« La disparition de cette spécialité serait un drame de santé publique pour les femmes. »
N’exagérons rien : un bouleversement, un gros changement, un dérangement, un changement d’habitudes, une gêne, ce que vous voulez, mais un drame de santé publique, jamais de la vie. La plupart des pays occidentaux n’ont pas cette spécialité de gynécologie médicale. Généralistes et obstétriciens se partagent le boulot selon les motifs, ainsi que les radiologues pour les échos. Il faut savoir qu’en campagne, de nombreux généralistes, femmes ou hommes, suivent des grossesses jusqu’au troisième trimestre, orientent les grossesses à risque vers les spécialistes ; il ne faut pas non plus faire de cette zone, certes intime et « mystérieuse », un monde à part du reste de la médecine.
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