La musique de Cuba au plus haut

Chacun connait la merveilleuse histoire du « Buena Vista Social Club », lorsque Ry Cooder découvrant par hasard l’existence de ce club, en regroupa les musiciens, leur proposa un studio, en fit un enregistrement et arriva à convaincre Wim Wenders d’en faire un film
Ce film propulsa ce groupe de vieux musiciens (certains avaient passé les 80 « balais »), sur des scènes mondiales et triomphales. vidéo
Ils avaient pour nom Compay Segundo, Eliades Ochoa, ibrahim Ferrer. Omara Portuondo, Ruben Gonzalez, Orlando Lopez, Amadito Valdés, Manuel Mirabal, Barbarito Torres, Pio Leyva, Manuel Licea, et Juan de Marco Gonzalez.
Leurs noms resteront gravés dans nos mémoires.
Bien sur Wim Wenders est le réalisateur du film, mais tout le mérite revient d’abord à Ry Cooder, compositeur de la musique de « Paris Texas » et de « the end of violence ». lien
Cooder avait eu connaissance, lors d’un voyage à Cuba, de l’existence de ce légendaire club de musiciens « Buena Vista Social Club », et en avait fait un premier enregistrement.
Certains ne jouaient plus, comme le pianiste, que l’on croyait atteint d’arthrose, mais qui ne jouait plus pour la bonne et simple raison qu’il n’avait plus de piano.
Tout simplement.
A force d’insister, Cooder obtint de Wenders qu’un film soit réalisé là-bas lors d’un nouvel enregistrement.
Le disque a remporté un « Gramy » en 1997, et le magazine « Rolling Stone » l’a classé parmi les 500 plus grands albums de tous les temps.
Le Film, sorti en 1999, a connu un énorme succès, et a été projeté dans de nombreux festivals, à commencer par « les Berlinales »
Aujourd’hui, un certain nombre de ces musiciens nous ont quittés :
Compay Segundo avait 96 ans, Ruben Gonzalez 84 ans, Ibrahim Ferrer, 78 ans, Pio Leyva, 89 ans et Orlando Lopez, 76 ans, en février 2009, mais avant de disparaitre, ils ont fait des petits.
Et ces petits sont en train, à leur tour, de devenir des géants.
Comme par exemple Michel Camilo, que l’on peut voir et écouter sur ce lien
Prenez les sept minutes proposées de ce morceau pour partager seul ou en bonne compagnie ce merveilleux moment.
Ou même Omar Sosa, pianiste plus qu’inspiré.
lien Chucho Valdes génialissime (vidéo),
Comme il le dit lui-même, « le Jazz et la musique afro-cubaine, d’une certaine manière, sont la même chose. Elles partagent un tronc commun et ont une même réalité, la mère Afrique ».
Il était invité en 2007 avec son trio au festival de jazz d’Eymet, prés de Marmande, accompagné d’un admirable bassiste, et d’un batteur précis, incisif et inventif.
Cet été, Marciac, célèbre pour son festival a reçu entre autres Roberto Fonseca, Chucho Valdes & the afro cuban Messengers (une référence au « Jazz Messengers » chers à Art Blakey), et leur concert est encore dans toutes les mémoires. lien
Ce n’est pas une première, ils étaient déjà là en 2008, c’était le 11 août. vidéo
Cuba, ce n’est pas seulement cette petite ile dont le leader, devenu avec le temps, despote, chassa l’Amérique friquée de ses plages dorées, c’est aussi la patrie d’un étrange mélange de noirs, d’indiens et de blancs.
Au départ peuplé de Siboney et de Tainis, tribus indiennes, Christophe Colomb leur envoya ses sauvages espagnols, et éradiqua quasiment les autochtones en quelques années.
N’ayant plus de main d’œuvre, et pour cause, les Espagnols utilisèrent Cuba comme plaque tournante du commerce des esclaves noirs. lien
Tout çà est donc une affaire de métissage : des noirs, capturés pour servir d’esclaves, des indiens massacrés, des blancs prédateurs quittant leurs pays contraints ou pas, se retrouvant pour fonder une nation mélangée.
Sans oublier la violence subie par les indiens et les noirs, force est de constater que le métissage a aussi des aspects positifs.
Il suffit d’évoquer les patronymes qui gouvernent la France d’aujourd’hui : De Kouchner, à Estrosi, en passant par Sarkôzi, Woerth, Amara, Borloo, Devedjian, Waukiez, Rama Yade, Morano, Kosciusko-Morizet…
Une leçon que tous les racistes devraient méditer.
La consanguinité n’a jamais donné de très bon résultats.
Django Rheinardt, par exemple, a su mélanger sa culture gitane et le Jazz, pour lui donner une nouvelle couleur. lien
On imagine avec effroi qu’aujourd’hui, Django et ses amis auraient été tout purement et simplement reconduits à la frontière.
Mais quelle frontière ?
Les gens du voyage en ont-ils une ?
Des chercheurs affirment qu’ils sont originaires d’Egypte, puis qu’ils sont venus en Europe, dans les pays Tchèques. lien
En 1763, un étudiant en théologie hongrois, Stefan Vali, finit par découvrir aux Roms une origine Indienne. lien
D’autres les prétendent Hongrois, Serbes, Tchèques, Roumains…
Mais ne sont-ils pas aussi martyrisés en Roumanie, en Serbie ? Jusqu’en 1850, ils y avaient le statut d’esclaves. lien
Les prisons sont-elles leur seule patrie ?
Tous ces peuples en exode permanent, comme les gens du voyage, ou provisoire, comme l’ont été les noirs, sont aussi porteurs de culture et leur musique fait partie de notre vie de tous les jours. Vidéo
Et pourtant notre reconnaissance ne leur est pas acquise, loin de là !
On sait aujourd’hui que certains Roms ont parfois francisé leur patronyme, de crainte d’être stigmatisés.
Par exemple « Sarközi » a quitté son "tréma" sur le O pour l’éloigner de son origine Rom.
C’est du moins ce qu’affirme le porte parole autrichien des Romanichels, un certain Rudolf Sarközy. lien
L’histoire est décidemment cruelle.
Car comme disait mon vieil ami africain :
« L’héritier du léopard hérite aussi de ses taches »
L’image illustrant l’article est tirée de : sortilège. Blog.
102 réactions à cet article
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Bonjour,
un article sur la musique cubaine sur AV ! quelle chance... et quelle déception.
