L’Anarchie en deuil !
Cet écrivain connu en Espagne pour ces oeuvres littéraires sur l’Anarchie, était avant tout le biographe de la légende anarchiste espagnole, Buenaventura Durruti !
Sources : Libération du 26 avril 2009
Cinoque
Le Drapeau Noir
21 réactions à cet article
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Où est l’article ?
Pas même une nécrologie ?
C’est un peu court.
AGORA VOX accepte cela ???-
D’accord avec Pierrot. On ne fait pas un article avec quatre ou cinq mots et deux ou trois liens. Le sujet aurait demandé un développement plus long et plus personnel. Si tout le monde se met à faire comme cet auteur, autant basculer Agoravox sur Twittervox et on n’en parle plus. Un tel « article » (pffff…) qui n’a nécessité aucun effort ni aucun talent d’écriture n’aurait jamais dû paraître.
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@ Pierrot. Cool. Si vous cliquez plus haut dans l’anarchiste espagnol Abel Paz... souligné en rouge vous trouverez un lien très exhaustif.
Bien à vous.-
Pierrot, je vous soupçonne d’avoir une dent contre moi et de vouloir m’agacer ! Ça ne peut qu’être cela car vous n’êtes tout de même pas aussi idiot pour vous attendre à un roman de ma part. Si ?
Et comme l’écrit aussi bien Lediazec, il vous suffit de cliquer sur les liens que je mets à votre disposition pour trouver tout ce que vous souhaitez !
Bien à vous !
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à @ Obi,
Je n’ai rien contre vous, je ne vous connais pas.
J’étais habitué à trouver des articles, sur AGORAVOX,rédigés par un auteur (à mon avis il y avait matière) avec en illustration quelques liens.
Je pense que cette méthodologie est souhaitable et devrait être poursuivie par les auteurs.
Bonne journée -
Avec ça, j’ai oublié de féliciter l’auteur de ce dessin. El señor Camacho serait content en lisant les phylactères. Quand j’aurais un petit moment, j’écrirai succinctement les conditions dans lesquelles je fis la connaissance de monsieur Diego Camacho...
J’ai pour l’instant le coeur un peu lourd.-
l A narchie ( nan les jeux de mots )
appartient à la specificité
Dieu , tu m as cassé mon pot de vain !
Tu m as ainsi fermé la porte du plaisir .
C est moi qui bois , Seigneur , et c est toi qui est ivre !
Ma terre sur ta bouche !Est tu ivre , Dieu-
Lediazec, je vous remercie pour vos félicitations.
J’attends impatiemment un article de vous, nous expliquant les conditions dans lesquelles vous avez fait la connaissance de Diego Camacho. Mais ne tardez pas trop car il faut restez dans l’actualité.
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A Marsupilami : Cet article n’a peut-être pas suscité d’effort d’écriture comme vous dites, mais un effort de dessin oui.
Faut-il vraiment que j’admette que vous ne sachiez pas faire la différence entre les articles qui sont proposés sur AgoraVox et les dessins du jour !
Mais rassurez moi, vous savez bel et bien que vous êtes sur la rubrique des dessins du jour ici ?
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@ Obi
Un dessin se passe en principe de commentaires superfétatoires. Ceci dit je n’ai rien contre les anarchistes en général. Ce n’est pas le sujet qui fait problème, mais le format choisi pour le traiter. Le dessin aurait été bien mieux s’il avait pu se suffire à lui même : c’est l’âme même du dessin de presse. Allez, un petit clip de Durutti Columns pour atténuer ma critique ! -
Marsupilami, je vous remercie pour ce petit clip. La musique adoucie les mœurs dit-on !
Je vous remercie également pour la leçon que vous me donnez concernant le dessin de presse. Et ce que vous dites est juste. Néanmoins, le dessin en lui-même ne vous aurait pas suffit pour en savoir davantage sur cette info ou encore le personnage que je présente sur mon dessin. D’où le petit texte qui l’accompagne ainsi que les liens que je vous propose.
Ce dessin en lui-même n’aurait pas suffit pour enrichir la culture du lecteur.Je doute même que le lecteur en général connaissait cette info tellement elle n’a pas été ébruitée, ou même encore ce personnage d’Abel Paz.
Mais je suis ouvert au débat et toute opinion, même si cette dernière a uniquement pour but de vouloir me titiller un peu. Une critique non constructive en quelque sorte !
