J’ai confié ma peine au peuple des Fontaines...
Le temps qui passe, le temps qui emporte l'amour, l'eau qui s'écoule et qui symbolise la fuite du temps : on retrouve ces thèmes traditionnels dans une chanson de Francis Cabrel, Peuple des Fontaines...
Et le poète sait renouveler ces thèmes, grâce à la poésie de son écriture.
Dès le début du texte, le poète exprime ses sentiments de peine et de désarroi avec l'emploi de la première personne dans une tonalité lyrique, mais à qui parle-t-il ? Il s'adresse au Peuple des Fontaines...
Il fait ainsi appel à une image mythologique antique : les Fontaines peuplées de naïades, de sirènes, d'ondines...
Si ces nymphes des eaux ne sont pas citées, ces références font partie de notre culture. De plus, les Fontaines sont personnifiées dans la suite de la chanson.
Le poète use aussi de la deuxième personne pour instaurer un dialogue avec la jeune femme qui n'est plus à ses côtés, une façon de faire revivre les moments de bonheur passé :
"Pour qu'un jour tu reviennes te pendre à mon bras..."
La jeune femme est partie, et bien sûr, le temps se fait pesant, les jours, Dimanche et semaine deviennent "une chaîne" pour l'amoureux en peine, une belle image qui traduit bien son désarroi.
Le champ lexical du temps : "un jour, dimanche, semaine, ces jours gris, toujours, toujours" souligne la durée de l'éloignement, d'autant que le poète fait intervenir des rimes intérieures qui viennent insister sur la répétition inlassable des jours : "ma peine-fontaines /tu reviennes / semaine-chaîne / Des rues où je traîne / Toujours me reviennent / la Seine-Verlaine".
Et on voit le poète inconsolable traîner sa peine et penser à son amour perdu.
La nature, la beauté des fleuves, "le Rhône, la Seine", la poésie même ne sauraient lui apporter un réconfort : et voici notre poète insensible à la poésie de "Rimbaud ou Verlaine" qui ne sauraient le consoler.
L'emploi du futur, du mot "rien" suggère une peine irrémédiable.
Et le poète de constater qu'il fait partie de tous ces gens, "amants maladroits" qui "ont gravé les mêmes stupides rengaines, Les mêmes soupirs aux mêmes endroits".
L'énumération "Princes et souveraines, simples comédiennes, des dizaines d'amants maladroits" vient conforter l'emploi du mot "rengaines" qui comporte une idée de monotonie et de répétition.
L'amoureux se tourne alors à nouveau vers les Fontaines pour trouver un refuge et des solutions à sa détresse : il s'adresse aux Fontaines, en utilisant une apostrophe :
"Fontaines, dites-moi
Vous qui avez tant écouté
Vous qui ne sauriez pas mentir
Est-ce qu'elles savent pardonner
Ces belles pour qui l'on respire"
Cette personnification des Fontaines nous montre une nature bienveillante, qui sait écouter, qui ne sait pas mentir...
Le poète les interroge comme des confidentes remplies de sagesse et de savoirs : il s'enquiert d'un pardon attendu.
Les belles dames ne se confient-elles pas elles-mêmes aux miroirs de l'eau ? Le poète nous les montre "penchées sur le saphir" des fontaines, en train de dire peut-être que "tout peut recommencer."
Belles images de l'eau reflétant le charme des femmes...
"Cherchez bien dans vos souvenirs", insiste le poète...
Et l'amoureux fait référence encore à la poésie de Barbara, à celle de Léonard Cohen qui ne sauraient remplacer son amour perdu :
"Je donnerais tout Göttingen
Toutes les Suzanne de Cohen
Pour ce jour béni où tu me reviendras."
L'emploi du futur marque alors un espoir de retour, comme une forme de certitude....
La musique douce et rythmée restitue bien, tout au long de la chanson, cet apaisement que procurent les Fontaines...
Le texte :
https://www.azlyrics.com/lyrics/franciscabrel/peupledesfontaines.html
Le blog :
http://rosemar.over-blog.com/2021/04/j-ai-confie-ma-peine-au-peuple-des-fontaines.html
Vidéo :
75 réactions à cet article
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Oui. Comme ISIS et Mélusine femmes des fontaine qui pleurent la perte de leur(r)s enfants... Pleurer comme une fontaine.
El DesdichadoGérard de NervalJe suis le Ténébreux, – le Veuf, – l’Inconsolé,
Le Prince d’Aquitaine à la Tour abolie :
Ma seule Etoile est morte, – et mon luth constellé
Porte le Soleil noir de la Mélancolie.Dans la nuit du Tombeau, Toi qui m’as consolé,
Rends-moi le Pausilippe et la mer d’Italie,
La fleur qui plaisait tant à mon coeur désolé,
Et la treille où le Pampre à la Rose s’allie.Suis-je Amour ou Phébus ?… Lusignan ou Biron ?
