re olivier
nous sommes d’accord sur tout ; je traite seulement le problème à une échelle globale. tout ce que tu dis est juste au regard du niveau du citoyen qui vie les problèmes au quotidien, et qui est l’objet de pression de toutes sorte pour se faire exploiter y compris comme tu le dis au travers du crédit.
une de nos difficultés hormis celle de la pollution et de l« épuisement des ressources et l’abandon de l’état régulateur pour laisser les marchands libre de fixer les règles.
les citoyens ont tout confondu, État ils le voyaient presque comme une entité séparé d’eux, alors que l’État c’est eux, et il faut vraiment être cons pour aller confier son destin à ceux dont l’intérêt et de faire du fric avec le travail des autres. toutes les massent de monnaies qui forment les bulles financières ne servent en rien le développement de la prospérité.
le développement par l’investissement qui nécessite du crédit n’est pas plus productif que le crédit a la consommation que récupèrent les entreprises pour prospérer.
le choix du président n’est qu’une lutte dogmatique de préférence »entrepreneuriale" parce qu’il est l’homme du patronat. et qu’il veut organiser l’état comme une entreprise qui est nous le savons tous une organisation totalitaire, où la démocratie n’a pas sa place.
cordialement.
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