E-book readers en France : un échec programmé
Alors que les e-book readers ou leurs équivalents rencontrent un succès réel à l’étranger, leur marché ne s’est toujours pas développé en France. Mais veut-on vraiment leur succès, pourtant inéluctable ?
Une grande enseigne va proposer des e-book readers à 299 €, et offrir de télécharger une sélection de titres choisis avec une remise de 10 à 15 % par rapport au livre papier. Une mauvaise idée, à mon avis.
D’abord, ce sera un marché captif, car il semble bien que seuls certains livres pourront être téléchargés sur le e-book reader en question, et non pas l’ensemble des livres disponibles sur le net en PDF ou HTML.
D’autre part, à 10 ou 15 % de remise, qui voudra acheter ? Le reader est à 300 €, la remise représente, pour un livre à 20 €, 2 à 3 €. Bref, l’engin ne sera rentable qu’au bout de 100, voire 150 achats (200 pour un livre à 15 € avec 10 % de remise).
Si j’avais l’occasion de monter une plate-forme, je proposerais :
Téléchargement de tous livres disponibles en format compatibles.
Un prix de base de 2 €, qui revient à la plate-forme.
Un prix entre 0,75 et 1 € les 100 000 signes, qui reviendrait entièrement aux auteurs.
Ce qui ferait un livre moyen (300 000 signes, 200 pages, à moins de 5 € HT, un gros livre entre 7 et 8, un très gros livre à 10 €.
Là, ça pourrait devenir intéressant, pour le lecteur, et pour l’auteur, qui ne gagne, avec cette formule, que le même droit d’auteur (à moins qu’il n’ait un droit d’auteur du type "livre de poche" ou "club", moitié moindre), et même pour la plate-forme, qui commencerait à vendre en quantités correctes.
Il serait bon, aussi, que la TVA sur ce type de livre tombe à 5,5 %, comme pour tous les livres.
Mais tout ceci semble très mal engagé. Je crois plutôt que, comme le développement de l’internet, à l’époque du minitel, on ne freine des quatre fers pour retarder l’arrivée inéluctable d’un progrès que j’appelle le E4-book.
Pourquoi E4, parce que le e-book est Electronique, Ecologique, Economique et Equitable.
Mais il faut protéger les bénéfices des distributeurs. Aussi vont-ils tout faire pour empêcher une révolution qu’ils ne savent pas comment accompagner. Gageons donc qu’ils nous jouerons la comédie indignée des "libraires qu’on assassine".
Les grandes enseignes s’en sont-elles préoccupés avant. C’est comme pour les petits disquaires, elle les ont joyeusement tués.
Et maintenant, les téléchargements, paraît-il, tuent les grandes enseignes. Curieux comme la loi de la jungle, si sympa quand elle les favorisait, est maintenant devenue une monstruosité à leurs yeux.
Je crois que le système des e-books, s’il est possible de télécharger (gratuit ou payant) tout livre disponible sur le net, va donner beaucoup plus de liberté aux auteurs, qui n’auront plus à "formater" leurs livres. Ce qui est insupportable aux publieurs
Attendons-nous donc à une lutte farouche contre des e-books universels. Mais c’est une lutte perdue d’avance.
Elle ne fait que retarder l’inéluctable : un meilleur accès au livre et le triomphe de la prescription citoyenne sur la pub.
57 réactions à cet article
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Voilà l’article péteux d’un mec qui ne fait rien et qui en plus donne des leçons.
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C’est pas ce commentaire qui est péteux ?
Cet article m’apprend des choses intéressantes. Il pose la question du "business model" pour l’e-Book, il signale l’enjeu écologique, il insiste sur les freins posés par les éditeurs (etc.) pour ce nouveau support.
Nouveau car il n’a pas encore percé en France.
serdan -
ca arrivera, comme pour les graveurs multi formats
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Bonjour l’auteur, merci pour cet article. Je partage votre pessimisme sur le business model de ce nouvel objet : le prix des bouquins est effectivement pas propre à assurer le succès de la machine.
J’ai un de ces appareil sony à 299$ (une petite avant première ... ) C’est joli mais pas suffisament de valeur ajouté par rapport à un bête bouquin, qui lui n’est pas prêt de recevoir un DRM !!!
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Je vois quand même un avantage majeur : la possibilité de transporter une masse considérable d’ouvrages sans déformer les poches. Et aussi les pages qui se tournent toutes seules = moins de fatigue pour le lecteur . En fait, j’attends ce type de produit avec impatience depuis déjà quelques années. Les utilisations ludiques ne sont rien par rapport à l’usage professionnel. On pourra enfin passer à un monde sans papier. Toute la documentation que nous employons habituellement sera disponible sur une seule tablette, dotée d’un moteur de recherche. Evidemment, l’offre qui est faite ici est en parfaite car elle favorisera la concurence et permettra l’émergence de systèmes plus perfectionnés, mieux aboutis et plus pratique. Je suis prêt à parier que dans deux ans, les librairies et les maisons de la presse auront quasiment disparus.