Mon front est rouge encor du baiser de la Reine ;
J’ai rêvé dans la Grotte où nage la sirène…Et j’ai deux fois vainqueur traversé l’Achéron :
Modulant tour à tour sur la lyre d’Orphée
Les soupirs de la Sainte et les cris de la Fée.Gérard de Nerval
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@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Mélusine femmes des fontaine
Vous êtes une femme fontaine ?Je croyais pourtant que vous aviez dépassé la date de consommation...
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@Gollum
Rosemar ce serait plutôt la sécheresse vaginale comme celle du cerveau -
@Gollum petite synchronicité de ma vie. Le même jour où je perdis mon grand amour forgeron en 1983, le 7 octobre (tiens anniversaire de Poutine). Mourait le médecin avec lequel je devais travailler à Paris sur la mort subite du nourrisson. IL s’appelait Jean Fontaine... l’eau et le feu....
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@Gollum j’ai tendance à ne pas vieillir. Fontaine de Jouvance...
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@troletbuse
Là, on tombe bien bas !
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@Rosemar
Ben oui, du cerveau au sexe, on a déjà fait la moitié du chemin. L’autre moitié est déjà faite vu que vous nous cassez les pieds presque chaque jour pour être poli. -
@Mélusine
Une magnifique chanson : Cabrel s’inscrit dans une tradition, il se veut un héritier d’une tradition antique, les Fontaines personnifiées peuplées de nymphes, de divinités... c’est un bel hommage à la culture antique...
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Vous avez le chic pour tuer un texte qui ne vous avait pourtant rien fait !
Vous procédez de la même façon qu’un médecin légiste.
Ce n’est pas un commentaire, c’est une autopsie.
C’est dommage, je l’aimais bien, cette chanson dont vous n’avez laissé que les os encore sanguinolents de vos mauvais traitements.
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@Philippulus
L’amiral montrait sa peine à la marine parce que près de la fontaine, il a vu deux carrioles, sans mulets.Pour l’autopsie, si tu veux qu’elle cesse, sois rude ! -
Bonsoir, Philippulus
« Vous avez le chic pour tuer un texte qui ne vous avait pourtant rien fait !
Vous procédez de la même façon qu’un médecin légiste.
Ce n’est pas un commentaire, c’est une autopsie »
Bien vu ! C’est ce que j’ai déjà tenté de faire comprendre à rosemar. Et d’autres que moi, à l’image de zenzoé. Mais sans succès, hélas !
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Bonsoir, ZXSpect
En effet. Et sur ce plan là, elle atteint des sommets en termes de maniement du scalpel. Rien de tel que ce genre d’étalage de viscères littéraires pour « tuer » le texte qu’elle prétend défendre !
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@Philippulus
Vous n’êtes pas un littéraire : vous ne pouvez pas apprécier...
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@ZXSpect
Et pourtant la phonétique est essentielle en poésie !
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@ZXSpect
Ainsi j’aurais pu mettre en évidence la présence de gutturales qui soulignent le désarroi du poète dans ces vers :
« Des rues où je traîne toujours, toujours
Toujours me reviennent ces instants trop courts
Le Rhône, ou la Seine, Rimbaud ou Verlaine
Rien ne m’en consolera » -
@Fergus
Vous vous refusez encore à comprendre ce qu’est une analyse littéraire...
Vous n’êtes pas un littéraire... mais un juriste !
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@rosemar
Les gutturales, ca vient de Gorge Profonde je crois. -
@rosemar
Et pour les analyses de selles, c’est proctologue -
@phan
Dans les cyprès des femmes aux fontaines à Nîmes, sa peine lui rapporte quantité de pépites !
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@rosemar
Vous non plus vous ne comprenez rien à la littérature !
Vous ratez le plus important à mon avis : l’inspiration.
Un véritable écrivain, comme tout artiste, n’est pas un technicien qui suit une formule balisée, c’est un instinctif qui écrit avec ses tripes et un assemblage de mots qui lui viennent de l’intérieur.
Nulle part vous ne parlez de ça, de cette magie de la création qui est à la source de l’écriture, et pas le décorticage de crevettes que vous présentez.
Vos analyses sont en effet froides, impersonnelles, on dirait des programmes informatiques ! -
@ZenZoe
L’inspiration joue un rôle mais elle est travaillée ! Il suffit de regarder les brouillons, les manuscrits pour percevoir tout le travail des poètes et des écrivains !
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@ZenZoe
On ne peut pas nier le travail de l’écrivain !
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@ZenZoe
Une émission à écouter sur la poésie :
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@rosemar
La poésie est un travail sur le langage...
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@rosemar
« On ne peut pas nier le travail de l’écrivain ! »
On ne peut pas nier non plus le travail du peintre, du sculpteur, du compositeur ou di cinéaste.
