Le sujet « démocratie populaire » peut-être à double sens : d’une part le gouvernement par le peuple, mais surtout le vocable qui désigne les pays ayant tenté un régime communiste : confié à des materialistes inspirés par la lutte des classes ayant en charge le bonheur de l’humanité, ils ont été capable d’inventer des dicatures sanguinaires qui figurent au rang des plus odieuses.
Ensuite, permettez de penser que le référendum, c’est comme la liberté de la presse : il ne s’use que si l’on ne s’en sert pas. Si les suisses consacre « trop » de temps à leurs votations, c’est que c’est possible.
Juste pour mémoire et pour rire : le dico en ligne du CNTRL ( CNRS ) ne connait pas « sociétal ». Mais on prend ce mot branché pour justifier de l’exclusion du champ référendaire ! Là encore, de qui se moque-t-on ?
Pour ce qui est de la loi Taubira, dès lors qu’elle occasionne un grand clivage dans la société, il est évident que donner la voix au peuple devient la seule solution vraiment démocratique pour une sortie de crise. L’avant dernier occupant de l’Elysée à trop joué pendant 5 ans à diviser les Français les uns contre les autres, le Président Normal pourrait rompre avec cette logique.
Je ne partage pas grand chose avec Monsieur Montebourg, sinon une partie de son diagnostic sur les institutions. Il a beau cracher dans la soupe, il la mange tout de même ...