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Pourquoi attendre des lecteurs difficilement adaptés comme le Cybook pour se mettre aux livres électroniques ?
Alors que déjà depuis quelques années des sites comme Ebooksgratuits.com ou Pitbook.com proposent des centaines de titres au format ereader pour pda et pour pc aux formats pdf, rtf ou doc parfaitement utilisables et au point. Du grand classique à la sf, en passant par l’informatique, la cuisine, et même du x.
Pourquoi s’obnubiler sur un Cybook alors que les pc et pda sont déjà d’excllents lecteurs de livres électroniques ?
Le problème des droits semble reglé puisqu’ils sont vendus au même titre que les livres papiers.
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imagine un livre electronique en papier qui contiendrait une petite bibliotheque, genre 1000 livres.
faudrait que ca sente le papier quand meme. et aussi resistant a l’eau. en gnu.........
ouais on peut rever -
L’epaper cela existe.
Vous êtes vraiment curieux à vous attacher mordicus à des détails comme l’odeur ou la texture du papier.
Depuis 25 ans j’ai accumulé une biblothèque d’un bon millier de livres, et franchement je trouve tout aussi agréable de les lire à l’écran une fois scannés. -
pour cet attachement a l’odeur et au toucher, c"est surtout personnel
tous les gros lecteurs adorent ca
pour moi les bouquins ca pese lourd. 1 dizaine de gros volume = 8kg
pour l’instant le e-paper est pas encore utiliser pour faire une imitation de livre -
une longue discution avait euxlieux sur l’e-book,il y a quelques mois sur avox, en résumer les prix vu celui d ela machine, le prix du livre est trop élevé, donc pas franchement vendable. Autre point, la quité du materiel manque quelques elements en plus. Et dernier point les habitudes des lecteurs et surtout du préjugé dutau livre matériel.
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de quoi vous parlez, j’en lis beaucoup que ce soit papier ou electronique, je parle de prejugés d’habitudes, beaucoup vont avoir du mal à passer au debut au e-reader car ils aurrons plus l’impression de sentir le libre , son odeur, son papier, c’était ce qui en etait resortie de la discution. et oui il manque quelque chose dans certains e-reader, l’autonomie batterie, la couleur, la possibilité pour des notes et c’est surtout le prix au des e-book
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jean Paul, justement vous semblez être dans ses fameuses habitudes,
Je vais vous raconter une petite histoire, il était une fois l’avènement de l’internet, de nombreuse personnes ont criées, au scandale, que cela allait tuer l’envie d’écrire. Que c’est t’il passer au final, cela ne l’a pas tué cela l’a tout simplement booster d’une façon si extraordinaire, par le web on n’a jamais vu autant de poèmes, de chanson, d’histoires, de vies personnelles, depuis l’histoire de l’humanité. On écrit toujours et même plus mais avec de outils différents et cet avis ne viens pas de moi mais d’un spécialiste de la littérature et qui a étudié ce phénomène.
Le problème du livre et des magasins actuellement dans notre univers , c’est leur volume et leur prix, si on peut réduire les volumes donc augmenter le nombre de livre acheté et donc automatiquement faire baisser les prix, la vente de livre va explosé ; Il suffit de voir rien que dans les milieux professionnel, l’explosion des documentation set de leurs échanges grace à l’informatique, je trouve cela prodigieux. -
jean Paul, moi naif et demago, non le ebook existe déjà et est viable surtout pour ceux qui ont un PDA et maintenant un EEE ( le seul manque est l’autonomie de baterrie et le choix de livre qui viennent de sortir) et je n’ai meme pas parler de concurencer le livre papier. Par exemple les emails sont arrivés par le telephone portable avec pelisn de possibilité de faire, cela a t’il tué la carte postale ? non. cela ne tuera pas le livre papier, mais pour de nombreuses personnes cela sera un avantage indeniable.
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Tout comme Jean-Paul Doquet, j’aurai aimé avoir quelques exemple de succès de e-book à l’étranger. En effet, je n’ai pas vu une seule fois quelqu’un en utiliser ni en Europe, ni en Amérique du nord, ni au Maghreb, ni en Asie.
Par ailleurs, les obstacles ne me semblent pas être franco-français mais plutôt liés à cette technologie :- Il faut faire changer d’habitude ses prospects. Pas facile...
- Il faut acheter un appareil.
- Le e-book peut ne plus avoir de batterie.
- Un appareil électronique a une durée de vie bien plus limitée qu’un livre papier. J’ai encore des livres de mon enfance mais aucun appareil électronique !
- Le confort visuel d’un livre est actuellement largement supérieur aux meilleurs écrans.
- Il y a en outre le risque des DRM ou autres pompes à fric.
