Ecoutez ce qu’explique Roger Genet, directeur général de l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) devant les sénateurs :
« Avec l’ensemble des éléments dont nous disposons nous avons suffisamment d’arguments pour lever l’incertitude et estimer que le caractère cancérigène probable qui a été avancé par le CIRC n’est pas fondé ».