Dans le monde du business, ceux qui sont « bien nés », ne subissent aucun échec.
Tout au plus des « déconvenues », qu’ils s’empressent de présenter comme des échecs afin de justifier les « mesures courageuses » qu’ils prendront à l’encontre de leur personnel.
Pour eux tout est tracé, formulé, mathématisé.
A chaque variation d’un petit indicateur on « punit » quelqu’un ...... d’autre.
Autre chose : ces gens représentent l’immense majorité des business-men.
Le premier échec, en définitive est d’être « mal né », et là il n’y a pas de contre-mesures.