Est-il intéressant pour autant de savoir la couleur du chevalet, le nombre de ciseaux, le format du papier de la partition et la focale de la maméra pour apprécier un tableau, une statue, une symphonie ou un film ?
Oui, « la poésie est un travail sur le langage... ». Mais ce n’est le travail qui est admirable, c’est le résultat. Est-ce que vous notez les copies des élèves en fonction de l’effort qu’ils ont fourni, au temps qu’ils ont passé sur leur pensum ou au contenu final de la copie.
Avec vos conceptions, on arrive vite à la notion de « discrimination positive ».
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@Philippulus
Ce que vous dites est stupide ! Il est intéressant d’analyser la technique du peintre, les couleurs du tableau, les formes, la composition, etc.
Bien évidemment, le stylo de l’écrivain, le papier qu’il utilise n’ont pas d’importance, en revanche le style, les sonorités, les jeux sur les rimes sont essentiels en poésie ! -
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Bonjour, Philippulus
Excellent, votre commentaire de 8 h 22 !
Mais vous parlez à un mur : rosemar n’a toujours pas compris ce qu’est une « analysé » destinée à un public de non-spécialistes des autopsies littéraires.
Et cela vaut, comme vous le faites remarquer, pour toutes les formes d’art : on ne s’adresse évidemment pas de la même manière à de simples amateurs, et a fortiori à des béotiens, qu’à un aréopage d’experts dont les fondamentaux professionnels sont basés sur le dépeçage !
Dès lors, on est amené à penser qu’en l’occurrence il s’agit : soit d’une incompétence à comprendre les attentes des lecteurs ; soit d’une manifestation de pédanterie compulsive. Je n’ai pas la réponse. -
@Fergus
Quel mépris de la culture ! Un signe des temps... inquiétant tout de même !
Un article sur la poésie d’une chanson devient suspect ! C’est de la « pédanterie ou de l’incompétence » !Il faut le faire !
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J’aime de temps à autre à me livrer à une « analyse » non pas littéraire mais picturale. Parmi les tableaux sur lesquels j’ai porté mon regard et tenté d’aller au delà du simple coup d’oeil esthétique figure par exemple cette oeuvre : Courbet et « Le retour de la conférence ».
On ne trouvera dans ce texte aucune allusion aux choix des pigments ni aux techniques d’application des couleurs mises en oeuvre par le célèbre peintre d’Ornans, mais uniquement des réflexions sur le propos de ce tableau et la mise en scène des différents personnages. Et pour cause : ces éléments techniques n’ont d’intérêt que pour les élèves des Beaux-Arts ou les experts ! -
@ rosemar
Moi, méprisant de la culture ?
N’importe quoi ! C’est précisément parce qu’elle constitue l’un des principaux volets de mon existence que je me désole de la voir dénaturée par des considérations, certes non dénuées d’intérêt, mais qui n’ont pas leur place sur un site généraliste comme AgoraVox !!! -
@Fergus
Et il se donne en exemple ! Quelle prétention !
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@Fergus
Comme si la culture était réservée à une élite !
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@rosemar
La poésie est un travail sur le langage...Voilà ! Vous montrez par cette simple phrase que vous ne comprenez pas la poésie, ni d’ailleurs les autres formes artistiques. Vous ne concevez que le côté technique, le savoir-faire qui vient de l’expérience. Or, tout l’intérêt d’une oeuvre d’art vient du fait que l’artiste a su trouver les mots justes, c’est-à-dire ceux qui expriment parfaitement ce qu’il avait dans le ventre à un moment donné. C’est une expérience tout à fait personnelle, et il n’y a pas de mode d’emploi, on y arrive par tâtonnements. C’est magique vous dis-je !
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@ZenZoe
Vous avez trouvé le mot : l’inspiration.
Rosemar fait la critique des oeuvres, c’est son droit. Le problème c’est son angle de vue, toujours axé sur une analyse glacée que d’autres ici ont justement nommé « autopsie ».
J’ai trouvé là une vraie critique ; l’auteur essaye de trouver cette inspiration ::
Francis Cabrel chante pour « Ces belles pour qui l’on respire. ». Armé de sa plume poétique et de sa guitare de troubadour, le chanteur chante la fuite du temps, la mélancolie, et même son paternel sur son quatorzième album « À l’aube revenant. »
Peuple des fontaines » témoigne du style poétique du chanteur de « Je l’aime à mourir ». À travers ce titre, il déploie la mélancolie qui abrite son cœur et son âme. Il parle d’un départ qui déchire son être, c’est la conception même de « L’aube ».
En effet, ce n’est pas par hasard que l’artiste a conceptualisé son album autour du terme « L’aube ». Il s’agit de cet instant de déchirement, qui chasse la nuit pour laisser place au jour.
Le déchirement est bel et bien présent sur « Peuple des fontaines ». L’artiste cherche sa dulcinée, il expose sa peine sans cacher son envie de la retrouver.
