Je défends ici l’idée qu’accepter la censure de Wikileaks, au nom de la protection d’un quelconque secret, revient à accepter la mort de la presse libre.
Peu importe que ces données proviennent de piratages informatiques : elles sont là, et presque personne ne les remet en cause. Vous semblez croire qu’il existe deux types de journalisme : un journalisme propre, qui n’emploierait que des voies légitimes et officielles pour parvenir à ses fins, et un journalisme pirate qui se nourrirait de documents volés, de témoignages anonymes et autres moyens prétendûmment douteux. Mais lequel de ces deux journalismes, selon vous, est réellement « informateur » ? Est-ce celui qui se contente de ce qu’on veut bien lui dire, ou celui qui met son nez là où ne l’attendait pas ?
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