Cela fait beaucoup même sans regarder le prix des livres que l’auteur souligne à juste titre.
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La meilleure preuve du futur bénéfice que je tirerai d’un e-book c’est que je possède d’ores et déjà plusieurs milliers de livres du domaine public au format pdf et que je me ferai plaisir en amenant ma bibliothèque tout entière avec moi dans mes déplacements pour en lire ou relire quelques-uns à ma fantaisie, en toute liberté. Quelle réponse pouvez-vous avoir à ça ? Toutes seront fallacieuses et sans fondements. Vous avez déjà perdu votre lutte absurde avant que ça ne commence.
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Je ne comprend pas qu’on puisse s’acharner autant contre une simple technologie. Il y a sûrement eu de nombreux détracteurs à l’imprimerie quand elle est apparue...
Pour moi, le seul problème des ebook reader qu’on nous propose pour l’instant, (problème très important, je l’avoue) c’est le format de fichier utilisé (DRM inside). Si demain il en sort un qui lit les PDF (c’est une simple question de volonté de la part des industriels), alors je l’achète tout de suite.
Pour le reste, cette techno n’a que des avantages : moins de papier utilisé, donc moins d’arbres coupés et moins de produits polluants rejetés, le volume d’une bibliothèque se réduit considérablement (dans une toute petite carte SD de quelques gigas, on peut stocker des centaines de gros livres), on pourrait créer facilement des marque-pages ou annoter des passages, on pourrait faire des recherches puissantes très rapidement dans le texte, stocker des documents à durée de vie temporaires (pour une réunion, etc...) au lieu de les imprimer et de les jeter à la fin de la journée, etc...
Et surtout, pour tous ceux qui disent "oui mais les écrans ça fatigue les yeux" allez lire l’article "papier électronique" sur wikipedia, vous verrez que l’affichage est beaucoup plus proche du papier que de l’écran. Une fois qu’une page est affichée, elle ne nécessite plus d’énergie, à la différence d’un écran qui est constamment rafraichi, donc l’autonomie ne devrait pas être un problème.
Pour conclure, cette technologie n’est certainement pas tout à fait au point, mais il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain, ces appareils ont un très fort potentiel. Je pense qu’au fur et à mesure l’offre va se diversifier, les prix baisser, et si le public n’achète toujours pas, les industriels finiront par en proposer un qui lit les pdf. Renseignez vous avant de critiquer bêtement.-
Parfaitement d’accord avec vous, c’est ce que j’en avais conclu. La technologie du e reader, je pense, ira vers le e papier car il permet une grande automie dans le systeme de batterie, une norme de format serait la bienvenue, ameliorer la couleur permettre des rpises de note comme dans un livre classique aussi st la bienvenue. Toutes se spetites choses sont facilement fesable par les groupes industriels. Pour le prix des e-paper, le prix est encore trop élevé et il ne peut baisser car tout simplement pas assez de vente, en plus la technologie evoluant, les appareils vont vite evoluer vers des systemes plus ergonomiques, donc pour le commun des mortels faut voir si ca vaut vraiment le coup d’investir dedans. Donc le seul aspect que l’on peut voir faire modifier la dnne, c’est du coté du prix des e-book. Actuellement ils sont beaucoup trop cher. Vous me direz il existe des gratuits, mais malheureusement ce n’est pas ces livres là qu’en général les gens lisent ; he oui c’est comme ca ,on lit en general les derniers livres sortis, un autre filon non utilisé, c’est celui des magazines et journaux, le potentiel est enorme.
Pour resumer, je pense que c’est sur le prix des livres qu’il faut travailler pour pouvoir faire rapidement amortir le prix de l’appareil, disons qu’il faudrait 15 livres acheter par an pour s’y retrouver. Donc la solution est chez les editeurs. Et c’est de là que tout s’enchainera. -
bonjour anatika
"Pour moi, le seul problème des ebook reader qu’on nous propose pour l’instant, (problème très important, je l’avoue) c’est le format de fichier utilisé (DRM inside). Si demain il en sort un qui lit les PDF (c’est une simple question de volonté de la part des industriels), alors je l’achète tout de suite."
c’est EXACTEMENT mon problème
j’ai beaucoup de livres tombés dans le domaine public en pdf et je ne vois pas pourquoi il n’existe pas de lecteur approprié à part bien sûr mon PC, ce qui n’est pas le but.
depuis que vous avez posté ce message (il y a un an), auriez vous eu connaissance des progrès dans les lecteurs ?
j’essaie de voir, mais n’y comprends pas grand chose je vois par exemple, qu’ils en sortent un chez sony, je crois, ou le kiddle d’amazon, où ils vendent des livres qu’on peut acheter sous forme de fichier machin ou de fichier pdf
donc, à votre avis, ce lecteur serait il apte à lire des fichiers pdf ne provenant pas de leur site ?
si vous avez trouvé une réponse à votre problème et au mien, pourriez vous me faire part de vos conclusions ?
merci et bonne journée
kaboukoe -
Bonjour
Je suis un gros lecteur et je n’aime pas lire sur un écran.