La monotonie caractérise le quotidien de cet amoureux après avoir perdu son amante. La répétition de « toujours », et « les jours gris » témoignent d’une vie peu gaie, hantée par l’absence de l’autre.
Le poète amoureux est inconsolable. Ni Rimbaud ni Verlaine ne pourront atténuer son chagrin, seules les retrouvailles pourront guérir ses blessures. Il fait référence aux poètes maudits, mais aussi à Barbara et à Leonard Cohen. Comme quoi, l’artiste s’est inspiré non pas seulement de la poésie du moyen âge, mais même de celle de la période romantique et moderne.
Ce déchirement amoureux se manifeste d’emblée sur le titre « À l’aube revenant », et sur « Les beaux moments sont trop courts » l’artiste aborde le caractère éphémère du bonheur.
Francis Cabrel a le cœur romantique, mais ne se voile pas la face, et se montre clairvoyant quand il s’agit des aléas de la vie, il est à la recherche de la tranquillité de l’âme. Néanmoins, sa mélancolie ne le quitte pas, il écrit presque dans un style baudelairien, hanté par l’être aimé, il est le chanteur des amours passionnels et des amours perdus.
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@Aristide
Attention au lien que vous avez mis dans votre commentaire : état du site suspect !
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@Aristide
« Ce site nous paraît un peu risqué alors nous l’avons signalé par précaution. Assurez-vous d’avoir confiance en ce site avant de continuer. Mieux vaut prévenir que guérir ! »
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@ rosemar
« Comme si la culture était réservée à une élite ! »
Ai-je déjà dit cela ? Certainement pas ! C’est même ridicule.
Si vous n’étiez pas, du haut de votre Olympe gardoise et de vos certitudes inébranlables, si indifférente aux écrits des autres auteurs du site, vous sauriez que j’ai consacré un certain nombre d’articles à la musique et à la chanson populaires !
Le dernier en date a été publié lundi dernier : "Il fait beau : une pépite méconnue de la chanson française. -
@Fergus
Ah le voilà ! Le grief ! Monsieur veut que l’on vienne commenter ses propres articles dont il fait sans cesse la promotion !
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@Aristide
Ce déchirement amoureux se manifeste d’emblée sur le titre « À l’aube revenant », et sur « Les beaux moments sont trop courts » l’artiste aborde le caractère éphémère du bonheur.
Une proposition sur cette constante de la poésie, même s’il est difficile de faire mieux que Ronsard et « Mignonne, allons vois si la rose », je vous suggère d’écouter cet artiste : Raphael : « Dans 150 ans ».
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@rosemar
C’est quoi cette histoire de « site suspect ». Expliquez vous, qui vous signale cela ?
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@rosemar
Visiblement vous connaissez aussi bien l’informatique que la poésie !!!
Pour consulter un site vous utilisez ce que l’on nomme un « navigateur », comme Google Chrome ou Microsoft Edge. J’ai vérifié sur les deux !!! Aucun message !!!
Plus j’ai utilisé le site de google « Google Safe Browsing » qui identifie les sites à risques. Il n’a rien détecté de ce que vous dites.Méfiez de ces messages assez nébuleux, vérifier vous que vous n’êtes pas infectée !!!
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@rosemar
L’inspiration est travaillée !!!!!!!
On voit que vous ne connaissez même pas le sens des mots.
A part l’inspiration pulmonaire que l’on peut mesurer. Pour ma part, la plaie du site, appelation Fergus contrôlée, je me rappelle qu’elle valait 5.5 litres d’air.
Pour le reste, on est inspiré ou pas. Vous, c’est du grand n’importe quoi comme dirait votre ami Fergus Vous alignez des mots sans comprendre. -
@rosemar
il fait sans cesse la promotion !C’est le propre des manipulateurs désinformateurs comme vous avec votre blog !
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@Fergus
« Comme si la culture était réservée à une élite ! »Ben non, moi, la plaie du site, je fais mon jardin
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@Aristide
« Mignonne, allons vois si la rose »Chez Rosemar, elle a du être traitée au RoundUp avant l’éclosion
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@rosemar
L’inspiration est quelque chose de difficile à expliquer, mais clairement elle ne résulte pas d’un ’’travail’’ au sens où vous l’entendez, elle est innée, et c’est elle qui rend une oeuvre si intéressante.
L’écrivain-technicien se borne à mettre en pratique ce qui lui vient des autres et produit des oeuvres sans doute belles et maîtrisées mais convenues, l’écrivain-artiste cherche son propre chemin à l’intérieur de lui, et ne suit pas toujours les règles établies, ce qui rend son oeuvre si attirante parce qu’elle est personnelle.
Je ne suis pas une spécialiste de la littérature, mais de l’histoire de l’art, et le principe est le même. Un tableau réussi n’est pas qu’une juxtaposition réfléchie de couleurs et le strict respect du nombre d’or. Pareil pour la musique. Une symphonie, c’est quand même bien plus qu’une simple suite savante de croches et de blanches sur une feuille de papier.