L’auteur pourrait se documenter plus sur le sujet et dépasser l’image d’Epinal du Buena Vista véhiculée dans le film, la réalité de cette histoire étant beaucoup plus prosaique et commerciale. Voir par exemple le rôle joué par le musicien Juan De Marcos Gonzalez dans ce projet.
Si la musique du Buena Vista a eu le mérite de remettre le Son des années 30 et 40 sous le feu des projecteurs, elle a aussi (surtout ?) permis d’occulter commercialement toute la jeune génération de la musica bailable alors en plein essor.
La musica Bailable cubaine des années 90, la « Timba », véritable révolution musicale noire au même titre que les précédentes (bebop, soul, funk, rap etc), son et chronique de la crise cubaine subséquente à la chute du mur de berlin, qui n’a pu se développer commercialement à cause de la mode mondiale du Buena Vista.
Il était sans doute important d’étouffer dans l’oeuf cette expression musicale et sociale par une dégoulinade de bon sentiments comme les américains savent très bien le vendre.
Et encore aujourd’hui, malgré le succès que la musica bailable rencontre parmi les afficionados du monde entier, le grand public (et les acteurs du monde musical) ne connait toujours de cuba que le BVSC et quelques artistes relevant du jazz afro-cubain....
J’invite donc l’auteur à être plus militant et novateur (et peut-être quitter son canapé et sa télé-somnifère
) pour mieux comprendre à quel point la musique cubaine est au plus haut.
Juan de Marcos Gonzalez
La Timba
Les genres de la musique cubaine :
Conga | Punto guajiro | Guaracha | Tumba francesa | Contradanza | Rumba | Habanera | Trova | Changui | Danzón | Boléro | Son | Guajira | Mambo | Jazz afro-cubain | Filin | Cha-cha-cha | Pachanga | Mozambique | Nueva Trova | Songo | Timba
Timba.com
Dossier sur la timba de la société d’ethno musicologie de barcelone
fiestacubana.net
etc etcPS que vient faire Michel Camilo dans un article sur la musique cubaine ???
PPS la deuxième moitié de l’article est clairement hors-sujet.Quand au rapport entre le jazz et la musique cubaine, les courageux iront à l’origine du phénomène et liront l’excellent « The world that made New Orleans » de Ned Sublette.
Enfin, pour parler artistes actuels, si je ne devais en conseiller qu’un seul, ce serait Alexander Abreu Y Havana D’Primera
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denis jacquest,
vous êtes certainement un érudit en musique afrocubaine, et vous devriez en écrire un article qui serait surement plus militant et novateur, puisque vous affirmez avec beaucoup de modestie en savoir beaucoup plus long,
désolé de vous décevoir, mais je n’ai jamais acheté de télé de ma vie,
celles qu’on a voulu de me donner par « pitié » sont en panne.
j’ai la chance de fréquenter le milieu musical, le jazz surtout, et je suis fier d’avoir assisté aux premiers festivals de jazz d’antibes, à l’époque ancienne ou on pouvait y écouter John Coltrane, Miles Davis, Keith Jarret, et j’ai eu la chance d’être invité par Pharao Sanders à une jam mémorable dans une boite d’Antibes.vous ne comprenez pas ce que vient faire Camilo ?
c’est étonnant pour un érudit tel que vous :
il est très inspiré par la musique cubaine, et à même effectué une tournée avec Chucho Valdes,
http://www.michelcamilo.online.fr/biographie.htmlvous savez, on ne met pas la musique dans un tiroir.
la musique de création est libre,
ce que vous n’êtes manifestement pas.
avoir de grandes oreilles ne permet pas de mieux comprendre, comme dit mon viell ami africain. -
ps :
çà ne me surprend pas que vous ne compreniez pas ce que fait la deuxieme partie de l’article sur ce sujet,
parce que vous avez le cerveau manifestement très compartimenté,
vous devriez essayer d’évoluer,
de relire l’article et de deviner le lien qui me paraissait évident,
nul doutes qu’un homme si intelligent que vous devrait arriver à le comprendre rapidement.
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La musique cubaine est un joyau dans toutes les musiques mondiales, ce sont quatre siècles de fusion entre plusieurs grandes traditions musicales, (essentiellement Yoruba et européennes) la lecture de « la musique cubaine » d’Alejo Carpentier est une bonne introduction.
Les musiciens que vous évoquez sont des seconds couteaux, comme d’ailleurs l’atteste le nom Compay Secundo, et le film de Wenders donnait une image bien pale de cette merveilleuse musique cubaine.Un des groupes les plus creatifs : Irakere, qui passe des tambours Bata au hard bop en moins d’une seconde, assister à un concert d’Irakere, c’est entrer dans le monde de la musique universelle, par la grande porte.Mais la liste des orchestres cubains de grande qualité est si longue, surtout si on ajoute la « salsa nord et sud américaine » est si longue qu’elle remplirait un livre entier (ce qu’on classe salsa n’est souvent qu’une forme du son cubain).Trio Matamoros, les pionniers du son moderne.-
Oups, petite erreur, il faut lire Mais la liste des orchestres cubains de grande qualité est si longue, surtout si on ajoute la « salsa nord et sud américaine » qu’elle remplirait un livre entier (ce qu’on classe salsa n’est souvent qu’une forme du son cubain).
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tinga,
il faut ouvrir les fenêtres de votre culture,
seule importe la musique de création, la musique vivante, celle qui s’imprègne des autres cultures,
je ne voudrais pas paraitre « donneur de leçon » (mais je m’en fous un peu), mais n’avez vous pas remarqué que sans Stan Getz, la bossa nova serait resté bien plus intimiste ?
je vous trouve bien présomptueux d’affirmer que les musiciens que j’évoque sont « des seconds couteaux »,
il y a du mépris dans votre pensée.
et le mépris est méprisable.
« la musique est un cri qui vient de l’intérieur ».
mais, comme vous êtes un spécialiste de la musique, vous n’aurez pas de difficulté à me dire à qui l’on doit cette phrase définitive ?
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tinga,
le coup de « la liste trop longue » est un peu facile.
il s’agit d’évoquer « la musique de création »
celle qui nous fait réagir, celle qui nous touche, qui est vraie.
et, comme dans toutes les musiques, il n’y en a pas tant que çà,
donc votre liste « trop longue » est attendue.
les internautes vous en seront reconnaissants, si vous ne les décevez pas.