On ne vendra ce gadjet qu’à ceux qui n’aiment pas lire.
Encore un publi-reportage !
Radix-
Bonjour, votre raisonnement est faux.
Vous êtes un gros lecteur
Vous n’aimez pas lire sur un écran
Donc vous en déduisez que
Les gros lecteurs n’aiment pas lire sur un écran.
Ce qui est faux (On apprend ce raisonnement en 5eme). -
D’autant qu’il ne s’agit pas d’un écran mais d’une page papier en plastique si l’on voulait faire un raccourci.
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Il ne s’agit pas d’écran bien que cela y ressemble, mais une autre façon d’écrire sur une surface claire, voilà ce qu’il faut arriver à se mettre dans la tête. Ce n’est pas rétroéclairé (ça demande d’être éclairé), ça ne scintille pas. A terme, je pense que cela finira par être encore plus lisible que la plupart des supports papier.
Et puis le livre n’est pas un support très pratique.
- Pages souvent difficilement lisibles dans les pliures, quand le livre est péniblement ouvert en certaines circonstances, etc...
- Livre lourd, pas annotable, pas analysable, pas reliable à d’autres données, etc...
- Livre unique contre bibliothèque transportable.
- Livre cher contre e-book bon marché (dans quelques années)
- Livre gaspilleur contre e-book écologique.
- Livre fermé contre e-book ouvert (sur d’autres livres, d’autres médias...)
....
Et puis, les lecteurs que nous sommes seront remplacés par d’autres lecteurs qui liront sans doute de façon différente...
Cette discussion me rappelle celle que j’avais il n’y a pas si longtemps avec les défenseurs du microsillon puis ceux qui s’accrochaient aux appareils photos argentiques...Bizarrement, tous ces défenseurs ne s’expriment plus aujourd’hui. Y avons-nous perdu quelque chose ?-
Bonjour
Je suis aussi un photographe et j’ai un Nikon argentique !
On n’est pas près d’atteindre avec les numériques la définition d’un argentique.
Ce cd n’atteint pas la qualité d’un microsillon : il compresse les aigus et les graves, j’ai conservé mes microsillons et la platine pour les lire.
Le "progrès" n’est pas toujours pour le client !
Radix -
Radix et bien moi de mon coté je connais pleins de photographes qui sont justement passer au numérique pour ses qualités. La photographe qui a fait nos photos de mariage a utilisé un numérique et les photos grand formats étaient superbes. Et maintenant pour les batteries on vend même des chargeurs solaires si on est pleine foret amazonienne ou dans le désert j’ai même vu des affiches publicitaires faites à partir de photo numérique, la qualité était génial. Sans compter tous les avantages de l’électronique annexe
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Bonjour
Je passe ma journée à mettre en page des photo venant du numérique et je leurs doit la majorité de mes problèmes.
Alors les photos de mariage de tonton Jules je m’en tape tant que je ne suis pas obliger de travailler dessus !
Pour faire des photo professionnelles avec un numérique qui approche, seulement approche, la qualité de l’argentique il faut acheter un boitier nu qui vaut 10000 euro et comme celà ne court pas les rue : je galère !
Radix -
Vous en avez peut être une utilisation particulière, mais en tout cas c’est bien le numerique qui a détroné l’argentique car les inconvenients ne valaient les avantages dans le cas du numerique. et chez beaucoup de profesionnesl c’est ce que j’en ai observé
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"Ecologique" le livre numérique, vraiment ? Etant donné la quantité d’eau nécessaire pour fabriquer une simple puce électronique on peut en douter (sans même parler du recyclage de ces matériels). Les livres ne représentent qu’une part infime de la consommation mondiale de papier, très loin derrière les industries de l’emballage.
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"Ecologique" le livre numérique, vraiment ? Etant donné la quantité d’eau nécessaire pour fabriquer une simple puce électronique on peut en douter (sans même parler du recyclage de ces matériels). Les livres ne représentent qu’une part infime de la consommation mondiale de papier, très loin derrière les industries de l’emballage.
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J’ai des milliers de livres dans ma bibliothèque, c’est à dire des tonnes de papier. Je n’aurai qu’un seul livre numérique. Vous n’allez pas me dire que le deuxième est aussi polluant que les premiers, ce serait de la mauvaise foi.
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L’auteur s’avance beaucoup pour au final ne pas dire grand chose.
Si le succés du e-book est plus que mauvais pour l’instant. Tout prouve qu’il percera dans quelques années. Et dans au moins trois a quarte decenie, il surpassera le livre papier. Pour tout les pays industrialisé.
