A Rennes, interdiction d’être de « droite » : les milices antifas veillent !
Rennes, préfecture de l'Ille-et-Vilaine. Autrefois charmante et paisible ville de province, qui faisait un peu penser à Varsovie quand on la parcourait l'été, de sa place de la République à la place St Anne, le Colombier, son parc du Thabor. C'était propre et bien fréquenté. C'était surtout une autre époque, avant la "parisianisation" de la ville, la flambée des prix de l'immobilier, l'arrivée massive de populations "diversifiées" déplacées de la région parisienne ou en provenance directe d'Afrique afin d'apporter une touche de "vivre-ensemble" à la (fausse) capitale bretonne. Aujourd'hui, ce mini-Paris, considéré comme une ville où il fait bon vivre par la propagande municipale, concentre les trafics de drogue en plein centre-ville, les exactions des "bandes de jeunes", la présence de migrants agressifs entretenus et soutenus et devient invivable.
Du coup, une bonne partie de sa population indigène se droitise. Marre des incivilités, de la délinquance, de la saleté des trottoirs etc. Le rassemblement national fait désormais des scores honorables à Rennes, et la droite classique vise la conquête de la mairie. Mais comme en Allemagne de l'est avant la chute du mur de Berlin, la police politique veille sur les lieux pour écraser dans l'oeuf toute contestation.
Ainsi, les militants de droite du journal l'étudiant libre s'était réunis dans un pub dénommé le Webb Ellis, en plein centre-ville, pour échanger et philosopher sur des sujets abordés par la convention de la droite. Pour bien faire comprendre que les opinions hostiles au libéralisme-libertaire n'ont rien à faire à Rennes, une section d'assaut des brigades Antifas a attaqué les participants à coups d'outillage, chaises volantes et surtout de gaz acides, ce qui a manqué de blesser grièvement aux yeux un jeune étudiant. Une scène d'une rare violence, courante à Rennes, où les miliciens rouges sévissent depuis des années.
Si certains condamnent ces exactions, elles sont peu développées au niveau national, malgré leur intensité. Pire que les gilets jaunes, on ne compte plus les dégradations et tabassages organisés par l'ultra-gauche, qui sert désormais de garde municipale à la mairie écolo-socialiste afin d'intimider l'opposition droitiste. Imaginez l'inverse, l'attaque de réunions de militants pro-migrants ou simplement de gauche par des nervis d'ultra-droite, et l'ouragan médiatique que cela provoquerait. En France, un type de gauche peut cogner sur un mec de droite sans trop s'inquiéter des conséquences : il a la morale politico-médiatique pour lui. L'inverse n'est pas vrai, comme l'a fort justement fait remarquer une commerçante de la place Saint-Anne jouxtant le bar démoli par les antifas.
Donc, tant qu'il n'y aura pas de morts les brutes gauchistes continueront leurs forfaits. C'est ainsi depuis au moins cinq ans, en témoigne l'attaque à la mitraillette(!) et à la peinture de l'ex-permanence du FN lors de la précédente élection municipale :
Votre narrateur avait eu l'occasion de dialoguer avec les militants FN de l'endroit et peut témoigner que contrairement à leurs assaillants, ils étaient loin d'être des nazis et des extrémistes. Contrairement aux antifas, ils venaient de milieux populaires et ouvriers.
Alors qui sont ces terroristes de gauche ? Pourquoi sont-ils timidement traqués par la police ? Qui les protège réellement ? La réponse est avant tout sociologique. Un nervis d'ultra-gauche, c'est souvent un gosse de riche : fils de notable franc-maçon, de prof de fac, de magistrat ou d'officier de police... On comprend la gêne occasionnée pour réprimer ces idéalistes de pacotille, qui se croient cultivés mais qui ne lisent pas et qui sont surtout incapables d'aller vers les autres, de débattre et de chercher à comprendre. Les antifas sont juste des fascistes rouges boutonneux.
Tout cela ne nous empêchera pas d'aller lire Valeurs Actuelles à la terrasse des cafés rennais, ou de tracter pour des candidats anti-système aux élections de mars prochain histoire d'énerver nos lascars tout de noir vêtu. Qu'on se le dise, le fascisme rouge ne passera pas à Rennes !
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