Les théâtres privés parisiens offrent des conditions de travail tellement pitoyables aux artistes, fraudent si massivement leurs déclarations aux assedics, pratiquent si bien le marchandage des cachets, recrutent avec si peu d’imagination, que leurs indigentes productions ne sont viables qu’à coups de pub. Vous participez à cette pub. Et de mauvaise grâce semble-t-il, car votre article n’est pas plus passionné que leur dramaturgie n’est misérable. Feydeau serait digne à la limite s’il n’était devenu la poule aux œufs d’or d’un théâtre de bourgeois fripés et inamovibles. Qu’a-t-on a f... des De Fougerolles, De Putzulu, De Balutin, mesdames De et Fils De ? Au fait, combien la place ?