@Philippe Huysmans, Complotologue
Concernant les vaccins ARNm et à vecteur viral, Il induit la production d’anticorps ciblés anti-spike, et non anti-nucléocapside qui sont ceux détectée par la sérologie d’infection.
référence https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.03.23.21254060v1.full-text
"The data demonstrate COVID-19 mRNA vaccines effectively induce spike
antigen specific IgG and IgA .... (l’article précise que la persistance dépend du type d’antigène, mais est reboostée lors de la seconde dose)
Le fait d’avoir vacciné au moment d’un rebond épidémique a effectivement été une prise de risque par les autorités, notamment du fait de l’affaiblissement immunitaire lors des tout premiers jours après l’injection. Il y a eu une sorte de course de vitesse entre certains pays pour arriver au plus vite à une large immunisation de la population -ces pays ont eu une décroissance de l’épidémie permettant la réouverture des activités— mais avec certains vaccins, il y a des lacunes contre les nouveaux variants.
L’expression « ne protège de rien selon les aveux mêmes des autorités » est une philippique mais cela ne correspond pas aux résultats de terrain, notamment chez nous la baisse de mortalité globale malgré le rebond épidémique de mars/avril, contrairement au pic de mortalité de l’an passé.
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