D’abord on consommera moins de papier. Le principe des DRM va forcement être abandonné, c’est plus que certains. Imaginez la facilité pour les bibliothéques de disposer de plus de titre sans avoir le probleme de stock. Car si on parle déjà de piratage de bouquins et magazine (ca fait un bout de temps quand même que ça existe). On pourra prêter des bouquins, comme de nos jours des logiciels ou des cd de musique.
C’est qu’une question de quelques mois d’avoir des E-reader avec ecran Oled couleur et une consommation debattrie pas enorme. De plus le prix va être trés trés bas au même titre que le téléphone portable.
Je verrais bien dans quelques années des e-book a 1€ avec 3 bouquins par mois et plus si ont payent plus. Une sorte de forfait de la culture.-
Pour qu’un tel abaissement des couts se produise il faudrait une demande de masse qui n’existe pas, parce qu’il n’y a pas d’utilité de masse.
Attention ! Vous avez du papier électronique dans des endroits inattendus :- Les étiquettes de rayonnage au supermarché.
- Certaines pubs dans le métro au japon...
Si vous pouvez "abonner" votre client pour 24 mois (pas aberrant), cela fait 6.25 € par mois à amortir.
Bref, si vous faites un forfait à 15 € par mois pour 3 livres, vous pouvez d’une part amortir le lecteur et d’autre part donner 2.91 € à chaque auteur. Et pour le client, 15 € c’est moins cher que d’acheter 3 livres. Donc économiquement ca se tient. La seule chose qui pourrait dérailler la belle mécanique c’est si les taux d’intérêts montaient trop au ciel parce que pour monter un business comme cela, votre banquier est votre ami. Mais pour l’instant ca donne un truc comme un ROI au bout d’un peu plus d’un an ce qui n’est pas dégeulasse du tout. Et cela sans compter ceux qui prendront des forfaits plus gros. (type 5 livres ou livres + presse).
Surtout que toujours via la loi de moore et l’amortissement les prix vont continuer à baisser et que vous aurez vite un amortissement mensuel complétement négligeable et surtout un ROI plus rapide.
Bref à moins que la crise financiére s’aggrave vraiment beaucoup, ce genre de trucs devrait se financer car on parle ici de financement à très court terme. Finalement pour le banquier c’est moins risqué de mettre sa thune la dedans que de la foutre dans une imprimerie par exemple.
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@ Marc
La loi moore ne concerne que le transistor et elle a était remanié a plusieur reprise. Car elle ne collait plus a la réalité.
@ Jean paul
Vous ne voyez pas a long termes. Quand vous dites que personnes ne voudra jamais d’un e-reader, car c’est trop chére. Je suis entièrement d’accord maintenant. Mais dans 10 ans quand cette technologie sera amortis est plus qu’abordable. C’est clair que tout le monde en possedra un.
De même si on peu faire un modele pour intégrer les ecoles et ne pas leur faire porter un tas de livre.
Rappelez vous les premiers téléphone portable, tel que les beebop qui a couté pas loin de 6000 francs, le prix de la minute était encore plus chere que maintenant.
Bref plonger vous dans le futur et vous verrez l’enorme possibilité de l’utilité de cette machine.
PS : Il ne faut pas voir que parce que le reader existe, le livre disparait. Le journal n’a pas était detruit par la radio, qui elle même par la TV et ce dernier par le net (quoi que j’ai des doutes pour ce dernier)
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L’e-book a ceci de commun avec le visiophone et le dirigeable que ce sont des idées séduisantes, qui attirent les bricoleurs, les investisseurs et les curieux, et qui ne marchent jamais. Dans le cas du visiophone, c’est parce que personne ne veut être vu au petit matin blême, pas rasé et en pyjama, par son patron qui appelle pour un problème urgent, pour le dirigeable c’est parce que ça finit toujours par un krach spectaculaire dans un océan quelconque.
Et pour l’e-book, en dehors du petit cercle des technophiles, ça n’intéresse tout simplement personne. C’est cher, ce n’est rentable que si l’on achète de grandes quantités de livres, or les bibliophages ont tendance à être aussi bibliophiles, plutôt âgés et attachés à leurs vieux bouquins en papier. A ceux que ça intéresse de lire sur un écran portable, un blackberry ou un mini-pc fait tout aussi bien l’affaire. Il y a déjà des lecteurs MP3 qui lisent les formats txt, bientôt sans doute aussi les pdf. Enfin, les éditeurs sont affectés par la paranoïa ambiante et se voient déjà ruinés, ce qui ne les incite guère à soutenir la chose, tout en exigeant des verrouillages divers et variés qui nuisent considérablement à la crédibilité du système.
