Les informations contradictoires se succèdent, il est difficle de savoir ce qu’il en est vraiment.
Ainsi, les dirigeants de l’usine ont affirmé que la classification de l’incident au niveau 4 par la Nuclear Regulatory Commission n’était qu’une rumeur :
Admettons que ce soit vrai, qu’il n’y ait en effet rien à craindre parce que le réacteur était à l’arrêt depuis avril.
Mais alors, cela pose une autre grave question : qu’est-ce qui se serait passé si cela n’avait pas été le cas ? En tous cas, cela fait deux fois en moins de trois mois que les protections d’une centrale nucléaire se trouvent gravement prises en défaut par une calamité naturelle.
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