Ancien résistant armé pendant la guerre 40/45 puis volontaire de guerre.
Ensuite PDG et administrateur d’entreprises moyennes actives dans le textile. Par la suite, après l’âge de 52 ans, actif dans le secteur immobilier.
Très intérssé par l’évolution de nos démocraties. Autres centre d’intérêts l’économie et la philosophie. Age actuel 83 ans. Nationalité belge.
Je suis belge, d’une famille émigrée d’origine allemande (dont je ne parle pas la langue) et ne comprend rien à tout ce verbiage qui me parait inutile.
Il y a toujours eu une langue universelle. Le grec, puis le latin (pendant presque 14 sciècles), puis l’italien (peu de temps), puis le français pendant longtemps. Qui se plaignait ? C’est indispensable sinon on tombe dans la Tour de Babel. Et c’est pratique. Qui s’est plaint que Frédéric II interdise l’allemend dans son université, l’enseignement devait se faire uniquement en français. Pour lui un universitaire ne parlant pas parfaitement le français était un être inutile. Et il avait raison.
Pourquoi crier et s’opposer. Cette « lingua franca » est venue toute seule. Personne ne l’a imposée. Rester avec son patois local uniquement (car toutes nos langues sont des patois) c’est bien, mais ne nous plaignons pas de ne pas être compris et donc inadmissible dans le cadre d’organismes humains qui ont besoin d’une seule langue rien que dans un souci évident d’efficacité. Dans certains organismes humains celui qui ne parle pas le français n’est aps accepté. Et c’est normal. Pourquoi écrire, s’énerver, lutter, quant il pleut et que nous voulons le soleil ? Cela ne sert à rien. Il pleut je prend un parapluie. Il fait froid je mets un pull (Oh horreur voilà un mot anglais) non un chandail, une petire laine.
Bien à vous mes amis français que j’adore car vous n’êtes jamais d’accord et c’est ça la vitalité de votre beau pays.
Je pense que nous ne nous sommes pas compris. Je ne vois rien dans mon texte qui indique que je suis un valet. Je ne m’incline devant rien sauf plus fort que moi.
J’ai simplement voulu montrer que le marché est une force intrinsèque à la société humaine, force qu’il faut juguler dans la mesure du possible mais qui peut ne pas pouvoir être maîtrisée.
L’expérience soviétique, qui devait un jour être tentée, malgré qu’elle fut menée d’une main de fer, a abondament prouvé que nier le marché, vouloir le domestiquer, est impossible.
Le pouvoir de nos hommes d’Etat pourra-t-il être suffisant pour arrêter la crise actuelle ? Je l’espère. Mais puisque je manque d’imgination pourquoi ne leur apportez-vous pas la solution ?
Tout ces commentaires sont très intéressants mais le résumé est simple.
Les groupes de pression existent. C’est eux qui nous dirigent. Nous citoyens n’avons rien à dire. Les politiciens nous laissent croire que oui alors qu’ils savent eux que tout se règle autrement que démocratiquement.
J’espère que nous sommes tous d’accord.