Bref, il en sera dans dix ans comme il en est depuis dix ans sur ce chapitre : rien de neuf.-
Le dirigeable a été dépassé technologiquement par l’aviation mais le visiophone existe bel et bien sous la forme de la webcam. Le reader existe déjà sous la forme de PDA et actuellement sous forme de EEE, le grand défaut de tous ses système est leur autonomie, ce défaut est énormément réduit par le e-paper ; Donc suivant les utilisations, les uns sont plus avantageux pour certains, contrairement à d’autres ; Pour un lecteur seulement cherchant la lecture avec grande autonomie le e paper est très bien, pour un commercial, un PDA ou EEE sera plus pratique car il aura souvent à des points de rechargement de batterie. N’oublions pas que les écrans évolues encore actuellement et donc, il est tout a fait possible d’imaginer un ecran classique ayant la même économie d’energie que le epaper, donc rendant le ereader obsolete.
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Le dirigeable a été dépassé technologiquement par l’aviation
Pas vraiment. Ce qui a tué le dirigeable, ce sont les accidents répétés et systématiques. On connaît évidemment celui du Hindenburg, mais il faisait suite à une série remarquable de catastrophes : les dirigeables de l’US navy Shenandoah en 1925, Akron en 1933 et Macon en 1935, le R38 britannique en 1921 et plus tard, le R101 (qui s’écrasa en France pour son voyage inaugural), l’américain et ex-italien Roma en 1921, le franças Dixmude (ex-allemand) en 1923. Tous ces accidents ont fait des dizaines de victimes, ce qui constitue un bilan de sécurité remarquablement médiocre si on considère le petit nombre de dirigeables rigides qui ont été construits.
Pour ce qui est du visiophone, la webcam n’est pas un appareil intégré, c’est au mieux un bricolage. Et pour ce qui est de la visiophonie sur portable, je n’ai jamais vu personne l’utiliser.
Enfin, les livres électroniques, ça fait quinze ans qu’on annonce pour l’an prochain la technologie miracle qui va révolutionner tout ça. Mais la technologie, ce n’est pas le problème. Le problème c’est le concept même d’e-book.
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Vous n’avez encore jamais rencontré de e-paper sinon vous ne le compareriez pas au papier qu’a l’écran d’un portable. Il vaut toujours mieux parler de ce que l’on connait cela évite de changer d’avis ensuite.
En l’occurence, on pourrait comparer l’avenir du e-book à celui de l’ordinateur, du microsillon ou de l’appareil photo plutôt qu’au dirigeable
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Ebooks et Epapers sont des solutions pour remplacer par exemple la totalités des livres scolaires, disposer gratuitement de dizaines de milliers de titres du domaine public, où de remplacer avantageusement les couteuses partitions pour les musiciens comme sur cette photo.
Un Ebook lit facilement les formats pdf (juste pour le texte et les images, pas les feuilles de calculs !), jpg, ou html, rien qu’avec ces trois là on accède à tout ce qui concerne les livres.
L’intégrale du théatre de Corneille, environ 1500 pages=2 mégas, soit, sur une clé Usb 4 Go 3 000 000 de pages textes, moins si on ajoute des images.
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pour le scolaire le ebook vient juste d’être dépassé par les EEE pour le même prix, pour le monde étudiant c’est génial. posseder un lecteur ebook avec untratement de texte plus internet et web cam, depuis le temps que c’était demandé, actuellement cela fait 20% de vente des portables ;
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pour le scolaire le ebook vient juste d’être dépassé par les EEE pour le même prix,
Vous n’avez visiblement pas essayé les tablettes eInk. Si il s’agit de lire un livre, je n’échange pas un écran LCD contre du eInk, cela n’a aucun sens :- Le eInk se lit en plein soleil. Essayez d’utiliser votre eeePC sur la plage vous comprendrez le problème ;)
- Le eInk a une conso de batterie ridiculement faible.
Cela dit le EEE pour en avoir acheté un, je suis assez décu du produit après quelques mois d’utilisation. Cela occupe une niche entre l’ordinateur portable et l’iPhone.
Sauf que :- Pour l’utilisation de consulter mes mails en situation de mobilité, je préfére mon iPhone. De même pour toutes les autres utilisations mobiles comme consulter un plan, les cours de bourse, etc, etc, ... Et ce, alors que j’avais toujours refusé le blackberry, un très mauvais produit selon moi. Mais la, Apple a su faire le produit dont j’avais besoin. (Il reste des défauts à l’iPhone notamment la faible durée de vie de sa batterie ou sa fragilité, mais dans l’ensemble je suis un client satisfait).
- Pour l’utilisation de travail intensif, je préfére mon ordinateur portable, plus confortable. (Clavier et écran plus grand, et surtout plus de puissance CPU).
- L’eeePC, gardez le bien sous Linux, parce que les versions Windows XP sont inutilisables.
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En scolaire la plus par du temps on n’a pas le soleil sur le dos, parce que l’on est en salle, ce probleme n’intervient que très rarement.