Ainsi l’analyse d’une oeuvre ne se borne pas à énumérer de manière académique toutes les règles apprises et respectées par son auteur, comme vous le faites, mais à explorer le cheminement qui l’a amené là où il voulait aller, avec ses illuminations et ses embardées.
Bonne continuation quand même...
PS : et répondez à Aristide sur le fond que diable, ce qu’il vous dit le mérite, pourquoi lui prendre la tête avec vos habitudes de navigation ? Vous regardez le doigt ou la lune ?
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@ rosemar
Je n’ai que faire de « promotion ». Si je voulais promouvoir quoi que ce soit, j’aurais créé un blog comme vous, et je me serais inscrit sur les réseaux sociaux, ce qui n’est pas le cas !
Cessez donc de ramener des considérations d’ordre général à des cas particuliers. Lorsque j’affirme que vous êtes « indifférente aux écrits des autres auteurs du site », ce n’est évidemment pas à moi que je pense, ne vous en déplaise, mais à tous ceux qui, sur des sujets variés, produisent des articles de qualité, y compris sur des sujets qu’il vous arrive d’aborder, il est vrai de manière sommaire ou réductrice !
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@ZenZoe
Enfin, tout de même la sensibilité est importante, c’est certain mais toute poésie requiert un travail, une attention, ne serait-ce que la recherche de rimes : vous connaissez ?
Il y aussi des effets de rythmes, de sonorités, des images, des associations de mots, des références littéraires, etc. -
@Fergus
Arrêtez de couiner ! Et n’ayez pas honte de faire votre promotion...
D’ailleurs, je vais moi aussi le faire : -
@Fergus
Celle ci est magnifique, non ?
http://rosemar.over-blog.com/2018/01/je-n-en-finirai-pas-d-ecrire-ta-chanson-ma-france.html
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@rosemar
On parle quand même à un mur avec vous ! On dirait que vous lisez à peine ce qu’on vous écrit, et vous répondez à côté bien sûr. Je vais donc de ce pas laisser tomber ce ’’dialogue’’ qui ne mène à rien. -
@ZenZoe
Je ne vous convaincrai pas, mais :
« Si l’inspiration semble effectivement jouer un rôle dans la conception d’un poème, celle-ci n’a rien de divin et semble davantage se rattacher à certaines prédispositions qui doivent, malgré tout, être développées et entretenues. La part de travail, bien moins séduisante, constitue, en réalité, l’élément majeur de la création d’un poème... »
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@rosemar
En fait j’ai trouvé votre maitre en terme de vision de la poésie. Dans le Cercle des poètes disparus, le professeur, John Keating, détaille la vision de cet illustre devancier de Rosemar :
Comprendre la poésie par le professeur J. Evans Pritchard, professeur agrégé.
Afin de bien comprendre la poésie, on doit avant tout bien se familiariser avec la métrique, les rimes et les figures de style et ensuite se poser deux questions : un, le thème du poème a-t-il été traité avec art et deux : ce thème est-il important. La première question définit la perfection de l’oeuvre et la seconde son importance. Une fois que l’on a répondu à ces questions, il est relativement aisé de jauger la valeur de l’ouvrage. Si l’on note la perfection du poème sur la ligne horizontale d’un graphique, et son importance sur la verticale, l’aire totale ainsi obtenue par le poème indiquera la mesure exacte de sa valeur.
Un sonnet écrit par Byron peut être noté haut sur la verticale mais avoir une côte médiocre sur l’horizontale. Un sonnet de Shakespeare en revanche sera noté très haut aussi bien à l’horizontale qu’à la verticale et la vaste surface couverte ainsi prouvera que la valeur du poème mérite tous les éloges. En lisant les poèmes présents dans ce recueil, mettez en pratique cette méthode de notation. Mieux vous saurez les évaluer de la sorte et mieux vous saurez comprendre et donc savourer la poésie.
Voilà comment Rosemar d’article en article applique sans sourciller la méthode du Pr. Pritchard. Voila ce que répond le professeur à ce laïus indisgeste :De l’excrément.
C’est tout ce que vaut M. J. Evans Pritchard.
Il ne s’agit pas de mesurer de la tuyauterie. Il s’agit de poésie.
Est-ce qu’on juge un poème comme dans le hit parade mensuel ?
« Oh j’adore Byron, je le classe 20e mais ce n’est pas très dansant. »
Je vous demande donc de déchirer cette page.
Sévère ou simplement indispensable ? Voilà ce qu’ajoute Keating !
Une guerre dont les victimes pourraient être vos cœurs et vos âmes
A bas ces académiciens frileux qui mesurent la poésie comme de la rayonne.
Non, non ! Nous n’en voulons pas ici, chassons tous les Pritchard !
