En effet... et votre confusion rappelle un peu le commentaire de Sollers suite aux dérives hôtelières de DSK : il avait diagnostiqué que Dominique avait payé de se prendre pour le « monarque républicain » à qui rien n’est interdit...
Mais rien d’américain, et rien de malade dans cette « démarche »... Sollers avait poursuivi en notant qu’il était très important de bien prêter attention aux femmes des gouvernants, leurs corps surtout, comment ils respirent, tout ça... La femme terrible de Ben-Ali par exemple, dont les sourcils justement pouvaient à eux seuls conter des décennies de geôle, ou l’étrange femme de Bachar...
Comparée à la Valérie, Carla, comme si de rien n’était, passerait facilement pour un enfant de chœur (un peu égaré quand même) : mais ce sein à cacher, et qu’on ne saurait voir, est plutôt un point faible de Hollande, et c’en est presque à regretter le temps royal de Ségolène... On la dirait revenue de tout la Valérie, blasée jusqu’au dernier kopeck, rien à espérer... Quant à sa gestuelle twittante, il est singulier qu’elle suit le schéma exact de l’exhibitionniste de base : tu veux voir ? Je vais te montrer... mais je veux pas... mais je veux quand même... (un impair est capable de tout).
Il y a encore un autre angle de lecture : Certes la peine de mort est déjà abolie depuis lurette, mais dans les années trente, Georges Bataille avait risqué un texte sur le Président de la République comme envers exact du Bourreau, et cela de par le fameux « droit de grâce » justement - car c’était bien lui, le Président, qui au moment de « l’abattage final », disposait de ce seul et dernier veto... Mais de par cette sacrée prérogative, il se révélait finalement étroitement complice d’un droit de mort sur... tout un chacun, le tueur en chef quoi.
euh... pour rappel, la Hongrie c’est du côté des églises grecques, là où sarx signifie la chair, la viande ; sarkizo = écorcher ; sarkos : le prêtre, l’homme chargé des abattages rituels... Marine le savait-elle, ou seulement son inconscient ? Poser ainsi la question de l’abattage rituel en France n’est autre que s’interroger directement sur la Pratique au sommet en fait...
Il y a comme ça parfois des syllabes qui voyagent toutes seules dans le temps... Voilà plus d’un siècle et demi que Nerval a écrit « Les Confidences de Nicolas ». Mais l’affaire devient nettement plus intrigante quand on sait que de son vrai nom il s’appelait bien : Gérard Labrunie . Et la rime est tellement riche, qu’il y aurait de quoi se pendre... Car Labrunie n’y est pas allé de main morte.