Nouvel humanisme de Foucault
Cet article fait partie d’une longue étude faite sur la philosophie de Michel Foucault ; il est question ici de montrer certains aspects de rapport entre Nietzsche et lui, notamment sur la question de l’humanisme.
Zarathoustra n’était pas un simple exercice
littéraire, c’est plutôt l’un des ouvrages qui ont marqué un changement
considérable dans l’histoire de la philosophie, et dans la pensé humaine en
général. Cet ouvrage n’a pas été bien accueilli par l’esprit de son
siècle ; non pas que les contemporains n’étaient pas assez intelligents
pour cela, mais c’est que cet ouvrage était de nature posthume ; il faut
reconnaître que Nietzsche était là, contre toute l’histoire de la philosophie.
C’était une révolution très profonde, et c’est pour cela qu’il avait besoin de
dizaines de siècles pour être accessible et à jour.
La révolution de cet ouvrage commence déjà dans
le style de l’écriture qui refuse les affirmations habituelles, et la certitude
souvent connue sous le nom de la sagesse ! Le lecteur est obligé à se
libérer des philosophies de la présence et de la certitude ; il est appelé
à quitter l’évidence formelle de l’écriture comme dans les philosophies déjà
épuisées et fatiguées par la raison précipitée.
Cette histoire de Zarathoustra, n’est en fait
que l’histoire de l’homme lui-même ; autrement dit : Ainsi je
parle ! Après une dizaine d’année à méditer l’existence dans la cave,
Zarathoustra comprend qu’il ne fait que perdre son temps et qu’il vaut mieux aller vers l’homme et pour l’homme : Tu n’auras pas de sens, toi le
soleil, si ceux que tu éclaires n’existent pas !1 Voilà que la philosophie est devant un énoncé
radicalement différent à ce qui a été habituel auparavant. Mais quel sens
aurait le sujet et le corps humain, s’il n’y a pas là, ces belles choses qui le
justifient ? L’acte, le plaisir, la création, l’invention, la victoire, le
défi, etc. De là, la morale est une contre-nature. Et au lieu de chercher la
vérité dans cette présumée hauteur, il vaut mieux descendre vers la terre, vers
l’homme. Même ce prêtre qui a donné sa vie pour des chants sacrifiés à Dieu,
ignorant que ce dernier est mort, et demeure mort, dans une mort double avec l’homme. L’homme créa Dieu et voilà qu’il meurt avec lui en sa compagnie.
Contrairement au prêtre qui s’entoure de bête, et fait tout pour s’approcher de Dieu, Zarathoustra aime l’homme, il descend vers lui, non pas pour le vénérer,
mais pour le mettre dans son vrai et convenable statu après avoir tué Dieu.
Le XIXe siècle était déjà habité par cette
idée de Dieu qui meurt ; c’était une idée bien propre à cette époque
marquée par la Révolution française et la pensé des Lumières. A partir de cette
époque, l’homme a pris conscience de lui, et de ses capacités ; lui qui
vient de découvrir l’énergie en la mettant à son service ; lui qui vient
de développer l’économie, l’industrie, le commerce et les sciences. Il est tout
à fait légitime qu’il revendique sa supériorité sur la terre, et sa liberté. Mais
ce n’était pas pour lui une nouvelle puissance qu’il vient de découvrir, mais
plutôt une puissance très ancienne, et qu’il est temps de la revendiquer et de
se l’approprier solennellement.