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Second couteau n’a rien péjoratif, surtout lorsqu’il s’agit de musiciens cubains, ce qui m’agace, c’est que ce film de Wenders soit la référence toujours citée pour la musique cubaine, ce sont des musiciens tout à fait honorables et même pour certains un passé tout à fait glorieux et exemplaire, mais la musique cubaine est justement d’une vitalité incroyable, dont l’influence est sans cesse grandissante, d’une très grande variété et surtout avec des musiciens de très haut niveau .
Ce bouffon de Lavillier a su s’entourer de très grosses pointures pour son disque « salsa ».Ray Baretto (cuba à NYC), Cocinando -
tinga
mais qui êtes vous pour oser écrire « ce bouffon de Lavillier » ?
vous m’auriez écrit « ce bouffon d’Hallyday » j’aurais pu accepter,
le représenter comme un manipulateur s’entourant de « grosses pointures » est plutot désobligeant, et injurieux, car Lavillier n’est pas n’importe qui.au sujet du film de Wenders, c’est effectivement si simple de le considérer comme négligeable, ce que sous entendez dans votre commentaire, mais croyez vous que sans ce film la musique cubaine serait aujourd’hui ce qu’elle est.
reprenez vos esprits, et essayez d’être cohérent.
si vous n’y parvenez pas, personne ne vous en tiendra rigueur.
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Le mérite de ce film est sans doute d’avoir incité certaines personnes à découvrir la musique cubaine en europe et voir plus mais n’aura rien changé quant au statu de cette culture là où elle a la plus large audience à savoir, toute l’Afrique, tous les pays latinos, toute la communauté hispanophone des USA ce qui fait du monde vous en conviendrez, des centaines de millions de personnes dansent sur cette musique depuis des décennies, et pour eux ce film ne veut pas dire grand chose, je parle en termes musicaux bien sur. ce qui est exceptionnel, c’est qu’une ile aussi petite ai pu imposé sa culture sur autant de pays à la fois.
C’est vrai, c’est un peu sévère pour Lavillier, c’était juste pour rire, dans l’orchestre de Ray Barretto, c’est vraiment pas lui le meilleur, pas vraiment la même cour de récréation ceci dit c’est sans doute un auteur compositeur dans la variété française qui aura apporté un petit plus. -
tinga,
« c’est vrai c’est un peu sévère pour Lavillier »
vous croyez ?!
si quelqu’un vous disait, en parlant de vous « ce mec c’est une m...e » trouveriez vous çà « un peu sévère » ? ou juste un peu con ?
je ne suis pas sur que çà vous « ferait rire »
tout comme çà ne fera pas rire Lavillier s’il découvre votre commentaire..
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tinga
pour en revenir à « ce film »
vous ne trouvez pas merveilleux de voir des musiciens oubliés au fond d’une ruelle se voir proposer un nouveau départ ?
le mérite de ce film est d’abord la
que des millions (ou des milliards) de personnes dansent sur cette musique ne veut rien dire,
on peut danser (ou pas) sur une musique, çà ne lui apporte aucune justification.
on peut danser sur « la soupe » servie dans les super/hyper marchés, les ascenseurs, sans pour autant que ces musiques aient une quelconque crédibilité.
dans la variété française, ou pas, un artiste peut avoir vendu des tonnes de disques, çà ne prouve en rien qu’il ait un quelconque talent,
c’est juste du marketing.
mais je ne vous apprends rien ?
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pyralène,
as-tu écouté la vidéo proposée de Camilo ?
çà vaut le détour.
sinon, il parait que le nain est tombé dans un trou, et qu’il ne sait pas comment en sortir ?
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Un film sur la Musica Santeria, il convient de ne pas oublier l’aspect religieux dans l’origine de la musique cubaine, essentiellement la tradition Vaudou, issue d’afrique de l’ouest, la puissance des rythmes cubains est le résultat de pratiques « magiques » de la transe par la musique, tradition qui remonte à la source des religions, le chamanisme, ce n’est plus le corps qui bouge sur une musique, mais la musique qui prend possession du corps, et on retrouve dans la salsa des formes abâtardies et simplifiés de ces rythmes sacrés. Et cette religion célèbre le corps, la sensualité, il n’a qu’à regarder les fesses des danceuses et danceurs cubains pour s’en convaincre, pas comme les judéochristianoislamistes plutôt « ridé du calbar ».
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tinga,
je passe sur votre orthographe contestable du mot « danseur »,
je ne suis pas le dernier à commêtre quelques fautes.
mais la religion a toujours été dans toutes les musiques, un peu plus, un peu moins,
qu’importe,
la musique c’est une éponge,
elle prend tout ce qu’elle a envie de prendre,
le « négro spiritual » en est l’une des nombreuses preuves,
ouvrez vous écoutilles,
partez à la recherche de votre coeur,
mettez au feu les classements discutables, et aimez la musique, pourvu qu’elle soit de qualité, mais surtout, pourvu qu’elle soit sincère, et non pas faite pour être à la « tête du gondole » d’une grande surface de merde.
oups, je m’énerve, mais désolé, çà fait du bien.
je vous invite à découvrir cette chanson de ma composition « chanson française »
http://www.info-groupe.com/oliviercabanel/
mais si vous n’avez « pas le temps » ce n’est pas grave,
la vie est trop courte pour n’être vécue qu’a moitié.
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Pour l’orthographe, c’est à cause l’anglais, désolé...
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tinga,
comme je l’avais laissé comprendre, il n’y a pas de problème sur ce sujet.
c’est sur les autres que çà pêche.
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Toujours et encore la même chose, la même rengaine : Cuba = salsa, ron, tabaco, son, sol, mulata y Buena Vista Social Club ... quand j’ai lu le titre « la musique de Cuba au plus haut » j’ai pensé que le sujet pouvait être différent, au plus haut...
