Le grotesque aurait été qu’il(s) s’en sorte(nt). Or là, il s’agit d’un chemin tout tracé vers une mort programmée et incite plutot, pour moi, à réfléchir sur le sens à donner à celle-ci. Comment l’aborder ? Dans quel état d’esprit ?
Et cela vaut pour chacun, car bien évidemment on ne va pas tous mourir dévorés par des loups, en Alaska. Mais on va tous mourir, ça c’est sûr. Comment aller à la rencontre de sa mort (quand on sent celle-ci arriver bien sûr), je trouve que c’est un bon sujet. Les loups ne sont qu’un prétexte...
Je pense en effet que l’on peut parler de fuite en avant. Cette idée fait réagir car elle est spectaculaire mais ce n’est évidemment pas une solution pérenne...