.
Toutes les femmes du village, dans leur concupiscence,
Rêvaient donc d’en user pour apaiser leurs sens.
L’épouse du notaire et celle du médecin
Avaient tenté leur chance, mais jusqu’alors en vain.
Quant à celles du maire et de l’instituteur,
Elles louchaient vers ce mât pour calmer leurs ardeurs.
Tous les jupons du lieu lorgnaient avec envie
Cet étonnant objet à l’allure de vit.
Qu’un petit rhume bénin lui colore le bout,
Et l’on courait au viol par ces femelles à bout !
Or donc notre fada penchait sur le miroir
Ce membre qu’attendaient ces dames avec espoir.
Un grand brochet, soudain, surgit de la rivière,
Et de ses dents aiguës trancha le bout de chair.
L’intimité des dames s’en trouva fort marrie
Et dut se résigner aux élans des maris.
Voire ! Car des jouets nouveaux apparurent au village :
Des Pinocchio en bois ; Dieu sait pour quel usage !
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Ou cet autre, dans un genre très différent :
LA FERME ENCHANTEE
C’est une ferme enchantée
Dans un coin isolé
Au milieu des tourbières.
On dit qu’elle est exploitée
Par un curieux fermier
Epoux d’une sorcière.
Leurs vaches donnent un lait bizarre,
On dirait du Ricard,
C’est extraordinaire !
Même les petites brebis
Produisent du chablis,
Quand c’est pas du sancerre !
Les canards sont très sympas
Car ils pondent du foie gras
Truffé tous les dimanches.
Dans l’étang on voit nager
De beaux saumons fumés
Prédécoupés en tranches.
Et puis il y a des dindons
Tous farcis de marrons
En prévision des fêtes,
Sans oublier les gorets
Qui marchent au beaujolais
Que produisent les biquettes.
Le fermier m’a invité
Dans sa ferme enchantée,
C’est vraiment formidable
De se griser le palais
En dégustant du lait,
Ça paraît incroyable !
Mais quel est ce bruit strident
Qui me perce le tympan ?
C’est mon réveil qui sonne.
Adieu mon beau Paradis,
Je dois quitter mon lit,
Beau rêve, je t’abandonne !
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@Fergus
Astrolabe adore ce genre de connerie sans queue ni tête -
@Astrolabe
ah si tu aimes Corto Maltese, tu remontes grave dans mon estime !!
c’est un des héros de mon adolescence
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@Fergus
Salut Fergus,
j’essaie d’écrire de la poésie moi aussi depuis quelque temps et ça demande une certaine gymnastique intellectuelle, ils sont très beaux tes poèmes
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@charlyproute
Et en plus vous êtes hermétique à la poésie !...
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@rosemar
Vous êtes bien patient de discuter avec ce butor.
Les poésies, les chansons, les musiques (comme toutes les oeuvres d’art, la peinture, l’architecture, l’art oratoire, l’édition, la décoration, le costume,) ont des effets sur les sentiments, l’humeur, ils rendent courageux, contemplatifs, nostalgique, amoureux, révoltés, enthousiaste, triste, séduits, désespéré, fidèle, etc..
Ces effets sont produits par des trucs, par une certaine mise en forme des signifiants, symétries, répétitions, parallélismes, oppositions, métaphores, et toutes les autres figures de style des traités de rhétorique depuis l’Antiquité, les rechercher pour comrendre les effets produits est tout à fait légitime pour initier des élèves à la pratique de ces arts, mais pas pour y être sensible car les moyens de l’art doivent rester ineffables pour produire l’enchantement, comme pour le charme des femmes.C’est la même chose que de rechercher dans une démonstration les syllogismes qui sont décrits dans les traités de logique depuis l’Antiquité.
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PS : Je vous recommande de lire Histoire de la guerre de Navarre en 1276 et 1277, par Guillaume Anelier de Toulouse, c’est un sommet de la poésie épique proto espagnole.
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@Fergus
Pour faire de la poésie, il faut la déclamer à haute voix, le soufle qui , le rythme et l’accentuation sont très importants, la poésie n’est pas un art visuel.
Puisque vous semblez sensible à La Fontaine, lisez à haute voix Le Chêne et le roseau,
Comme il disait ces mots,
« Du bout de l’horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le Nord eût porté jusque-là dans ses flancs. »ou Le Coche et la mouche, appréciez la période longues au commencement,
« Sur un chemin montant, sabloneux, malaisé, six forts chevaux tiraient un coche ». Le tableau est immédiatement campé avec la longueur répétitive de la phrase qui évoque la longueur pénible du cheminement, en attendant de désigner le sujet principal qui est rejetté à la fin. -
@Et hop !
Parfois c’est aussi visuel la poésie !
