Citoyen intéressé par les logiciels libres, les biens communs, la politique, le droit et l’économie.
À titre professionnel depuis Avril 1998, je fais partie de l’équipe de recherche en produits dérivés action de BNP Paribas.
Je fait partie du 1% des plus haut revenu mais l’affirmation « 46% des foyers n’en paient pas » est totalement fausse : ces 46% paient la TVA (qui rapporte plus de 3 fois plus que les impots directs), les taxes sur le carburant (qui rapporte un tiers de l’impot sur le revenu), les taxes locales et bien d’autres taxes non proportionnelles au revenu (et même souvent regressives).
Bref « pour éclairer le débat » il vaut mieux ignorer tes mensonges ehontés.
Je suis très surpris par le fait que l’achat de titres par un IFM soit de la création monétaire. Je pensais qu’en achetant des titres les IFM, comme les particuliers engagaient leur propre argent preexistant, quitte a ces derniers d’aller négocier un crédit classique en bonne et due forme pour faire "du levier".
Pouvez-vous donner un exemple concret ? Si le Credit Agricole achete une obligation Peugeot pour 1 millions d’euros l’argent est entierement crée ?
Mais la question est pourquoi utiliser des chiffres tres influençables pour analyser la situation du marché du travail (le chomage, tres psychologique) alors qu’on a des chiffres bien plus fiables et objectifs (taux d’emploi, payé ou pas payé, réalité comptable) ?
Je pense que c’est effectivement le cas, je n’arrive simplement pas a obtenir ces chiffres pour la France (ou les autres pays européens). J’ai demandé a l’INSEE qui ne m’a pas vraiment aidé dans sa réponse (contrairement au BLS - INSEE aux USA - qui m’a directement indiqué les bons fichiers). Toute aide bienvenue.
Les statistiques sur les "multi jobs" sont disponibles mais elles ne changent pas les données que j’ai utilisé, chaque personne est comptée une seule fois si elle travaille sur un ou plusieurs jobs.