A présent dans cette classe vous apprendrez à penser par vous-même !
Vous apprendrez à savourer les mots et le langage !
En dépit de tout ce qu’on peut vous raconter, les mots et les idées peuvent changer le monde.
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@Aristide
Tout le monde n’est pas de cet avis...
Par exemple sur une autre chanson, ce commentaire :
« Pierre Régnier 7 mai 2018 13:10
Merci rosemarOn pourrait vous dire qu’il suffit d’écouter la chanson pour en mesurer toute la richesse et toute la justesse.
Mais non, à moi qui l’ai écoutée 100 fois avec émerveillement, votre analyse phrase par phrase, expression par expression m’apporte beaucoup, et je ressens plus encore la véritable perfection de ce chef-d’oeuvre populaire. »
Ou encore celui-ci :
« xana 8 mai 2018 17:40
Merci Rosemar.
Coïncidence, ce matin je me suis réveillé avec cette chanson dans la tête.
Puis j’ai lu votre article.
Tout n’était pas excellent chez Jean Ferrat, mais j’aimais particulièrement cette chanson.Je suis heureux qu’elle donne des ulcères à vos contradicteurs habituels. Pauvres idiots, s’ils n’aiment pas vos articles, pourquoi les lire et les commenter ? Juste pour vous faire ch..., vous et ceux qui lisent vos articles sans déplaisir. Ce sont des imbéciles haineux qui n’ont que cà à faire.
Je n’aime pas tout ce que vous écrivez et j’ai cotoyé trop d’enseignants pour ne pas garder une certaine distance, cependant j’apprécie une bonne partie de vos écrits et je vous le dis : Continuez ! »
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/je-n-en-finirai-pas-d-ecrire-ta-204103
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@rosemar
Est-ce que les témoignages de vos admirateurs masquent votre absence de réponse au fond de mon message, bien sur que non. Que vous ayez des personnes qui apprécient vos écrits n’est en rien une démonstration d’une quelconque vérité incontestable sur la manière dont vous décortiquez les oeuvres.
Vous illustrez à merveille les propos que j’ai repris :
Afin de bien comprendre la poésie, on doit avant tout bien se familiariser avec la métrique, les rimes et les figures de style et ensuite se poser deux questions : un, le thème du poème a-t-il été traité avec art et deux : ce thème est-il important.
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@Aristide
Ce ne sont pas des « admirateurs », comme vous le dites !
J’ai reçu par ailleurs de la part de xana des commentaires très critiques... -
Isis, sirius et le soleil noir de la mélancolie conjoint dans le signe du cance.
Vous coptes, vous qui avez renommé ce pays Aegyptos. Vous êtes les descendants de Ceux qui ont scelle une Alliance avec cette terre d’asile. il y a huit millénaires. Vous vivez dans le royaumes des Bienheureux Rachetés de l’Amenta, mais la plupart des vos frères humains douteux encore de leur SOURCE et leur origine divine. Vos prêtres, avez la mission de préserver l’HARMONIE voulue par l’Eternel,
Car dieu nourrit le icel de son rayonnement
Car le ciel nourrit à sont tour les Douze.
Car les douze nourrissent les Parcelles divines. vos âmes.
Car les Parcelles sont les dons accordés à l’Humanité.
Craignez donc, ô vous tous qui m’écoutez, le renouvellemnt de la colère du Tout Puissant, car si l’humanité se nourrit des bienfaits qu’Il a dispensé sur la terre. Il peut les supprimer à chaque instant, en l’espace d’une seconde, si
Sa colère se manifeste à l’égard des impies. Ainsi dois-je m’adresser à vous et vous demande
Mélusine, Centres de vie de la Déesse. Fraternité d’Isis Liturgie d’Olivia Robertson. Rituel no. 6. (Traduction Rarius). L’aube du Soleil Intérieur.de rester vigilants, car je suis celle que vous honorez sour le nom Sacré d’ISIS . J’ai donné ma bénédiction à la résurgence actuelle du « Cercle de’OR » et à ceux qui ont contribué à ce retour de la lumière de Nout. Nout est une déesse de la mythologie égyptienne qui fait partie de la grande Ennéade d’Héliopolis. Cette Mélancolie s’appelle la nuit noire de l’âme : la tristesse de l’enfant perdu...
Certains auteurs affirment que Sirius, assimilée à la déesse Isis, ... Avec son aspect bleu clair, Sirius se pose proche du Soleil noir. si vous arrivez à surmonter cette profonde tristesse enfouie : la lumière renaîtra à nouveau... Qui est est ce soleil noir : SAturne..... la perte....ou Urne de Seth qui tue Osiris.... son fils...-
Je m’en doutais. Sa lune est en cancer. Ascendant à 11 degré du cancer et sa lune à 8 degrés. Donc proche de Sirius-ISIS et le soleil noir à 14 degré... on considère 6 degrés d’orbe.