Exemple :
Voici un exemple d’acrostiche de George Sand à Alfred de Musset :
Quand je jure à vos pieds un éternel hommage
Voulez-vous qu'inconscient je change de langage
Vous avez su captiver les sentiments d'un cœur
Que pour adorer forma le Créateur
Je vous aime et ma plume en délire
Couche sur le papier ce que je n'ose dire
Avec soin, de mes vers lisez les premiers mots
Vous saurez quel remède apporter à mes maux -
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@Tous les Boomers
Au lieu d’ecrire des âneries allez tous tendre l’épaule pour la grippe
Et remettez vos musellieres
Le « Méssant » virus est de retour ...
Les chambres froides débordent les hostaux ou touut va bien en Fr sont saturés
Monarc ne va pas tarder a nous remettre tous en taule sans proces ni avocat une nouvelle fois par votre faute sinonComment ca personne n’y crois plus ?
Ah si ... il reste un ou deux lobotomisé encore ..
Ouff j’avais eu peur d’une crise de lucidité générale...
Ah oubliez pas0..... le futur barrage ...
faites les castors (ptdr) -
@chat maigre
pour rosemar et pour certains qui pourraient être intéressé pour lire :
Les gardiens du Louvre de Taniguchi
je vais le lire ce soir, mais dès qu’on l’a en main et qu’on le feuillette, on sent que c’est une véritable œuvre d’art
https://zupimages.net/viewer.php?id=25/03/ilzc.jpg
https://zupimages.net/viewer.php?id=25/03/leg4.jpg
merci à pénible grâce à qui je sais mettre des photos avec zupimages
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@chat maigre
Prochaine étape, les mettre dans le bon sens -
@chat maigre
—
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« merci à pénible grâce à qui je sais mettre des photos avec zupimages »
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ouai... bonjour le torticolis ! tu rembourses l’ostéopathe ? -
@Astrolabe
je débute dans l’exercice
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@PaulAndréG (PàG)
Salut,
je peux te trouver lourd et collant, mais si tu m’as appris ou montré qqch que je ne savais pas faire avant, je ne retire pas la gratitude que j’ai eue à un moment
c’est déjà pénible qui m’avait montré comment mettre un lien sur avox
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@Astrolabe
Effectivement il y a aussi des poèmes visuels, il y a eu les lettristes, le résultat est amusant intellectuellement, mais pas du tout touchant. Autant faire directement des dessins ou des bandes dessinées.
C’est quoi l’accrostiche ici, je ne vois pas.
J’aime beaucoup George Sand, mais elle fait des vers de mirliton, elle devrait s’en tenir à la prose, surtout pour écrire à Musset.
La versification avait pour but à l’origine, soit de faciliter mémorisation (vers techniques), soit le chant pour que les accents, les articulations et les tons du texte collent avec le rythme de la musique ou avec la déclamation.
-
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@Astrolabe
le bug de l’o sinon...
Mystère de l’éditeur de texte d’AV.Je tape « 339 », précédé de « &# » et suivi de « : » dans le cadre d’édition.
Je clique sur « Voir ce message avant de la poster ».
Dans le cadre de prévisualisation je vois « 339 », précédé de « &# » et suivi de « : », mais dans le cadre d’édition j’ai maintenant le « œ ».
Je clique une seconde fois sur « Voir ce message avant de la poster » et j’ai maintenant « œ » dans le cadre de prévisualisation.
Il suffit maintenant de cliquer « Message définitif : envoyer au site. »
-
Sinon :
’’Un bel hommage au pays d’origine’’, ’’Le poète s’adresse aussi à sa terre natale...’’ et ...’’ car le poète semble évoquer ici sa terre natale...’’ Mais de qui parlez-vous ? Comme vous le dites vous-même, les deux paroliers, Vincy et Willemetz sont bien Français. Et ont-ils seulement mis le pied en Espagne un jour ?
En plus, vous auriez pu dire que la chanson est extraite d’un ouvrage plus complet, une opérette, jouée à Paris à la fin de la guerre. Au moins, on aurait appris quelque chose...
Sinon, Luis Mariano avait une voix superbe, je l’entends encore chanter ’Mexico, Mexiiiico...’’. Fabuleux !
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@ZenZoe
« Et ont-ils seulement mis le pied en Espagne un jour ? »
Mais qu’en savez-vous ?
Luis Mariano, lui, est bien Espagnol. Et la chanson lui était destiné...
Vous devriez me remercier de cet hommage à Mariano, au lieu de ronchonner...
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@ZenZoe
Je corrige : destinée, bien sûr !
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@rosemar
Luis Mariano, lui, est bien Espagnol.Certes, mais ce n’est pas le poète, vous pouvez tourner l’affaire sans tous les sens. Quant à mettre le pied en Espagne, je n’affirmais rien, je posais la question.