Comme vous l’avez dit le EEE vous a decu car pour vous cet appareil ne convient pas à vos utilisations. moi même je ne vais pas l’acheter car les EEE ne correspondent pas à mon utilisation informatique. Mais je ne vais pas rejeter ce produit. Si je me souvient bien le EEE au départ est concu principalement pour une utilisation texte et internet en prenant peu de place. Actuellement il se vend bien, donc il a une utilité pour une partie de la population. -
Non pas totalement
Sinon la web cam je m’en sert tous les deux jours, et les reseaux sont très nombreux, la web cam on s’en sert surtout en famille quand on est eloigné géographiquement ou pour la visio conférence. c’est une possiblité de plus dans certains cas,
Le ebook ca evolue bien actuellement, de nombreux journaux ont une forme en ebook, ereader et ebook ont bien evoluer mais en changeant simplement de forme.-
C’est vrai qu’un livre papier au moins on peut le donner !!!
http://www.digg-france.com/GADGETS/EBOOK-READER-LECTEURS-DE-LIVRE-ELECTRONIQUES-PDF-POURQUOI-LES-VENTES-NE-DECOLENT-PAS-EN-FRANCE
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Il est plus facile de donner en 3 minutes 10000 e-books sans s’en priver ! ))
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Tout cela c’es négliger :
- Le piratage qui va créer un marché pour le e-book. (Surtout en ces temps de crise).
- La documentation technique qui va créer un deuxiéme marché pour des gens qui se trimballaient avec une malette pleine de bouquins de références.
- Ces deux marchés sont suffisants pour amorcer la pompe. Une fois que les gens seront équipés des tablettes pour un usage, ils pourront s’en servir pour d’autres.
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Tout à fait Marc.
Dans mon portable j’ai des gigas de pdf sur la programmation, les algorithmes, le c, le fortran, le vb, pavés de chacun 900 pages, intransportables en version papiers.
Idem de cours d’astronomie et d’astrophysique, de ma base de données sur les exoplanetes, les astéroides, tous les corps du système solaires avec leurs données physiques et orbitales.
Tous téléchargeables en formats xls, doc et pdf gratuitement sur le net.
Je vais me trimballer ces pavés de papier dans le métro, en vacances ?
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Cet article se fait l’écho d’une opinion majoritairement partagée. Le seul RSI n’est un critère recevable que si on ignore les possibilité hypermédia de ce type de support.
J’ai rédigé pour AgoraVox un article sur cette nouvelle écriture qui mixte textes, images et sons, on oublie la vidéo pour l’instant.
Imaginez : vous êtes à Florence devant le Dôme de la cathédrale. Vasari vous explique comment Brunelleschi à conçu cette prouesse architecturale (texte), vous écoutez en même temps le motet écrit par G Dufay en 1432 (de mémoire) pour la consécration de l’édifice (musique), motet basé sur les proportions du dôme, et vous avez aussi sous les yeux les plans (images).
Quel support vous offre une telle opportunité et un confort de lecture identique au papier en plein soleil ?Aucun.
C’est pour celà que j’ai écrit les Guides MAF, c’est pour celà que ce type de support fera son chemin, malgré les sceptiques. La réussite est au bout de la plume des auteurs.
Marc-André Fournier-
Il existe une grande différence entre un écran d’ordinateur actuel et un écran à base d’encre électronique (E ink). Les readers qui arrivent sur le marché seront certes améliorables (connexion, multimédia, ergonomie etc.), mais permettent déjà une lecture confortable comparable à celle du papier. Pour l’instant, la petite communauté équipée de ce genre de liseuse (ou reader), concerne non pas des personnes qui ne lisent pas mais au contraire de gros lecteurs. Si vous voulez lire des spécialistes du sujet ou en savoir un peu plus : www.netvibes.com/libro
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bravo pour l’E-A4 !, je trouve très juste !
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Sur Relay.fr on y trouve des mensuels scientifiques, sportifs ou autres au format spécifique Delivery.
Parfaitement lisible et exactement le même document que la version papier, très agréable à lire sur un pc.
Je trouve les anti livres électroniques vraiment obsedés par des idées préconçues qui n’ont rien à voir avec la pratique quotidienne du ereader.
parce qu’en utilisation quotidienne, les arguments des détracteurs volent en éclats.
Des Mormons anti technologies peut être ?
Quant à dire que les livres papiers sont plus durables que les livres électroniques, ce n’est pas prouvé..
Certains reportages nous expliquent qu’une disquette ou un cd rom ne sont lisibles que 10 ans.
C’est faux.
Mes premières disquettes d’il y a 25 ans sont en parfait état et fonctionnent impeccablement.
Idem de mes premiers cd rom.