Personne ne parle des autres musiques à Cuba. Saviez-vous qu’il existe une scène Metal à Cuba, qu’il y a près d’une centaine de groupes de rock/metal et des milliers de fans ? Ben non, le Metal ça ne fait pas vendre (et même en France ça fait encore peur) et pourtant du 2 au 5 septembre sera organisé à La Havane la seconde édition du Brutal Fest où se présenteront ensemble 6 groupes franco-suisses aux côtés de 4 formations cubaines. Une première dans l’histoire de Cuba où le rock était encore il y a quelques années interdit et considéré comme la musique de l’ennemi.Du hardcore à Cuba ? Du métal tropical !? A quoi ça peut ressembler ? A du cha cha cha vitaminé, à du metalcore sauce rumba, à un boléro distorsionné ou à la salsa du démon ?Voilà un sujet à traiter, voilà un sujet musical à présenter et qui pourrait prétendre à un titre comme « La musique de Cuba au plus haut ».-
davidchapet,
mais savez vous aussi qu’il y a des gens qui pratiquent la « musique classique » à Cuba et ailleurs ?
qu’il y ait du Métal à Cuba, pourquoi pas, çà ne change rien.
il s’agit dans l’article d’évoquer les bienfaits du métissage en musique,
et peut-etre que le Métal en subira l’influence ? ou pas...
le Métal que vous évoquez peut de l’or, aussi bien que du plomb,
ce n’est pas en rangeant telle ou telle musique dans un tiroir qu’on lui apportera une authenticité.
il y a de la « merde » dans tous les arts, y compris dans le « Métal ».
et comme dit souvent mon vieil ami africain,
« un tronc d’arbre peut séjourner aussi longtemps qu’il veut dans la rivière, il ne sera jamais un crocodile »
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Oulala... ce Mr. Cabanel est Mr. Jesaistoutj’aiunavissurtout !!!
Je vis à La Havane depuis près de 15 ans et c’est Mr. Cabanel qui m’apprend qu’il y a de la musique classique à Cuba et aussi ailleurs ! Waouh, merci Cabanel ! -
davidchapet,
non, rassurez vous, je ne sais pas tout,
et je n’ai pas un avis sur tout.
j’en ai juste un pour vous :
vous vivez à la Havane, c’est très bien.
il y a des français qui vivent en France et qui ne savent pas qui est Mozart.
le territoire ne change rien.
l’avis que j’ai sur vous est celui ci :
vous devriez prendre un peu de repos.
il existe surement à la Havane, des squares , avec des bacs à sable.
vous devriez y aller, muni d’un seau et d’une pelle, afin d’y faire de jolis chateaux de sable,
je vous assure que vous y trouverez beaucoup de plaisir,
tenez nous au courant.
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il ne fallait pas vous vexez maître Cabanel... mais merci du conseil, là encore vous faites preuve d’expertise ! Allez tous ensemble : merci Cabanel !
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davidchapel,
il faut mettre un « r » à vexer,
et non pas un z
quand l’on veut donner des leçons, il faut pouvoir en être capable,
;")
j’espère ne pas vous avoir vexé.
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david,
et ce chateau de sable, il avance ?
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Olivier, on écrit château, avec un accent circonflexe sur le « a »
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@davidchapet
Vous vivez à Cuba depuis 15 ans. J’espère alors que vous interviendrez sur Agoravox pour mettre un bémol aux critiques virulentes contre ce pays qui même s’il n’est pas la panacée universelle mérite qu’on le défende contre le nouvel ordre mondial. Je suis toujours nostalgique de mon voyage à Cuba qui est pour l’instant mon plus beau voyage, celui qui m’a le plus marqué. La gentillesse de ses habitants est étonnante. Cuba à un peuple, à une âme.
Je suis content et étonné d’apprendre qu’il existe une scène Heavy Metal, Metal à Cuba, d’autant plus que je suis fan de Hard Rock. Merci pour ce renseignement ! -
@Proudon, merci pour votre message... mon truc c’est la musique et particulièrement le Metal, vous l’aurez compris.Je laisse les textes plus engagés sur la défense de Cuba (ou l’inverse) à ceux qui le souhaitent.Si la scène rock/metal de Cuba vous intéresse, voici quelques liens à visiter :Cuba Metal, le portail du Metal cubain : http://www.cuba-metal.comLe site de l’espace Maxim Rock à La Havane : http://www.maximrock.comBrutal Beatdown Records (mon label discographique) : http://www.brutalbeatdown.comA bientôt et merci à Don Cabanel pour nous avoir permis cet échange -
david,
même sur le ch(a)teau de sable ?
alors il avance ?
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voilà, c’est terminé ! j’en ai même fait un clip : http://www.youtube.com/watch?v=NPJo3d8Hcfk
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pas mal, faut reconnaitre,
la preuve que la musique est vivante, et il en faut pour tous les gouts,
du rap au métal, en passant par le jazz...
vive la musique cubaine. -
Oyé, David, trop tot pour parler du festival Duende Cubano ?
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Bien que d’origine portoricaine, il me semble que Tito Puente mérite largement d’être cité dans ce panthéon de la musique afro-cubaine , un roi des percussions ...
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Paul,
bien sur,
c’est incontestable.
pour s’en convaincre, il suffit de regarder cette vidéo :
http://www.youtube.com/watch?v=v6fhsmVyNaw
çà doit faire pousser des cris aux puristes qui ne supportent peut-etre pas de voir des violons accompagner ce génial percussionniste.
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dis donc vieux joufflu
Par exemple « Sarközi » a quitté son « tréma » sur le O pour l’éloigner de son origine Rom.
c’est encore quoi cet HOAX !!!
tiens dans les bajoues !!!
un bon traducteur en ligne : http://translate.google.fr/#
c’est pas croyable cette équipe Rivasi
punition très sévère
http://cybodega.free.fr/html/cd_balkan.html
ouvrir et déployer sur les fanfares....-
brieli
le « vieux jouflu » t’autorise a lire :
http://www.nationspresse.info/?p=108959
ce n’est donc pas un bête hoax
mais tout simplement la réalité.
elle dépasse parfois la fiction.
et non pas l’affliction.
nous avons donc un président qui n’est pas seulement un « marchand de tapis »
mais aussi un « petit » dissimulateur.
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ECOUTE Rivasi boy
le fil du AJM j’ai mis ce qu’il faut !
faut lire des fois sur AVOX et prendre comme référenceprends le traducteur et parcout donc les trois liens d’historien !
bien sûr le patronyme Sarkösy est commun
en plus il comprend « terre riche »
qu’il a été accepté, donné aux « gens du voyage... en voie de »normalisation"L’ancêtre en question prouvé cf les textes en question a été anoblie a reçu des terres marécageuses qui étaient turques
lis donc au lieu de rabrouerreconnais que tu es fainéant.......
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ah oui j’ai bien lu sous ton lienc’est bien dékirant c’est qui cette Oriane une sosie de CD ??
Commentaire par Oriane Borja le 18 août 2010 @ 20:05Les mondialistes, comme les roms, sont des apatrides.
L’idéologie mondialiste relève d’ailleurs d’une spiritualité qui considère que les roms proviennent d’un quatrième Adam, et qu’ils ont l’autorisation de ne pas travailler, c’est ainsi.Autrement, sémantiquement, Caesar, Tsar, Zar, Sar, cela a la même origine.