Bien à vous.
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Écoutez, je suis pris de court. Pardonnez les coquilles et autres imperfections. C’est du rapide, c’est émotionnel et donc maladroit et inachevé. Voici :
Par où commencer ? C’est tellement loin et complexe que parler d’Abel Paz c’est comme si nous parlions d’une autre vie. C’est comme si je vous disais que les martiens existent ou ont existé. Qu’ils sont en voie de disparition et que monsieur Abel Paz était un authentique représentant. Saviez-vous que presque tous les martiens sont anarchistes ? Saviez-vous ce que l’un d’eux disait à propos d’un idéal venu d’ailleurs pour calmer l’ardeur des récalcitrants ? Il disait ceci : « l’anarchie, bande de minables (il s’adressait à des gens très récalcitrants) n’est pas un système mais un comportement dans n’importe quel système. »
Bref, à l’époque où j’ai connu Abel Paz (ça remonte à loin) je logeais rue de La Tour d’Auvergne chez des réfugiés politiques espagnols (martiens eux aussi). Je ne savais ni lire ni écrire. Je venais de là-bas. De l’extrême sud. Du Maroc espagnol pour être précis. J’avais fait la rencontre d’un grand militant martien lui aussi décédé, Liberto Sarrau. C’est grâce à celui-ci que j’ai appris à lire et à écrire. D’abord l’espagnol, le français ensuite. Les martiens ont toujours considéré la culture comme indispensable à une certaine forme de bonheur. Chacun ses rêves. Les martiens n’ont jamais perdu espoir.
Un jour, alors que nous regagnions l’appartement de Joaquina Dorado, sa compagne, Liberto m’annonça la nouvelle : « Devine ? » Il aimait bien faire mariner ce catalan insoumis. Comme je donnais ma langue au chat, il finissait par dire : « Abel... Abel Paz ! » en se frottant les mains. Vicieux, il ajoutait : « Et tu sais qui sera là en sa compagnie ? » Ah, le vicieux ! Avec Mimi et Colette Durruti, la compagne et la fille de l’une des figures légendaires des martiens espagnols dont il venait de publier un livre.
J’ai passé un dimanche extraordinaire à écouter des histoires d’une autre planète. Il était né à Almeria, au pays des décors des westerns de Sergio Leone.
Ayant abandonné le militantisme, mais point la curiosité, ni certaines convictions, c’est par voie de presse que j’apprends sa mort.
Je sais que tu ne fumais pas. Si aujourd’hui tu arbores une cigarette devant dieu c’est histoire de l’envoyer valdinguer dans les cordes et d’adresser un clin d’oeil à Jacques Tati à qui on tente d’arracher sa pipe. Viva la Anarquía !
Et vivent les martiens !
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Lediazec, je suis très touché et ému par ce que vous venez de nous offrir comme explication. Merci beaucoup à vous. J’ai lu votre témoignage avec grand intérêt et émotion.
Voici un témoignage que je ne suis pas près d’oublier. Si vous souhaitez m’en parler davantage, n’hésitez pas à entrer en contact avec moi via mon blog, dont vous trouverez les coordonnées sur ma fiche de rédacteur d’AgoraVox.
Je dois vous avouer que cela me ferait très plaisir car ce sujet m’intéresse.Bien à vous et encore merci.
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Merci Lediazec, je me suis retrouvé parmi vous l’espace d’un instant , un instant fort !
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Un dessin ! , d un silence ...
de mil mots
en à l usage-
Est-ce bien toi le fameuxx LoL qui est parti de France pour s’installer en Croatie a ce que l’on dit ?!?
Si c’est le cas j’aurais deux ou trois mots a te dire ...
JJuDDaSS !!! -
Promis, j’irai faire un tour, mais je vous le dit tout net (façon de parler) j’espère qu’il n’est pas trop compliqué de s’inscrire chez vous. Je suis nul en informatique. Je ne sais que pianoter, et encore ! Quoi qu’il en soit, j’ai mis votre blog dans mon marque-pages...
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@ obi. Je suis allé faire un tour du côté de votre site, ai tenté de poster un petit commentaire, mais cela a coincé au niveau de la case « blog » (?).
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Lediazec, j’ai bien reçu votre commentaire sur le blog. Ne vous inquiétez pas. Merci à vous !
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