Affaire de chiffres : 2012, 2015, 2017... tout est là !
Un correspondant attire mon attention sur la différence du nombre d'inscrits entre le premier et le deuxième tour des élections départementales 2015, selon les informations du Ministère de l'intérieur lui-même. http://elections.interieur.gouv.fr/departementales-2015/FE.html. 44 694 326 inscrits au premier tour, contre 40 333 325 au second, soit un déficit de 2 361 001 en valeur compensée entre les deux.
![](http://www.agoravox.fr/local/cache-vignettes/L300xH78/messfamilial_01-cb470.jpg)
Perplexe, il écarte à juste titre l'hypothèse d'une augmentation accélérée de la mortalité ayant pour cause la politique de rigueur budgétaire menée par le gouvernement, puisque les listes ne sont pas modifiées entre les deux tours.
Il écarte de même l'idée selon laquelle, je le cite, ces chiffres sont "erronés" parce que le journaliste ou le typo avaient picolé. Je pense qu'il tire cette information qui semble fiable, du fait qu'il ne les a pas rencontrés au comptoir.
Reste donc son interrogation qui m'a déchiré : Une explication, ou même un début d’explication cohérent, seraient les bienvenus.
C'est à cela que vais essayer de répondre, avec les modestes moyens qui sont les miens.
Je crois que l'explication tient dans la différence elle-même : 2 361 001, que seule la numérologie est à même d'interpréter.
Je remarque que le premier chiffre : 2, est la somme des deux derniers à ne pas être nuls : 1+ 1, ce qui est déjà, en soi, intrigant. Il y a plus : les zéros sont précisément au nombre de 2 = 1+ 1, et 2 fois 3 donnent justement le 3e chiffre = 6.
C'est peut-être de ce côté là qu'il faudrait creuser.
2 représente évidemment F. Hollande et M. Valls, dont les noms, comme par hasard comportent chacun deux fois la lettre l .
Il est inutile d'insister sur la forte charge symbolique attachée au nombre zéro, qui est à peine un nombre, puisque ce sont les Arabes qui l'ont introduit : « sifr », passé chez nous par l'italien « zéfiro ».
Le plus étonnant dans l'affaire serait finalement que deux fois trois donnent six.
On plonge ici en plein mystère. Ne nous laissons pas décourager et sortons du cadre étroit de ces sèches données gouvernementales pour nous pencher sur les deux grandes dates du quinquennat, 2012 et 2017.
2012 : 1 élu, zéro (encore ! pure coïncidence ? ou anticipation ?), et 2 fois 1 qui donnent 2, ce 2 que l'on retrouve immédiatement comme pour faire la transition, dans... 2017 : le 2 obtenu précédemment avec lequel on repart, le zéro restant toujours là, avec insistance, jusqu'au bout, et la somme des 2 de ces deux dates( qui redonnent, ne l'oublions pas ! à elles deux les deux zéros), conduit à 6 auquel en ajoutant le dernier 1 on obtient 7, ce qui est un très mauvais signe.
Surtout que si l'on revient à 2015, ce n'est sans doute pas tordre les chiffres que de remarquer que tout est de nouveau, et déjà, là : le 2 du départ, le zéro, bien accroché, le 5+1 qui donne le 6 déjà rencontré, et confirmation de la mauvaise la mauvaise, très mauvaise tendance sous le signe du 2+5 qui redonnent le 7 de mauvais augure !
Chacun conclura ce qu'il voudra de cette analyse fine des chiffres, qu'il la prenne au sérieux ou non, - pour ma part je suis convaincu qu'ils n'annoncent rien de bon pour le principal intéressé.
Note : à moins que la remarque d'une correspondante à l'esprit avisé ne soit à prendre en compte, selon laquelle on a supprimé des inscrits, au second tour, les électeurs des binômes élus dès le premier. Ça n’empêche pas le style ministériel d’être plus que fumeux, et lamentablement risible !
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