De César dérivent après l’époque antique les appellations de certains empereurs ou dirigeants :Kaiser en Allemagne,
Tsar (orthographié Czar avant 1914) en Russie, Bulgarie et Serbie,
Császár, prononcé tchassar en Hongrie,
Kaysar dans l’Empire ottoman
Gesar au Tibet.Commentaire par Marino le 18 août 2010 @ 20:23Généalogiste, je suis remontée jusqu’en 1500 pour faire l’arbre de ma famille !
Je peux aider Sarközy de Nagy-Bocsa (Littéralement, le nom hongrois de son père, né le 5 mai 1928 à Budapest)
issu par son père d’une famille de la « petite noblesse » hongroise anoblie le 10 septembre 1628 par l’empereur Ferdinand II de Habsbourg, était donc nagybócsai Sárközy Pál Istvan Ernő.
En effet, son ancêtre, un paysan qui s’est battu contre les Turcs, n’a pas réellement reçu de titre de noblesse, mais le droit de faire précéder son nom de celui de son village d’origine ainsi que d’utiliser des armoiries.*** Ben, il n’est pas noble ! mais avec le petit château de ses arrières grands parents dans le village d’Alattyán, près de Szolnok, à 92 km à l’est de Budapest, il a pris la grosse tête (c’est pourquoi il est bling-bling)
Oui, il est sûrement un petit, petit cousin de Rudolf Sarközi !
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brieli,
j’aime la paresse,
mais je suis un faineant qui travaille
allez y comprendre quelque chose,
je ne démordrais pas de l’avis que donne le représentant des Rom en Autriche
d’abord parce que çà me fait plaisir,
ensuite, parce que çà tombe bien,
et enfin, parce que j’ai envie de le croire,
et l’envie, dans la vie, c’est essentiel.
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brieli,
merci d’avoir fait le point sur ce type qui chasse de nos frontières des Hommes qui ne le méritaient surement pas,
cet acharnement contre eux est suspect,
tant pis si le rapprochement est caricatural, mais j’ai en mémoire les agissements d’un petit dictateur qui à envoyé au four crématoire ses compatriotes, s’il faut en croire quelques historiens.
bon, pour les Roms, sarközi ne semble pas envisager cette solution radicale, mais en détruisant leur campements , et en les stigmatisant, il pose une première pierre.
ce n’est que ma modeste analyse.
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soumanfred,
un lien stp ?
comme je connais pas, et que je demande qu’a...
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Notre architecte dyxélique en plus de celà
sait pas écrire/recopier le nom de famille de Django R
story-telling comme toujours comme le grand musicologue Léon qui sévit ailleurs !
http://papabecker.com/legendepartone.htmDR n’est pas manouche ! Mais yéniche,
ils aiment vraiment pas être assimilés, confondus avec les Roms
treizes pages sur les Roma
http://www.thata.ch/romalehrmittel1.htmchez les Romas,
le groupe le plus important en Europe de l’Ouest sont les Sinti
qu’on appelle Manouches en France.-
brieli,
de tout çà, on retient qu’on ne sait pas grand chose des Roms,
merci de tes lumières qui jettent un peu plus d’obscurité sur le problème,
un gout pour le paradoxe, peut-etre ?
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allons passons à la zizique
c’est trop gros pondre : Caraïbes & Jazz
sans évoqueret cette Féerie Noire vers minute 35
Moune et Fernande de Rivel ?
Inconnues ? Dommage....autre dynastie : les Fanfant
La béguine à Parishttp://alrmab.free.fr/index.html
Nesto Léardée super-pensionnaire
m’a fait bosser clarinette et saxcomme quoi....
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Brillant article Olivier. D’une part la musique cubaine est magnifique et l’écrire, c’est aussi une façon de contribuer à son existence et d’autre part, j’aime bien le lien que tu fais à propos du racisme. Yes man !
A propos du festival d’Antibes, j’ai eu la chance de voir Weather Report, Don Cherry, Keith Jarret, Duke Ellington et beaucoup d’autres. Superbe. J’adore cet endroit. Il se passe quelque chose de magique sur cette pinède, face à la mer à chaque festival.-
CLOJEA,
donc on a du se croiser.
la fois ou Pharoah Sanders (son pianiste était Jarrett) était invité, il y avait un boeuf dans une boite d’Antibes, je l’avais appris,
il jouait « haute et basse égypte » tout un programme !
j’ai eu un coup de pot énorme,
il n’y avait que quelques privilégiés qui pouvaient y rentrer, et le club n’était pas grand,
ma copine du moment avait une paire de sandales africaines, d’une tribu rare, et qu’on ne pouvait pas trouver dans le supermarché du coin,
or le percussioniste de Pharoah était de cette tribu.
voyant les sandales de mon amie, il lui a demandé comment elle avait pu trouver ces sandales,
et du coup l’a fait rentrer, et moi avec.
une soirée exceptionnelle :
il y avait, si mes souvenirs ne me trahissent pas un trompetiste d’Ellington, celui qui travaille les « sur-aigus » (qu’il me pardonne, mais sur le coup, son nom sur le bout de ma langue ne revient pas) et la paresse qui m’habite en ce moment ne me pousse pas à consulter les disques...
et ce soir là, Keith Jarreth a été invraisemblable.
et coup de pot, j’avais un enregistreur.
de bien grands moments.
quelques jours après, il y avait les choralies de Vaison la romaine et j’avais un ami qui y participait, travaillant avec le groupe de musique contemporaine,
c’était en 1968,
ils avaient décidé de provoquer un choc culturel, et après avoir écouté ma bande, ils avaient envisagé de l’inclure dans la musique diffusée ce soir là...
mais matériellement, c’était trés compliqué.
ce qui n’a pas empêché cette soirée d’être mémorable. -
@olivier cabanel
Merci pour cet article sur Cuba qui me rend nostalgique.
Par contre en ce qui concerne :
l suffit d’évoquer les patronymes qui gouvernent la France d’aujourd’hui : De Kouchner, à Estrosi, en passant par Sarkôzi, Woerth, Amara, Borloo, Devedjian, Waukiez, Rama Yade, Morano, Kosciusko-Morizet… n’est-ce pas la vie de toutes les nations qui est racontée ici ?Ouille ouille ouille quels exemples pour la France. On s’en serait passé de tels exemples. Il faudrait plutôt se contenter d’exemples du milieu musical, vous ne croyez pas ?
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Proudhon,
c’était bien sur un clin d’oeil en guise de provocation,
mais vous l’aviez deviné.
