C’est à vous d’étayer ce que vous affirmez. Vous confondez l’époque de la création de la Fed avec sa structure actuelle.
« The Federal Reserve System (also the Federal Reserve ; informally The Fed) is the central banking system of the United States. Created in 1913 by the enactment of the Federal Reserve Act, it is a quasi-public (government entity with private components) banking system[1] composed of (1) the presidentially appointed Board of Governors of the Federal Reserve System in Washington, D.C. ; (2) the Federal Open Market Committee ; (3) 12 regional Federal Reserve Banks located in major cities throughout the nation acting as fiscal agents for the U.S. Treasury, each with its own nine-member board of directors ; (4) numerous private U.S. member banks, which subscribe to required amounts of non-transferable stock in their regional Federal Reserve Banks ; and (5) various advisory councils. As of 2008, Ben Bernanke serves as the Chairman of the Board of Governors of the Federal Reserve System. »
Attention à ne pas glisser vers la conspiranoïa zeigeilstienne, ultra-libertaire, c’est-à-dire financée par l’extrême extrême-droite américaine. Non la Fed n’est pas une banque privée malgré qu’une partie de son organigramme repose sur un secteur privé.
Arrêtons la folie, nous sommes entrain de démolir le peu de ce qu’il reste d’une Justice démocratique.
Non, il n’y a pas encore d’autres victimes que la présomption d’innocence de DSK. Il n’y aura une autre victime que quand un coupable sera confondu c’est-à-dire quand l’agression sera avérée et son auteur condamné. Pour l’instant, il n’y a qu’une plainte et une plaignante. Est-ce mépriser sa possible future condition de victime, que de le faire remarquer ? Rien ne sert de mettre en parallèle deux systèmes différents dans leur procédures respectives puisqu’ils sont basés sur les mêmes principes fondamentaux - millénaires, ils ne datent pas d’hier - dont la présomption d’innocence fait évidemment partie et dont le respect est réclamé par bon nombres d’américains eux-mêmes, au milieu d’une suite sans fin d’affaires expédiées sans garanties légales dignes de ce nom.
Est-ce si difficile que ça à comprendre ? Est-ce la présomption d’innocence une foutaise gênante pour la bonne marche de la Justice démocratique ? Devons-nous admettre qu’elle subisse le même sort que le principe de prescription des crimes et délits, durement malmené lui aussi ?