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@Mélusine ou la Robe de Saphir.
ouf ! il a échappé à Cyrus qui est bien plus méchante. -
@raymond Cyrus semble être associé à l’ère du béliier... Mais ces ères se chevauchent.. On comprend que l’ère du lion fut celle du déluge et de la fonte des glaces... le signe en face est le verseau et certain lui attribue un caractère igné (le feu)... Ilest vrai que parfois le ciel flamboye. Et puis Uranus est lié à Prométhée : le voleur de feu... Son père était Japet un titan. Uranus. Famille. Mère, Gaïa. Conjoint, Gaïa. • Enfant(s). Océan · Céos · Crios · Hypérion · Japet · Cronos · Théia · Rhéa ... et d’ailleurs, le descendant de japhet est tubal-Cain, le forgeron...
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Le Cancer est un signe d’eau et un signe cardinal..
Régi par la Lune qui conditionne les besoins primaires, il attache au foyer, à la famille et aux origines, assure l’alimentation, protège la navigation. En mauvaise part, son tempérament impressionnable entraîne indolence et caprice.
• Civilisation[modifier | modifier le code]L’ère du Cancer voit s’intensifier la sédentarisation. L’Homme construit des maisons, se regroupe dans des villages et domestique les animaux. L’agriculture se généralise9. Les sites de Çatal Höyük et d’Hacilar (en) en portent témoignage.
Cette période inaugure peut-être la navigation fluviale ou maritime.
• Spiritualité[modifier | modifier le code]L’ère du Cancer voit-elle se généraliser les cultes primitifs de la lune, de la mer et des sources, des ancêtres ?
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Inscrivez-vous à notre newsletter pour recevoir des conseils sur la lithothérapie, le bien-être et nos dernières nouveautés ! Le signe du correspond bien egyptienne. THot était un dieu lunaire.... Isis pour le signe du cancer et la vierge en face du poisson pour le catholicisme....-
Je m’en doutais : jean de la Fontaine était du signe du cancer. Ben oui. Après le Déluge et le retour à une certaine normalite, des sources se sont révélées un peu partout..... Le cancer est bien la source. On aurait aussi pu l’appeler le SCARABEE. Pour SCARO, le scarabée est un porte-bonheur. Il symbolise la force intérieure grâce à sa carapace qui sert de protection et donne du courage. Comme le crabe qui protège son monde intérieur. Les signes du cancer sont de grands rêveurs...
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Rappelons que les Pyramides (voir Pythagore) ont une base QUATRE. DAleth en hébreux, porte (ou portail). Le sphinx. La maison du signe du cancer est le maison quatre. Et elle nous invinté à recherche la lumière de dieu a l’intérieur (d’où la carapace du crabe (le meilleur étant à l’intérieur...). C’est au le DAATH de l’arbre séphoritique qui nous invite dans nos rêves à rencontrer notre source. Même si comme dans les contes de fées, il faut franchir des dragons)... Les signe du cancer sont de grand Conteurs : Lewis caroll dominante cancer... Alice au Pays des Merveilles.
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Et 2020 donne 4. http://soleildelumiere.canalblog.com/archives/2013/01/17/26178866.html. PLus rien ne seras comme avant. Si tu réponds à la question de DAATH : qui es-tu ??? Le portail s’ouvrira pout toi...
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20 22 : quatre : la vérité...
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79 pourcent des jeunes aujourd’hui adhèrent à l’astrologie. Pendant le Covid en 2020 (quatre),le Noeud nord ou tête du Dragon était dans le signe du cancer. Repli sur soi (obligatoire certes et affreux pour certains) mais d’autres (peut-être du signe du cancer on dit que ce fut une période merveilleuse (on entendait les oiseaux chanter, les poissons étaient visibles dans l’eau...) , ils ont pu lire des livres sur la spiritualité, on fait leur bilan personnel. Ce ne fut pas le cas pour tout le monde. Un couple a jeté son chien par la fénêtre en le brûlant...... Beaucoup espèrèrent un changement total de la société suite à cette époque... et furent déçus du retour de la connerie humaine. Mais nouveau caillou dans la chaussure : Ukraine-Poutine. plus les zoonoses. Le Covid a bien marqué un changement : vers où, vers quoi ??? A suivre. MAIS PLUS RIEN NE SERA COMME AVANT....
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Normalement, c’est un noeud nord en maison 8 qui signe le basculement (scorpion : mort et renaissance). Pour le moment le noeud sud s’y trouve encore..... mars, la guerre. Le renouveau (si il y en un...se situerait plutôt vers 30-31... Quand Pluton aura fait un sérieux tri en verseau...que de tribulation en vue. Tiens quand le noeud sur était en sagittaire (signe du voyage et du lointain), les avions restaient au sol. Noeud sud en scorpion : guerre..... Il arrive dans le signe de la balance : surcharge judiciaire, impossible maintien de l’ordre social : oeil pour oeil, chacun fait sa Loi, en vierge : très mauvais pour le monde médical, on ne croit plus du tout au vaccin, on se tourne vers les médecines alternatives, noeud sud en lion (retour à une vie plus authentique et naturelle.....ça, c’est la vision optimiste... A moins que la terre tourne sur son axe.
