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Ornella Guyet s’appelle en réalité Marie-Anne Boutoleau, c’est un sous-marin en chasse contre les personnalités représentant un danger sérieux pour le système médiatique dominant actuel. Ces articles calomniateurs sur Asselineau, sa lamentable duplicité dans l’affaire Dedaj et maintenant ce papier sur Balme mérite que le public s’intéresse à une personne triée sur le volet pour participer à un important séminaire du Center for the Study of International Communications et de la George Washington University, et qui d’autre part fait ses piges dans des journaux comme Acrimed, Rebelyon (Morice s’en était fait le lamentable écho, mais est-ce innocent ?) ou Rue 89, ce qui lui permet d’avancer masquée.
Voici une synthèse sur les deux affaires précédentes :
http://bellaciao.org/fr/spip.php?article118190
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