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Que pensent les spécialistes du Jazz à mon impression d’avoir trouvé un style jazz chez Erik Satie ?
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Proudhon,
bien sur , chez Satie, mais aussi Bach, et quelques autres qui seraient surpris qu’on puisse leur prêter telle famille, ou peut-être pas.
je finis par croire qu’il n’y a pas de « genres de musique », que l’on puisse classer dans tel ou tel tiroir,
il n’y a que la bonne musique, et le reste.
merci de votre commentaire.
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italiasempre 29 août 2010 00:36Bon allez, un peu de jeunesse maintenant
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Waldgänger 29 août 2010 01:20Bonsoir Italia, je passe faire un tour.
Content de vous apercevoir dans le coin. Au plaisir. -
italiasempre 29 août 2010 01:47Salut Wald
c’est vraiment gentil, c’est un plaisir partagé. Bonne soirée. -
italiasempre 29 août 2010 01:51Euh...(Je suis vraiment trop égocentrique
) sans doute chez vous bonne nuit est plus approprié.
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italiasempre 29 août 2010 02:00Photo souhaitée alors.
Chiche ? -
italia,
merci pour ce rap cubain, très chaud
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Cabanel
Par exemple « Sarközi » a quitté son « tréma » sur le O pour l’éloigner de son origine Rom.
C’est du moins ce qu’affirme le porte parole autrichien des Romanichels, un certain Rudolf Sarközy. lienCe que dit ce Monsieur est faux : Le tréma se trouve sur n’importe quel nom hongrois sans être Rom.
Vous le trouvez aussi chez les slaves :
L’ancien premier ministre Bérégovoy ( russe, mais maintenant on dirait Ukrainien ) se nommait Bérégovoî.
Tréma - WikipédiaLes langues slaves
Dans ce dernier lien, vous constaterez que la Hongrie est proche des influences slaves et noms comme lui se terminant en sy, si, ski, sky, il y en a beaucoup en Hongrie.
De plus, vous pouvez retrouver des noms identiques aussi bien en Russie et en Tchéquie souvent liés à des grandes familles aristocrates slaves.Sarkosy n’est pas un aristocrate, c’est à dire d’épée. Il a été anobli :
Littéralement, le nom hongrois de son père, né le 5 mai 1928 à Budapest[2], issu par son père d’une famille de la petite noblesse hongroise anoblie le 10 septembre 1628 par l’empereur Ferdinand II de Habsbourg, était donc nagybócsai Sárközy Pál Istvan Ernő. En effet, son ancêtre, un paysan qui s’est battu contre les Turcs, n’a pas réellement reçu de titre de noblesse, mais le droit de faire précéder son nom[N 4] de celui de son village d’origine ainsi que d’utiliser des armoiries[3],[4].Wikipédia.
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signé le hideux Ravaillac de Clair Instant
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Katinga,
oui, tout celà est connu,
j’avais donné les liens dans un article précédent,
mais l’affirmation de son éventuel cousin m’a semblé intéressante.
vous affirmez que le « tréma » peut se trouver n’importe ou ?
je n’en sais rien,
peut être que la discussion va continuer, et que nous en saurons plus,
mais j’ai tendance à privilégier la version de son cousin autrichien.
sans vouloir polémiquer interminablement, je pense que de toutes les façons, sarözi ne mérite pas l’anoblissement avec son Y,
mais mon opinion se base plutôt sur les faits que sur l’histoire.
vous m’avez surement compris.
en tout cas, merci de votre commentaire. -
brieli,
au lieu de titiller inlassablement clair instant et compagnie, pourriez vous confirmer si vous avez , ou non, un titre de médecin/docteur...ou pas.
question de déontologie.
rien n’empêche un rédacteur, ou un commentateur a donner des avis sur les mérites d’une plante, en citant des liens, ne serait-ce que pour informer.
mais comme il apparait que vous vous faites valoir de diplômes, (?) la question posée mériterait il me semble réponse adaptée.
mais bien sur, vous n’êtes pas obligé de répondre, même si une réponse serait la bienvenue.
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tu n’as toujours pas encore lu dans le blog d’histoire hongroise ?
Par exemple « Sarközi » a quitté son « tréma » sur le O pour l’éloigner de son origine Rom
c’est encore quoi cet HOAX !!!tiens dans les bajoues !!!
un
http://toriblog.blog.hu/2009/05/14/...deux
http://toriblog.blog.hu/2009/05/25/...trois
http://toriblog.blog.hu/2009/06/11/...un bon traducteur en ligne : http://translate.google.fr/#
les liens tournent voir plus haut.......
Déontologiquement ??? quel rapport.....
Jouvet était bien pharmacien ;; ;; ;; ;; ;; Grossouvre rhumatologue Queuille médecin etc.......
Sans oublier Guillotin et Petiot.
Un TCEM avec Thérapeutique avec Cliniques avec Thèse dans une université française. Donc je peux me prévaloir d’au moins un titre de doctorat d’ ’Etat.
J’ai glandé plus de 15 ans dans les campus français, anglais, américains, allemands et à Paris( qui n’est pas la France) . Pendant que les « expériences » robotisaient.... je m’ouvrai à d’autres disciplines moins ou plus scientifiques : le bacc, comme passeport, aucun enseignant ne peut te virer. Alors si déjà on fait des efforts de « formation continue », pourquoi contrecarrer une diplomite chronique.
Ainsi à Bordeaux, un DEA en oenologie chez le Professeur Ribéreau-Gayon.
Sativa Plus avancé ? en quoi ?
M.l’Architecte ... tes diplomes
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brieli,
c’est un peu « montre moi tes diplômes, je te montrerais les miens »
c’est donc une manière de ne pas répondre.
c’est tout à fait ton droit de ne pas répondre, mais l’absence de réponse laisse présager quelle serait la bonne,
donc,
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PARDON l’Olivier !
C’ EST VRAIMENT PAS FRANC DU COLLIER !Je dois me répéter ou quoi !Faut savoir accepter sans broncher ... même si ça ne correspond pas à tes intuitions !TU VEUX QUE je FASSE DU TAM TAM AFRICAIN sur la source fiable de tes liens et enquêtes ?ce n’est donc pas un bête hoaxmais tout simplement la réalité.
elle dépasse parfois la fiction.
et non pas l’affliction.
nous avons donc un président qui n’est pas seulement un « marchand de tapis »mais aussi un « petit » dissimulateur.Tu peux défendre le toutim devant Madame ou M. le Juge ?Alors tu as tiré cette « bêtise » d’où, Gamin ? et t’en fais un HOAX -
Brieli,
le temps qui arrive va apporter pas mal de réponses,
il semble que Lepage ait relançé la machine,
je n’en attends pas moins de Joly,
et si Woerth tombe, c’est le chateau (de carte) qui pourrait sombrer aussi.
tu connais la plaisanterie qui circule sur le net ?