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Relisez Jung. Cessez de vous battre dans le monde réel (il se fait sans vous) Chargez vos piles intérieures) et changez le niveau de l’inconscient collectif en le faisant passer du niveau 3 (matérialiste) au niveau 5 (spirituel)..... Economisez votre énergie. La Jérusalem céleste rêvée par Jung et Freud est accessible à tous... Même peut-être aux pervers, les destructeurs. Celui qui a imaginé le Bitcoin a reconnu son erreur. Zuckerberg est en chute,.... On est pas méchant. Si quelqu’un est pervers, c’est ausssi parce qu’il est né dans un milieu toxique. C’est à lui de s’en éloigner. Je sais, peu y arriveront. Couperl e cordon et fuir MATRIX... Rentrer comme le scarabée dans votre arche. Et vous serez NEO... Mais le chemin sera long....
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Bonjour rosemar.
Nous parlons ici, visiblement...D’Inspiration.
Il faudrait revenir à la première signification de ce mot, « inspirer » dans le sens de respirer ( autant qu’expirer, signifie la mort )
Dans un langage poétique, ce qui fait la beauté, d’un texte, est la qualité des mots, leur positionnement, leur force, et surtout, la création de cette impossibilité de les détacher entre eux, tant que cette « inspiration » ne se révèle pas nécessaire et commandée, par « la forme » même des vers.
Un poème, n’est pas de la même veine, qu’un article de GALA, ou du canard du jour.
Il a ses règles de respiration, de lecture qui obéissent tous deux, à l’emphase du poète ( serait il chanteur avant, et devenant poète après ? Est ce le texte qui le fait poète, ou l’est il déjà ) qui l’a écrit à un moment donné, avec sa « respiration » personnelle.( contrairement à la musique, il n’y a pas d’indication de rythme, ni de ton, ni de temps différents, ni de soupirs, ni de croches, triolets, et autres orchestrations)
Vous vous lancez, et le texte s’empare de vous.
Vous le lisez, avec votre âme, avec votre « respiration » !
Nul besoin de « clamer » les vers .
Vous pouvez les lire, à voix basse, ou en votre fort intérieur. Vous adopterez de facto, un style de lecture calqué, sur « poème » comme si, une touche particulière, était activée.
Mais il faut reconnaitre une chose....
Prononcer les paroles, donne la jouissance au palais.
La force des vers, le son des mots, le rythme de la respiration, le ton employé, et même, parfois la gestuelle, ou le regard.....
La poésie, c’est tout cela à la fois !
Ecrite, couchée à plat sur une feuille, parfois enluminée....Mais si puissante, et tellement en relief, quand elle rentre dans le coeur des gens, même des plus endurcis.
C’est dire sa force !
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https://twitter.com/DIVIZIO1/status/1561105873015115779
Les nofake med commencent à dire que la polio refait surface a cause des anti vax ! La vérité est ici ! Le pays avec le plus grand nombre de cas est … l’Ukraine et ce depuis 2016 ! L’argent des vaccins est détourné !
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@SPQR audacieux complotiste chasseur de complot
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Pour en revenir à ces « histoires » de circulation de virus, je voudrais juste parler de celui de la variole du singe, qui, à ce que l’on entend de plus en plus, ne concernerait que les amateurs de « terre jaune ».
Et....Faisant référence à la grande manipulation télévisuelle, qui a eue lieu pour la CAMPagne vaccinale COVID, où nous avons vu, bon nombre de nos sâchants déséchés de vérité, donner leur épaule au sacrifice de la seringue, afin de bien prouver, à l’opinion subjuguée, que eux, étaient tout aussi mortels, et apeurés par ce virus, MAIS.....Que la vaccination, était la rédemption !
SOIT !
Maintenant, que l’on sait, plus ou moins, que le variole du singe, touche pratiquement exclusivement, les monteurs à cru....Et que cela semble se propager de manière assez haBITuelle, comme le virus COVID, verrons nous, ces mêmes pipolitiques, en direct à la téloche, présenter couillu-ment , leurs bras, pour se protéger de cette maladie, qui somme toute ne ferait que leur changer la priorité de leurs loisirs, c’est à dire, de passer du repiquage de salades dans le potager, au repiquage du pote âgé, sale aidé !
Allez, les pipo-lithiques, un bon geste, faites votre coming out vaccinal, il en vas de la sauvegarde de tous les singes de cette terre, que vous mimez depuis des années.
Il est un peu normal, qu’aujourd’hui, ils vous tendent cette liane de survie.
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