Le Mark allemand est la seule monnaie qui a un rapport entier avec l’Euro : 1 € = 2 DM. Les allemands ont prévu de se débarrasser de l’Euro depuis le début.
Et aux entreprises qui emploient des saisonniers de les payer au minimum sur une durée de 6 mois. Car elles aiment bien que ces employés dégagent au bout de 15 jours ou 2 mois et pouvoir compter sur eux pour l’année suivante. Entre temps c’est à la collectivité de les prendre en charge.
Tout à fait d’accord. La période actuelle est le recalage de l’économie vis à vis du pouvoir d’achat de la population active, population qui s’est amoindrie avec la crise.
Les dépenses publiques à crédit et la concentration des dépenses sur une économie à la mode ont caché la situation catastrophique de notre économie jusqu’à présent, cette économie à la mode ayant pour fournisseurs des entreprises étrangères.
Qui s’est inquiété de la disparition à grande échelle d’entreprises de plus de 500 salariés ?
C’est par l’inflation et le figeage des salaires que nous nous sommes fait voler notre pouvoir d’achat et nos économies.
Imaginez que les salaires aient suivi l’inflation : un smic à 4500 € !!!
Une déflation ?? La belle affaire pour les rentiers !
Il y a destruction de la valeur d’une monnaie lorsqu’il y a dilution de celle-ci, c’est à dire création de monnaie à partir de rien, ou comme il est dit actuellement « Quantitative easing ». En ce cas, comme au Mexique en 1976, chaque citoyen s’appauvrit d’autant car l’ensemble des prix intérieurs sont réajustés.
C’est pourtant la meilleur fiscalité qui puisse exister à l’exclusion de toute autre. Car une fiscalité sans contrôle c’est le favoritisme des tricheurs.
Dans le cas d’une dévaluation par rapport aux monnaies étrangères, les prix des produits importés sont d’autant augmentés et les prix des produits exportés, d’autant diminués. Ce problème n’existe pas pour une économie fermée aux échanges avec l’extérieur.
Un état n’a pas ce pouvoir de détruire de monnaie. La seule qu’il ait en son pouvoir de détruire, ce sont ses dettes.
En ce qui concerne notre situation actuelle, nous n’avons pas la possibilité de fuir dans les forêts, comme nos ancêtres les gaulois lors de la chute de Rome.