« eric et nico sont dans un bateau, le bateau coule, qui est sauvé ? »
réponse bientot. -
Cabanel
Si vous les fréquentez, les Anciens qu’lis soient rom, gitan, tzigane vous diront qu’ils viennent tous de l’Inde.Ce seraient les sédentaires des différents pays qui les auraient nommés ainsi en les différenciant.
Théatre tzigane qui existe en Russie depuis 1930.
Les tziganes et les yiddishs se sont beaucoup fréquentés sur les bords de la Volga en Russie.
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retourne chez Frère Jean
http://www.photo-frerejean.com/Vlad de la secte Clair Instant
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Cabanel
Sár signifie en hongrois « boue », « limon » (et aussi « saleté »), et köz signifie « communauté », « commune » (et aussi « intervalle »).
On dit aussi terre, endroit marécageux.
Le nom de famille de Nicolas Sarkozy est un patronyme assez courant. C’est le mot hongrois Sárközi qui désigne les habitants de cette région.
Le Sárköz est une petite région du sud-ouest de la Hongrie, comprise dans le département de Tolna autour des villages de Őcsény, Decs, Sárpilis et Alsónyék, au sud de la zone vinicole de Szekszárd.
Les gens du voyage se nommant Sarkösy viennent du même village que notre Sarkosy.
Ont-ils un lien de parenté ?
Sarkosy en hongrois se prononce ainsi : char-kö-sy"
On vous offre le blason :
Sarkozy de Nagy Bocsa-
encore du coupé collé de la maison Clair Instant
pas tout à fait exact ce que tu nous balance. faut aller à la source hongroise voir plus haut
Sarkösy signifie qui émane, qui provient d’un tas de fumier.... au sens large : riche, fertile.
La Dordogne c’est cossy, la Bretagne c’est sarkossy... avec ses poulets et ses porcs
Les gens du voyage se nommant Sarkösy viennent du même village que notre Sarkosy.
ENCORE DU DELIRE !!!!! STOPPEZ LES !!
le lieu Alattyan c’est le « chateau » de la grand_mère Todt , (les sarkos sont d’ailleurs)
Alattyan signifie, dérive degrand faucon en turc
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Katinka
j’avais relaté çà dans un article ancien,
par contre sur la prononciation, dans le lien que j’ai donné dans l’article actuel, le « cousin » propose bien comme prononciation « sarkoille ou même cerceuil » ce qui est assez amusant,
un lien pour découvrir les ressemblances de sarközi avec les roms :
http://www.lepost.fr/article/2010/08/29/2198973_sarkozy-est-il-un-rom.html
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Cabanel
Sárközi.... ou zy mais le a, vous avez un accent qui change la prononciation de la syllabe.
Que ses terres et son château soit à l’Est de la Hongrie. La famille a bougé.
Maitenant, vos gens de voyage, ils voyagent aussi et ne parlent pas peut-être le hongrois académique.
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brieli,
votre hargne sur « clair-instant » m’inquiète ?
elle explique en partie la facilité pour une guerre de se déclarer,
pauvre terre.
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Pardon ?
C en plus de ma faute alors que vous n’arrêtez de sortir des bêtises ...Trop fainéants de se renseigner ! (et pourtant je documente par des liens)et (pas) drôlement méchants.........Tu penses que je défends le Sarko et sa bande ?confidence pour confidence :le frère pédiatre est « entré » bosser dans l’Industrie Pharma... (t’ai d’ailleurs demandé d’enquêter dans les filiales et boîtes de Neuilly et du 92)il te faut des détails ? ou ? qd ? comment ? -
brieli,
j’ai essayé d’enqueter sur le frangin, et je ne serais pas surpris que les subventions offerte par sarkösi pour la recherche ne soient pas en partie en sa destination,
faut voir.
je l’avais suggéré dans un article sur h1n1
mais seulement suggéré.
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Cabanel
Vous pouvez vous entraîner à prononcer son nom :
Prononciation de Nagybócsai Sárközy Pál : Comment prononcer Nagybócsai Sárközy Pál en Hongrois
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Cabanel
La langue russe est comme le hongrois, une langue agglutinante à harmonie vocalique.
On peut prendre Tchaïkovsky le musicien.
En russe, par exemple, le tréma sur le i permet de faire traîner la première syllabe.
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Cabanel
Le père a bouleversé l’ordre dans son nom et prénom
Pal Sarközy de Nagy-Bocsa (1)
Nagy-Bocsa, c’est NagyBocsa, son prénom en un seul tenant et en Hongrie, on met toujours le prénom avant le nom.
Chez lui banalement , il se nomme NagyBocsa Sarkösy.
l
Le DE entre, c’est pour faire chic.Pal = le prénom
NagyBocsa = le nom (1)
Sarkösy = le nom du village.Sa famille a connu des remous et je ne sais si il avait un passeport Nansen et si il a bougé, remué son nom .
Chez les russes blancs pour traverser, sortir de leur pays ont trafiqué ou changé leur nom avec des faux papiers.
Certains ont repris leur vrai nom via le passeport Nansen.
d’autres (ayant des noms trop en vue) ont carrément donné un faux nom via toujours le passeport Nansen sachant qu’ils seraient recherchés dans le monde entier, même bien après par les Bolcheviks.Les trotskistes russes ont connu cette même aventure avec les Rouges.
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Cabanel
Sarkosy est notre szar.
Szar voulant dire merde en hongrois.
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Cabanel
On pourrait transformer son nom en arménien :
Sarkosian par exemple.
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Katinga,
merci de toutes ces contributions,
j’avais un ami polonais qui s’appelait trzepizur,
il affirmait qu’il y avait une lettre qui n’existait pas en français pour remplacer le « trz » et qu’il fallait prononcer « psché »
faudrait que vous me donniez des cours de prononciation, j’ai encore des lacunes !
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Cabanel,
Vous comprenez pourquoi les français ne sont pas doués dans les langues alors que les Européens de l’Est le sont.
Si il y a d’autres régions en Hongrie qui se prénomment ainsi, la thèse de notre Rom peut se casser la figure.