Les vieilles valeurs morales, surtout celles
liées aux religions, sont devenues mépris et désuétudes : Mais qu’est-ce
que cette pitié m’importe ? 2
N’est-elle pas celle qui a crucifié celui qui a aimé l’homme, mais cette
nouvelle pitié n’est pas crucifiante ! Il faut aimer ses péchés qui crient
vengeance. Il est un peu tard pour ces valeurs venimeuses ; l’homme est censé penser et créer d’autres valeurs qui lui sont serviables, qui lui sont
très proches. Il est temps pour l’homme pour réévaluer sa tenue et se libérer
de celle humiliante du singe. C’est ce que la volonté humaine veut maintenant
et désormais : la volonté de puissance ! Or les dangers parmi les
humains sont pire que ceux parmi les animaux, et le plus grand de ces dangers
est la pitié, car dans ses plis guettent les plus mortels des couteaux ;
c’est bien cette pitié qui a tué Dieu, alors que l’échec et la soumission de l’homme
suffisent, et qu’il regarde dans son horizon les plus haut. Le monde paraît
comme un Dieu souffrant, comme une joie inachevée et perdue. Zarathoustra ne voit que
la tragédie et l’affrontement ; le surhomme est cet homme qui a compris
cela ; il a compris qu’il a perdu assez de temps dans ses illusions. Il a
compris que rien ne lui viendra en aide sauf sa propre volonté, sa propre
puissance, il a compris qu’il est capable de se prendre en charge par lui-même.
L’homme est jeté dans le monde, livré à
lui-même, et il doit pour ça, assumer son rôle pour se défendre. Nietzsche ne
trouve aucune difficulté pour parler de cette double fatigue de Dieu et de
l’homme, cet épuisement, il s’est investi courageusement pour parler de cette
création ambiguë ! Qui a créé qui ? Pourquoi ? Quelle est la
place des prêtres dans tout ça ? C’est un monde éternel et défaillant,
image de défaillance et de contradiction, une joie manquée d’un Dieu
défaillant, ce Dieu que l’homme a créé est une invention et une folie humaine
comme dans toutes les inventions ; mais une fois guéri, l’homme serait
ridicule de croire encore à ces spectres.
Une souffrance et une humiliation comme
toujours chez les amoureux de l’au-delà. Il est vain de courir après la fin de
ces choses, il y a épuisement et ignorance non bénéfique, car elle ne fera que
croître et foisonner les dieux et les au-delà.
Or, selon Nietzsche, le moi, est la volonté discrète et grandiose de
l’homme. Ce moi qui est diffamation et péché crée, veut, valorise, donne ses
valeurs aux choses. Mon moi, est une fierté que j’enseigne aux gens ;
alors qu’ils cessent de cacher leurs têtes sous le sable, et qu’ils l’emportent
comme une nouvelle histoire et symbole de la terre, et du sens de la terre.
Nietzsche enseigne aux gens une nouvelle volonté : l’amour de leurs
chemins, la création, le meilleur jugement sur lui sans avoir à rompre comme
ces malades moribonds. Il y avaient là toujours, plusieurs de ces gens malades
qui créent et cherchent Dieu, et détestent tout chercheur de savoir. Ces hommes
forts qui ont fondé les intouchables institutions, imitant Dieu dans sa force,
et qui ont coupé toute respiration pour incriminer et punir le doute, symbole
du grand péché chez eux. Mais, écoutons la voix de nos corps qui est pure,
elle parle du sens de la terre. Cette terre et ces corps purs sont bien ce que
Nietzsche adore, ils sont la plus grande extase secrète de l’homme. Le moment
est venu pour annoncer sa légitimité et revendiquer son avoir. Il n’y a donc
pas de phénomènes moraux, mais seulement des interprétations morales 3 ; ainsi, les valeurs ne sont plus
absolues et sont en dehors de l’homme ; au contraire, l’homme en est le
créateur et l’investisseur.
L’homme avait renié la voix de son corps, et a
inventé contre ça des récits hypocrites et essoufflant que nul ne peut plus
supporter. Et cela s’est joué dans un jeu de pouvoir, et avait aussi une joie
que l’homme avait aimé et lui avait attribué des noms majestueux comme la chasteté,
la pitié ; mais ce jeu de pouvoir lui-même permet de changer les règles du
jeu ; l’homme se voit désormais volant comme un Dieu qui danse vers le
surhomme. C’est ce parcours que Nietzsche voyait venir au détriment de ces
mauvaises valeurs et c’est exactement là, le chemin de Foucault quand il parle
du pouvoir, des corps, de la résistance, des sujets, et des désirs.