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@ ZenZoe
« ont-ils seulement mis le pied en Espagne un jour ? »
Pas grave : nombreux sont les auteurs, les peintres, les compositeurs dont les oeuvres sont emblématiques d’un pays où ils n’ont jamais mis les pieds.
Parmi les plus beaux exemples : Edouard Lalo dont la superbe Symphonie espagnole est plus ibérique en termes d’inspiration que nombre d’oeuvres de musiciens locaux ; et que dire de Bizet qui n’est jamais allé en Espagne mais a réussi avec le Carmen de Mérimée à créer l’oeuvre « espagnole » la plus connue sur la planète ?
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@Fergus
Aucun problème sur ce point là ! En gros je pointais à Rosemar qu’on ne peut pas parler d’un attachement à une terre natale si on n’est pas né dans le pays. -
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J’en reste à une retranscription à l’italienne, elle me plait mieux que « Les Jardins des Hespérides » des Grecs !
ANDA ( Allez en Espagnol)
LUCIA ( Lumière en italien )
Mia ( mienne en Rital )
ALLEZ, MA LUMIèRE !
Pour cette belle région qui baigne dans les rayons del Sol, c’est presque une invitation matinale, à faire à l’astre du jour.....Et il obéit !
Pour une contrée qui serait « la Région du soir, de l’occident » c’est pas mal !
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Pour louer la beauté et l’émotion ressentie, Rosemar a l’oeil du taxidermiste et le langage du médecin-légiste... il y a mieux pour faire des émules !
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Bonjour, PaulAndréG (PàG)
C’est ce que nombre d’intervenants et moi-même tentons de lui faire comprendre depuis des années. En vain, hélas !
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@PaulAndréG (PàG)
Et les moutons suivent !
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@rosemar
"rosemar 18 janvier 13:01@PaulAndréG (PàG)
Et les moutons suivent !
.
Merci pour les injures, Rosemar !
Sur ce point vous valez bien vos contradicteurs...
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@rosemar
.
« rosemar 18 janvier 13:01
@PaulAndréG (PàG)
Et les moutons suivent ! »
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Rosemar.... dessine-moi un mouton !
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Pourquoi le petit prince dit « dessine-moi un mouton » ?
Il est une métaphore de l’amitié, de l’imagination, de la créativité et de la compréhension profonde des choses qui ne sont pas immédiatement visibles. Lorsque le petit prince demande à l’aviateur de dessiner un mouton, l’aviateur essaie de dessiner un mouton « réaliste », mais le petit prince n’est pas satisfait.
-
merci Rosemar -
Ben ma pauvre Rosemar, vous n’avez pas besoin de moi pour vous faire rosser !
.
Ceci dit la « phonétique » ca sert à quoi ? Ca apporte quoi ?
A part à faire trémousser de vieilles institutrices ?
C’est vous qui prétendez que cela fait partie de la culture, mais c’est plutôt une affirmation gratuite... Pour moi les romans à deux sous sont plus importants dans notre culture que votre « phonétique » inutile. Au moins ils sont lus, eux, par une partie (même débile) de la population...
Mais vous avez parfaitement le droit d’écrire à ce sujet, et vos lecteurs ont eux aussi parfaitement le droit de vous brocarder. C’est la règle du jeu. Mais ne vous en plaignez pas !
-
Contester est une chose, insulter en est une autre... Mais certains ne savent même pas faire la différence...
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Traiter ceux qui ne sont pas d’accord de « moutons », c’est de la contestation ou de l’insulte ?
Pour moi, c’est une insulte, madame l’institutrice.
-
version originale
« La lampe de mon cœur met du rose à tes pieds
et mon vin d’amertume est plus doux sur tes lèvres… » Pablo Neruda
.
En peinture, la couleur rose est obtenue en mélangeant du blanc et du rouge : il s’agit donc d’un « rouge pâle ». D’autres couleurs sont ensuite ajoutées au mélange pour obtenir différents roses. Par exemple, le rose pâle est obtenu en ajoutant une pointe de noir au blanc et au rouge.
.
version savante
« La lampe de mon cœur met - 30% de rouge, 69% de blanc et 1% de noir - à tes pieds
et mon vin d’amertume est plus doux sur tes lèvres… » Rose...M-
@rosemar
Si mes souvenirs sont bons, l’Andalousie tire son nom de l’arabe Al Andalu qui signifiait tout simplement le pays des Vandales. C’est en effet à partir du sud de la péninsule ibérique que les Vandales de Genseric ont envahi l’Afrique du nord au début du Ve siècle pour y fonder leur petit royaume qui sera détruit un siècle plus tard sous Justinien par le général Belisarius.
Les Vandales ont aussi laissé leur nom dans le mot français « vandale » qui signifie casseur. En fait, il n’étaient probablement pas plus barbares que les autres Germains. S’ils pillaient les églises c’est parce que en tant qu’arianistes, ils avaient longtemps été persécutés par les catholiques.
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