re pierre
merci de ton commentaire. je crois qu’il nous oppose fortement que sur la forme. étant des êtres sensoriel comme tous le vivant nos sens ressentent en premier l’information et cela est irréversible. certains spécialistes comme Francesco Valéra pensent même que nos cellules communiquent entre elles.
mais que l’on en soit conscient ou que l’on pense comme tu l’écris être la continuité du libre arbitre que nous autorise dieu, ne change pas le déroulement de l’existence et la conscience que l’on peut en avoir. car la connaissance de l’absence de libre arbitre est le produit d’un résultat de mesure faite avec des outils dont humainement nous ne disposons pas pour mesurer les millisecondes, alors que nos ancètre l’avaient compris d’une autre manière que l’on ignore.
sa conscience fait seulement prendre la mesure que nous sommes acteurs de l’existence et non maitre de celle-ci, ce qui nous entraine, comme ceux qui l’avaient compris avant nous à développer la notion de pardon, ou la compréhension qu’en tout jugement il faut se préserver de l’excessif irréparable.
et dans notre société le sens du pardon à changé, c’est celui qui commet une faute qui demande pardon à celui à qui il a nuit, alors que celui à qui il a été nuit devrait pouvoir pardonner à celui qui lui nuit car ce dernier n’est que l’acteur d’un long processus dont il n’a pas conscience et dans lequel l’autre a un part obligatoire de participation. ce qui ne signifie pas qu’il n’y a pas de mesure a prendre pour supprimer la nuisance.
cordialement.
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