Selon Nietzsche, Dieu est mort, il faut
maintenant que le surhomme puisse vivre, c’est la dernière volonté de
l’homme ; comme le grand astre, nous aimons la vie et tous les océans
profonds ; or tout ce qui est profond doit émerger au niveau de l’homme.
C’est que la vérité ne doit pas être dans les profondeurs, et elle ne l’est
pas ; le propre du surhomme est de la faire émerger là où se trouve
l’homme. Et ceux-là, les propriétaires des vertus et ses producteurs qui aiment
marchander l’homme, doivent accepter leur crépuscules et leurs disparitions.
Cela nécessite un courage inédit, c’est ce courage qui est le plus brave des
meurtriers ; le courage offensive ; et puisque l’homme est le plus
courageux, il a vaincu tous les animaux, et ce n’est qu’avec le bruit des
guerres que l’homme a dépassé ses douleurs. Or ce courage portait toujours le
risque de la mort, car dans tout courage, il y a danger de mort ; mais
malgré le sang qui y coule, l’homme n’a jamais cessé de s’insurger et
d’attaquer, et c’est bien la marque en lui du surhomme, elle est ce nouvel
humanisme qui règne dans notre monde contemporain et que Foucault a
voulu montrer. L’homme ne dépasse une belle passion que pour avoir une autre à
sa place, et c’est la marque du surhomme, c’est-à-dire l’homme voulant.
Depuis longtemps, l’homme négligeait les
petites choses, mais pour combien de temps doit-il encore se plier devant les
petitesses ? La vertu transforme l’homme en médiocrité, il devient l’homme
tout court, mais sa volonté de puissance persiste à l’offensive et
l’insurrection, et c’est pour ça que la guerre et la révolution étaient des
qualités humaines. Dieu était le pire des dangers pour l’homme qui n’a pu
apparaître qu’après avoir enterré Dieu ; maintenant, il est le surhomme
grâce à ça. Ainsi se réalisa la plus grande révolution que l’homme ait jamais
connu, une révolution beaucoup plus importante que celle appelée par Marx.
Nietzsche avait vu, qu’avant de penser à
n’importe quelle révolution, il faut d’abord envahir l’ordre de nos
problèmes ; cet ordre se trouve dans l’homme lui-même, dans son intérieur.
Les vertus et ses graves créateurs sont plus dangereux pour l’homme que n’importent
quelles autres choses ; et quand il s’en débarrasse, il peut se guérir de sa
lâcheté et récupérer sa souveraineté sur terre. Nietzsche ne fait ici que
récupérer ce qui était la différence des Grecs, c’est-à-dire la pensé de la
tragédie.
En fait le surhomme est survenu depuis que
l’homme est venu au monde ; et peut-être que son moment le plus fort était
celui où il a tué Dieu et a déclaré la guerre contre les valeurs. Nous voilà
maintenant devant le surhomme dans sa guerre contre un monde dominé par la
technique. C’est ce que Foucault voulait dire lorsqu’il fait comprendre que la
question qu’il faut poser ce n’est pas sur qui va reprendre l’ordre chez
l’humanité avec la succession des espèces, mais plutôt quel genre d’humain il
faut élever comme être qui va mériter ce futur. Ce genre est déjà venu, non
pas parce que c’est voulu, mais par pure coïncidence. On éduquait le contraire
de cet homme, parce qu’on le craignait.
Nietzsche était ferme au sujet de Dieu et des
religions, ces deux êtres qui devaient disparaître pour permettre à l’homme
sain de venir, or l’homme sain n’est pas celui qui est contre Dieu et la
religion, mais plutôt leur prédateur, leur déconstructeur, qui va donner son
mieux, l’homme régnant lui-même. On voit donc comment Nietzsche parle non pas
seulement de la mort de Dieu, mais d’une double mort, d’une mort
simultanée de Dieu et de l’homme. Mais si la mort de Dieu ne pose pas trop de
question et trop de peur, celle de l’homme se comprend très mal, comme cela
était le cas avec Foucault dans Les Mots et les Choses, or, chez
les deux, il s’agit de la même mort, sauf que chez Foucault, il y a une
description de cette mort à travers l’évolution des savoirs qui ont entraîné la
disparition de l’homme derrière l’être du langage.