Mon nom ( je ne vous préciserai pas si c’est un vrai ou un faux Nansen) est porté par un grand étang en Tchéquie. D’ailleurs dans ce pays, beaucoup villages ont des noms qui finissent en sky ou en ski.
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Cabanel
Des personnes ont eu à changer leur nom comme Kasparov selon le dictat URSS :
Garik Kimovitch Weinstein.Son mon faisait trop juif pour les Camarades.
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Cabanel
Cabanel, cabane, cabanon, cabanou,, etc
Vous voila bien en plein marécage de la Dordogne avec poules et oies.
Au moins, vous avez la paix .
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Vilistia,
vilistiou, c’est joli aussi,
eva, c’est bien, mais joli c’est vous
et même plus
-
Cabanel
Je vous conseille un autre endroit que la Dordogne car la cabane est quand même coûteuse ici.
Stagnation des anglais mais arrivage d’américains, australiens et espagnols catalans.Eva Joly serait très bien pour les écolos.
Je choisis Villepin comme Président, Aubry comme Premier ministre, Royal au ministère de l’Intérieur et Joly à la justice.
La Marine reste au Parc St Cloud dépenser le pognon de papa pên avec un tréma.
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Cabanel
Et pour les Identitaires, un terrain du côté de Grenoble pour qu’ils se castagnent entre eux.
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katinka,
vous devriez essayer le nord isère,
on y trouve, comme chez vous des cepes et des truffes,
des marécages, et des poules, et des oies,
c’est assez calme,
et puis il y a les noix,
c’est bientot la saison.
alors ?
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Cabanel
A la limite, je m’en fiche de son nom mais il est certain que la famille de son père a du plier bagages même n’étant que d’une petite noblesse, les communistes voyaient rouge.
Son père est instable alors que sa mère, c’est tout le contraire.Vous voulez qui maintenant un De Villepin, noblesse de Robe, famille de grands serviteurs de l’ETAT.
Je sais pour vous, C’est Eva Joly.-
-
katinkiou
merci pour le document,
j’ai un article sur le feu :
« eric et nicolas sont sur un bateau... »
je vais piocher dans cette doc du figaro,
c’est intéressant
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Cabanel
Ils ont beaucoup voyagé les hongrois si leurs origines seraient finnoises ou ouraliennes et d’ailleurs, beaucoup se sont dispersés dans l’Europe Centrale.
Vous en trouvez pas mal au Kosovo.
Ils seraient rattachés aux Huns.
Nouvelle Europe - Une langue à part en Europe centrale – les origines de la langue hongroiseUn Sarkosy en Hun , c’est plus dangereux qu’un Tatar.
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Katinka
un sarközi en hun, ç’est effectivement dangereux,
mais en France nous sommes bien plus nombreux.
en tout cas au moins deux.
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Cabanel
Dans ce texte, il précise :
la langue hongroise fait plutôt partie des langues turques, donc des langues altaïques.Langue altaîque comme celle des Yakoutes. C’est presque mon frère,Sarkosy.
Voulez-vous qu’on en parle au cas ou Sarkosy deviendrait apatride : SIBERIE.
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Katinka,
oui, il faudrait en parler,
donnez moi une heure ou je puisse vous joindre, vous parler. -
Voulez-vous qu’on en parle à Poutine au cas ou Sarkosy deviendrait apatride : SIBERIE.
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Katinka,
à Poutine, je ne sais pas,
la justice en France n’envisage pas encore la Sibérie comme punition,
mais la prison, c’est quand même une solution.
il faudrait qu’on fasse un article la dessus,
à 4 mains ? -
Pour la petite histoire, et si mes souvenirs sont exacts, Ry Cooder a écopé d’une amende du Trésor américain pour avoir réalisé le disque Buena Vista (embargo oblige, n’est-ce pas ?). Je crois qu’il s’est élevé à 200.000 dollars (à vérifier)
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VDJ
merci de cette info que je ne connaissais pas,
bon, faudrait vérifier, mais çà ne me surprendrais pas,
à+
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Dommage, le titre était attirant, le sujet intéressant, mais le contenu très convenu.
Amateur de musique cubaine depuis bien longtemps (mon premier choc fût le concert des Van-Van à l’Elysée Montmartre en 1986), habitué des salles de concert de la Havane depuis un temps où Wenders n’avait pas mis les pieds dans l’île, j’avais très envie de savoir pourquoi la musique cubaine était au plus haut... à une heure où une vague nommée reggaetton lamine la créativité des musiciens cubains, s’attaque à leurs revenus et pourrit les oreilles de l’ensemble de la population.
Plusieurs lecteurs attentifs et érudits ont recadré l’auteur, notamment sur le rôle de Juan de Marcos qui a bien manipulé Ry Cooder et le reconnaît dans le film de Wenders au cours d’une brève interview où il montre une grande maîtrise du teque (la langue de bois cubaine), je ne peux quand même laisser passer sans le relever cet amalgame de clichés intégrant quelques références à de vrais créateurs (Omar Sosa, Chucho Valdès...) mais aucune à la situation de la musique dans l’île aujourd’hui.
Il y a pourtant une chose dont le régime actuel peut se vanter, c’est bien la qualité de la musique et de son enseignement, avec quelques réserves sur l’aspect « militaire » et intensif de cet enseignement et surtout sur son accès limité aux « enfants de », surtout des enfants de musiciens d’ailleurs.
Si vous creusez la question, vous trouverez que les racines de la spécificité musicale de Cuba remontent au 18ème siècle, le colon espagnol ayant décidé de donner une formation musicale classique à ses travailleurs originaires d’afrique (on voit bien la différence avec la Jamaïque voisine, où la formation musicale est restée assez empirique et limitée).Donc, je ne dirais même pas « bien tenté », j’attends toujours un article sur la musique à Cuba aujourd’hui...
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Thomas,
désolé de vous avoir déçu,
il ne s’agissait pas de mon point de vue de rester à Cuba, mais de tenter de montrer l’influence qu’avait eu ce film, et ce groupe sur de nombreux musiciens actuels, dans des genres parfois assez différents,
j’aurais pu, comme signalé par un lecteur, évoquer le Rap Cubain, bien sur
mais j’aurais pu tout aussi bien évoquer ce groupe de musiciens handicapés congolais :
Benda Bilili, qui revendiquent en partie l’héritage cubain,
http://liveweb.arte.tv/fr/video/Best_of_Mondomix___Staff_Benda_Bilili/c’est uniquement çà le sens de ma démarche et désolé que vous ne l’avez pas apprécié.
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