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Legestr glaz 16 avril 2021 14:25
Legestr glaz

@Fergus

Les publicités « fonctionnent » parce qu’elles « valorisent » un produit, même si cette valorisation est mensongère. Un industriel peut faire dire, à travers la publicité pour son produit, qu’il est extraordinaire, que c’est le meilleur du monde. C’est absolument autorisé. 

Les publicité fonctionnent de 2 façons : 
 Par leur contenu, la belle mise en image, le contexte évoqué.
 Par la répétition, ce que l’on appelle « l’effet de simple exposition ». 

Et si vous trouvez que mon parallèle entre la « vache qui rit », les « injections-vaccinales » et les masques est capillo-tracté, je voudrais juste attirer votre attention sur l’effet de simple exposition

Cet effet de simple exposition a été exploité à outrance par Joseph Goebbels dans sa célèbre formule (qui lui est attribuée sans certitude) : un mensonge répété 10 fois reste un mensonge, répété mille fois il devient une vérité. Ce même effet de simple exposition est aujourd’hui exploité pour mettre en avant « l’utilité » des masques et « l’efficacité » des « injections—vaccinales ». 

Parce qu’à la vérité, il n’existe pas d’étude qui montrent que les masques sont « utiles » en population générale pour éviter la propagation des virus respiratoires aérosols. C’est même l’inverse qui est vrai ! 
Et donc, comme dans la publicité de la « vache qui rit », l’effet de simple exposition permet de « valider » cette idée que, pour la vache qui rit, c’est un bon produit, que, pour les masques, ils sont utiles. 
Pour les injections-vaccinales il en va de même. Il faut se rendre à l’évidence : personne ne peut dire que ces injections vaccinales sont « efficaces » ou « sans danger ». Et la preuve nous l’avons sous les yeux : ces produits injectables pour lutter contre le SARS-COV2 ont reçu une « autorisation de mise sur le marché conditionnelle » ! Et une autorisation « conditionnelle » est accordée lorsque l’efficacité et/ou la non dangerosité du produit médicamenteux ne sont pas avérées.

C’est donc une certitude absolue : personne, ni en France, ni à l’UE, n’est en mesure d’affirmer que le contenu de ces injections est « efficace » et/ou « sans danger » ! Ces produits devront « nécessairement » être ré-évalués dans une année. 

Mais le rouleur compresseur des médias de masse fait en sorte que l’effet de simple exposition s’applique à ces injections vaccinales. Il n’est plus question de l’efficacité ou du danger, il est question : de leur disponibilité, de la tranche d’âge qui devra les recevoir, des personnes qui devront intervenir (médecins, vétérinaires) des lieux où cela se passera (« vaccinodromes » !). 

L’attention est totalement « détournée ». Cela s’appelle « l’effet de simple exposition ». L’effet de simple exposition permet de rejeter aux oubliettes la « réflexion » qui devrait avoir lieu ! C’est de la psychologie sociale Fergus, et cela fonctionne bien ! 
Pour les masques c’est le même processus qui a été utilisé : les médias, à l’unisson, ont mis en avant la « pénurie » de masques, « l’incompétence notoire du gouvernement », « l’absolue nécessité de pouvoir disposer de masques », etc, sans jamais mettre sur le devant de la scène leur « utilité » en population générale pour lutter contre les virus respiratoires aérosols ! Notre « réflexion » sur l’utilité de ces masques a été inhibée ! 
J’ai déjà mis en avant les preuves que des études scientifiques, de haut niveau, ne trouvaient aucun utilité aux masques en population générale, je n’y reviens pas.

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-pere-noel-et-les-masques-226713



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