Que reste-il alors de l’homme depuis qu’il
détruit la morale et devient lui-même le chercheur et l’objet de
recherche ? Et puisque l’homme est le créateur de la morale, il en est le
destructeur : le bon est ce qui provoque chez l’homme le sentiment de la
puissance, la volonté de puissance, la puissance elle-même. Le mauvais est ce
qui vient de la faiblesse. Le bonheur sera donc ce qui augmente et accroît la
puissance et le sentiment qu’un obstacle est en dépassement. C’est là, l’homme
qui disparaît pour donner en permanence l’homme voulu, de toute façon, cet
homme ne cesse d’apparaître. La mort de l’homme est une mort qui se renouvelle
interminablement, mais cette mort n’est que mort d’une idée métaphysique sur
l’homme, cette idée qui s’est construite dans le XVIIe siècle, et qui consiste
à dire que l’homme est une valeur absolue et sacrée, mais les sciences humaines
sont venues la contredire, il y a cependant un fil précieux et très fin entre
Foucault et Nietzsche.
Lorsque Nietzsche refuse la notion de progrès,
il veut dire par là que l’homme passe d’un état à un autre selon sa force
créateur et destructeur, cette force ne conduit pas forcément à un statut
meilleur par rapport à ce que prétend la religion ou ce que prétend Hegel, mais
elle le pousse vers la mutation sans que cela ne signifie une fin occulte
déterminée et planifiée préalablement ; chez Nietzsche il s’agit de
mutation et non pas de progrès ; regardez ! Je suis celui qui doit
toujours se surmonter, c’est-à-dire que l’homme est une énergie qui ne cesse d’exploser
dans tous les sens. La meilleur qualité chez l’homme, c’est cette volonté de
puissance, tout être humain est une volonté de puissance, cela implique dès le
début une réévaluation de la vie et de l’homme. C’est-à-dire reposer la
question des valeurs qu’on a souvent accordées à l’existence selon une nouvelle
perspective. On est appelé à refaire et à reconsidérer l’échelon des
interprétations, Nietzsche était le premier à faire cela : la liberté de
l’homme.
La volonté de puissance comme interprétation de
la vérité prend plusieurs dimensions, comme l’éternel retour et le surhomme,
cela réfute toute pensé et cause métaphysiques ; nous interprétons le
monde comme volonté de puissance, cette volonté n’existe pas en dehors de nous,
elle est liée à notre interprétation. La volonté de puissance dans son sens
général est la propriété de tout ce qui va devenir, aucune vérité ne se trouve
en soi, et ne reste jamais constante puisque toute chose devient selon sa
propre puissance. Etre une volonté de puissance signifie, n’être jamais
identique à soi, être plutôt emporté, poussé vers son extrême, l’existence est
toujours une existence vers le plus. La volonté de puissance est un processus
personnel, et puisque tout être est processus, alors il change selon sa propre
force qui le définit, seulement cette volonté ne prend aucun sens traditionnel,
c’est tout simplement cette force dans l’être à se réaliser.
Or l’homme est obligé de faire face à la vie
avec ses contradictions, de là la tragédie. Foucault prend au sérieux cette
qualité tragique de l’homme, mais il le fait en rapport avec la volonté de
savoir ; c’est à partir de ce rapport qu’on comprend sa théorie sur le
pouvoir.
