Balle au centre droit ou à droite ?
Près d'une semaine après les élections. La surprise : tout semble presque dans la poche. Une première pour la Belgique qui a des records de longévité en affaires courantes (ou coulantes).
Tous les présidents sont passés chez le roi.
En résumé, les principales conclusions que l'on peut en tirer :
- En Flandre, l'extrême-droite du Vlaamse Belang a progressé, mais la NVA reste en ligne
- En Wallonie, la droite du MR a pris le mord aux dents
- L'extrême-gauche du PTB fait une percée historique.
- Le PS a commencé sa première chute
- L'écologie fait grise mine.
- Un gouvernement régional Wallonie-Bruxelles et un gouvernement à la Chambre pour la Belgique, sans avoir des tractations à la recherche de compromis de longues durées.
- A Bruxelles, c'est moins clair. Il faudra "choser".
- Il n'y a plus de logique fédérale en fonction des familles politiques mais ce sont les extrêmes qui surprennent.
Il n'y a plus que des podcasts qui peuvent l'expliquer...
C'était le 9 juin en Belgique
Le grand champion des élections en Belgique, c'est l'abstention record où le vote est obligatoire.
La politologue Audrey Vandeleene en donne les raisons
.
J'en donne deux autres dans le temps qu'il a fait et le temps qu'il était.
- Le 9 juin, il a fait relativement beau
- Juin est un mois pendant lequel, les Belges prennent souvent des vacances après avoir touché le pécule de vacances.
En 2005, j'avais successivement une idée liée évidemment à l'informatique quand il fallait limiter l'utilisation du papier :
J'étais encore en service dans un environnement de développement dans le domaine du numérique cette époque-là.
Un domaine qui n'a rien de gauchisant.
Donc, quand on joue avec les chiffres et les montants, c'est toujours Woke de là
La politique fiction que j'avais commencé par "Elire par la fiction", le post-électoral continue avec la question "Quel Avenir pour la Belgique francophone ?"
Les Coulisses du pouvoir imagine Bert De Wever comme 1er ministre
Pour ce qui est de la popularité et de la championne est Sophie Wilmès du MR, ex-Première ministre libérale, élue députée européenne. Première ministre libérale, élue députée européenne, appelée Madame 543.000 voix.
Depuis juin 2020 – elle est alors Première ministre –, Sophie Wilmès est systématiquement arrivée en tête du hit-parade de popularité de notre Grand Baromètre trimestriel en Wallonie, soit à 17 reprises. Et treize fois à Bruxelles, se classant deuxième à quatre occasions. Un plébiscite quasi inédit malgré la discrétion de la libérale pour raisons familiales durant quasi deux ans. Et dimanche, cette popularité annoncée s’est transformée en 543.821 voix de préférence lors de l’élection du Parlement européen (tous les francophones ont pu voter pour elle). Un score inédit lui aussi : le précédent record francophone était détenu par Elio Di Rupo, 483.644 voix en 2004.
Et l'Europe dans tout cela ?
Un débat après le vote pour commencer
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Des graphiques pour continuer
...
Heureusement il y a l'humour belge
La plume de Thomas Gunzig grince un peu avec humour sur le papier
Et puis, il y le cactus qui comme tout le monde pique...
11 juin épisode 2 :
Ci-dessous, deux réflexions permettent de passer outre ses émotions.
Allusion
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