J’ai encore des disques durs VLT de toute première génération, ceux de 5 mo dont on devait lancer un programme PARK pour parquer la tête de lecture avant chaque arrêt de l’ordinateur ; qui fonctionnent encore parfaitement. Donc mes documents qui y sont parfaitement lisibles.-
tu les as stocker ou tes trucs ?
les disquettes n’aiment pas les variations de temperature ni l’humidite, .........
la sauvegarde est donc obligatoire
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Je suis d’accord avec l’auteur : une fois de plus, l’avidité et la cupidité des distributeurs vont couler ce qui apparaissait comme une idée intéressante. 300 € le lecteur, non, mais on rêve !!! Pour 30 €, j’ai un accès illimité à la bibliothèque muncipale d’Angers, quatre sites, des dizaines de milliers d’ouvrages, y compris de BD et des DVD. Sans compter que lire sur un écran, ça nique les yeux.
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J’ai un ebook reader (Sony PRS500)
Quelques remarques issues de mon expérience personnelle : (j’ai 350 livres dans mon ebook)
1- C’est encore cher : aurtour de 300E
2- C’est très pratique : avion, train, plage, hamac....
3- Un peu lent surtout avec les gros livres
4- Ca accepte aussi des formats "libres" : .doc, .PDF
5- On trouve tous les livres "anciens" gratuits partout sur le net : Camus, Zola, Balzac...
6- On commence à trouver quelques livres récents gratuits (De Rosnay...)
7 - La disponiblité du lecteur en France n’est pas un problème : on le trouve depuis longtemps aux US et, comme d’habitude, même quand il sera disponible en France, ça coutera toujours moins cher de le faire venir des US (ebay...) Le PRS500 se rechage par un cordon USB : le blox secteur est presque inutile et de toute façon, il est compatible 230V, il manque juste l’adaptateur de prise.
8 - La disponibilité des livres en français est plus problèmatique mais ça s’améliore à la vitesse V.
9- Que ceux qui pensent que c’est pareil que de lire sur un PC teste un "reader" : l’autonomie est monumentale (on peut lire un livre de plusieurs milliers de page sans recharge), en plein soleil, c’est très léger, ça ne chauffe pas et le démarrage est quasi instantané...
10 - La lecture sur un "reader" est beaucoup plus proche d’un vrai livre que d’un portable...
11- Ca ne marche pas bien pour les bandes dessinés ou pour les livres qui contiennent des graphiques images... à moins qu’ils ne soient spécialement conçus pour ça.
12- La couleur serait un plus mais n’est pas indispensable. L’ideal serait un format plus grand (A4) que l’on puisse rouler et dérouler d’un tube un peu (en plus petit) comme les écrans de projecteurs. pour pouvoir mettre le tube : mettons 22cm de long 1 cm de diametre dans la poche...-
Merci de votre témoignage, je vais changer d’avis.
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Quand je parlais d’échec programmé, je disais que certaines chaines de librairie, en particulier celle dont je parle sans en faire la pub, faisaient tout pour nous en dégoûter. Car je crois à l’avenir de l’e-book reader. Le e-paper est déjà bien au point, même s’il y a des avancées nécessaires (couleur) à venir.
Et une question toute bête. Existe-t-il des livres, à part les readers, ou on peut passer du corps 9 ou 10, pour le myope, au corps 16 ou au-delà, pour le presbyte ? A moins d’une édition spécialisée, ce dernier ne trouvera rien à lire sans lunettes. Bon, on peut éditer un Nothomb en corps 16, ça ne pèsera pas beaucoup plus lourd, mais imaginez le cas des Bienveillantes.
Je crois que ceux qui sont contre l’e-book reader le confondent avec l’écran de leur ordinateur.-
En France, il y a déjà un collectif d’auteurs vendant des livres de fantasy, Science-fiction et Fantastique sans DRM en format PRC (le plus adapté aux lecteurs d’e-book) sur le site Babelpocket.fr. Les e-books, ou livrels, y sont vendus entre 2 euros et 8 euros (au maximum).
Selon la revue Médias, en Chine, la production de masse a démarré et devrait faire baisser les prix des lecteurs d’e-book, encore trop chers il est vrai. La Chine prévoit pour 2012 de remplacer tous ses manuels scolaires par des e-books, pour des raisons à la fois économiques et écologiques.
Demandez-vous une chose : quand vous achetez un livre papier, quelle est la part de création littéraire que vous payez ? Quelle est la part de transport ? De stockage ? De marge libraire ? De rémunération des diffuseurs ? Si le couple auteur-éditeur arrive à 40% du prix du livre, c’est un grand maximum. L’e-book va permettre de remettre les choses un peu à plat et de faire aller l’argent là où il doit vraiment aller : à la création.-
En france, il y a un site ou des auteurs amateurs parfois de haut niveau mettent leurs textes en intégralité.
Il y a aussi de nombreux auteurs qui en proposent le pdf gratuit.
Alors, si vous avez été capables de mettre 300 euros dans un e-book, allez le charger en bouquins et nouvelles sur www.inlibroveritas.net
Et si vous avez apprécié, vous pouvez faire des dons aux auteurs.
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Sûrement pas, ils vont les boire !
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