La pensé allemande avait besoin de ce
secouement que Nietzsche avait fait ; en fait, la dialectique de Hegel
n’était pas suffisante pour enrichir la philosophie ni le matérialisme de
Feuerbach ; on avait besoin d’autres voix, plus farouche, rebelle et plein
de passion. Nietzsche considérait que la pensé allemande est responsable de ce
monde d’illusions 4 qui a entravé la vie
des hommes ; il était convaincu que les Allemands le comprendraient quand il
disait que la philosophie est corrompue par le sang du prêtre, et Kant en était
un exemple manifeste qui n’était pas trop différent à Luther ou Leibniz, les
trois étaient la plus grande atteinte à l’acuité allemande.
On comprend de la critique Nietzschéenne à la
pensé allemande 5, une révolution radicale du fait qu’elle a
voulu annoncer le crépuscule de tous les idoles, et du fait qu’elle a voulu
faire de l’homme le seul souverain sur terre, et donc responsable seul de
lui-même et de son devenir. Il doit faire face à la vie, et doit se déclarer le
créateur et le créé en même temps, c’est-à-dire l’existant fini qui doit mourir
pour créer, et c’est là, l’éternel retour. Nietzsche est allé jusqu’à prononcer
son grave verdict : l’histoire commence aujourd’hui même à midi, au moment
même de cette mort de Dieu. Cette philosophie offensive et incitatrice à la
création est bien celle que Foucault a adoptée, et c’est à partir d’elle qu’il
a regardé l’horizon de l’homme contemporain, présent dans la politique et par
la politique qui est sa principale condition, c’est un nouvel humanisme.
Si j’insiste sur la critique de Nietzsche à la
pensée allemande, c’est parce qu’elle est basique dans la formation de la
philosophie de Foucault ; en fait voici les éléments essentiels de cette critique :
1- Nietzsche refuse la philosophie allemande parce qu’elle n’a pas pu se
libérer de la pensé du Moyen Âge ; 2- il voyait dans la philosophie allemande un
vrai danger pour l’homme ; 3- en déclarant la mort de Dieu, il déclare la mort
conjointe de l’homme ; 4- il a refusé l’idée de l’homme négative ou transcendant
pour l’homme libre attaché à la terre, responsable de sa vie. Cela a permis à
Foucault d’élaborer son projet qui consiste à problématiser la vie de
l’homme ; il en a fait sa propre Ontologie qui ne compte que le présent.
Foucault a donc quitté l’humanisme classique
pour un humanisme critique, militant et acteur 6. On a beau dire que la philosophie de Foucault
est un anti-humanisme, mais ce n’était qu’une mauvaise lecture de cette
philosophie, Foucault ne parle pas d’une mort physique de l’homme, mais d’une
mort conceptuelle ; c’est une fausse idée sur l’homme qui a disparu. Par
contre l’homme effectif, celui du terrain, acteur et responsable de son
devenir, est l’homme réel, il n’a plus rien de transcendant, plus rien
d’absolu, il est au contraire le seul acteur. Paradoxalement, cet homme qu’on
vient à peine de découvrir est objet lui aussi des sciences, et par là même, il
doit disparaître comme valeur absolue pour être objet de sciences et de savoirs ;
il ne peut pas rester à la fois transcendant et objet de savoir, il faut alors
qu’il quitte son statut transcendant, mais garder sa souveraineté dans la vie
sociale, dans le champ politique. Et c’est bien pour cette raison
qu’on voit Foucault s’intéresser aux questions les directes de l’homme :
le pouvoir - la sexualité - la prison - la vérité - la morale - le savoir, etc.
Ainsi l’humanisme classique a cédé sa place à l’humanisme critique.
1-
Nietzsche F. : Ainsi parlait Zarathoustra, Gallimard, p. 9.
2-
Nietzsche F. : Ainsi parlait Zarathoustra, p. 157.
3-
Nietzsche F. : Par-delà bien et mal, Gallimard/Idées, p. 96.[1]
4- Nietzsche F. : L’Antéchrist, Gallimard/Idées, p.
13.
5- Nietzsche F. : Fragments
posthumes, 12. Trad. Hervier. Gallimard, 1978.
6- Dreyfus H. et Rabinow P. : Michel Foucault : un parcours philosophique, Gallimard, 1984.
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