Ah ! les syndicats
L'actualité nous éclaire sur le décalage entre syndicats et salariés.
Qui devrait se remettre en question ? Syndicats ou salariés ? Mais ....
Les nuits sont faites pour dormir. Les dimanches pour aller à la messe, manger la poule au pot et sortir en famille.
Mais si, avec quelques semblables, nous préférons vivre la nuit. Si certains, dont je fais partie, ne se rendent pas à l'office du dimanche, détestent la poule au pot et refusent les sorties familiales des fins de semaines. Doit-on stigmatiser cette minorité choisissant librement de travailler la nuit et (ou) le dimanche ? J'ai bien dit librement... Inutile de chercher une quelconque obligation ou esclavage.
Parce que nos jours de détentes sont différents des vôtres, nous voilà manipulés sans le savoir. Laissez moi rire ! Cessez de nous prendre pour des enfants qu'on doit guider par la main pour les garder du grand méchant loup.
Les causes d'un autre choix peuvent être différentes et sont toujours personnelles. Un minimum de liberté pour chaque individu, est-ce trop demander ?
De l'avis des syndicats, nous sommes exploités par ces salauds de patrons.
Obligés de venir faire nos heures de travail quand les autres s'affalent devant leurs télévisions avant leurs nuits réparatrices. Vont pédaler gaiement le long des pistes cyclables. Vont taquiner le goujon assis au bord de l'eau. Vont tapoter dans un ballon en vociférant.
Le rôle d'un syndicat ne serait-il pas de défendre aussi cette catégorie minoritaire que sont les travailleurs "décalés" et non de la stigmatiser (le mot à la mode) ? Quand je dis la défendre, je veux dire l'aider et non pas la défendre contre elle-même. Nous sommes adultes et responsables, inutile de nous mettre des bâtons dans les roues en prétendant détenir le savoir et la vérité.
Si telle est la demande de quelques uns, travailler Samedi, Dimanche et Lundi, pour ceux qui le peuvent et le souhaitent, au lieu de Lundi, Mardi, Mercredi, Jeudi et Vendredi pour un salaire équivalent. Voilà le genre de revendication non destructrice et qui pourrait peut-être satisfaire le plus grand nombre. Telles devraient être les demandes de ceux qui se disent représentants du personnel. Un peu plus de dialogue ne peut pas nuire.
Aujourd'hui, il serait opportun pour l'efficacité des syndicats d'oublier un peu l'idéologie au profit d'un réalisme plus pragmatique. Un renouvellement et une remise en question des effectifs pour bâtir un rapport de force constructif et pas seulement contestataire. Voilà l'avenir du vrai syndicalisme.
Vous voulez une place à la table des négociations : alors négociez avant de contester ! Soyez de vrais représentants du personnel. Laissez les idéologies et la politique, là n'est pas votre rôle.
38 réactions à cet article
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@ l’auteur : le jour où il ne restera plus que les syndicats pour assurer la paye de l’employé, non seulement il n’y aura plus d’employé(s), mais il n’y aura plus de syndicat(s), non plus !......N’oublions pas que les syndicats « officiels », sontv aussi « professionnels » !... Ils vivent de leur « job », comme chaque salarié !....Alors, qu’ils coupent bien toutes les branches, les unes après les autres !... Ils n’ont même pas compris que le jour où ils auront coupé la dernière, ils tomberont, eux-aussi !... Quel bande de « glands » !.......Adishatz.
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libre comme libéral ?
avec 5€/h tu es libre aussi ou avec 500€ par mois
libre de louer une cave habitable-
Rappel : un contrat de travail est un contrat de subordination. En clair : « je suis sous les ordres de mon employeur ».
La notion de volontariat dans le choix de travailler le dimanche ou pas est un leurre complet, si je ne suis pas volontaire, mon employeur trouvera toujours une façon de l’imposer.Donc à la demande de « quelques-uns » de travailler le dimanche, la majorité des travailleurs répond « allez vous faire voir, il y a trop de risque pour que cette porte ouverte permette à mon employeur de me l’imposer à moi qui ne le veut pas ! ».
Quand à ces « quelques-uns », seraient-ils toujours aussi motivés pour bosser le dimanche s’ils n’avaient pas un job à mi-temps imposé payé au smic horaire ?
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Dans toute les facettes d’une société, il y rapport de forces (2 individus suffisent). Celui qui accepte de signer un contrat avec un patron n’est pas forcément le dominé ou le perdant . Chacun doit faire son trou et se « démerder » le mieux possible selon ses possibilités.
Vous semblez préférer la domination syndicale à la domination patronale, c’est votre choix pas le mien. -
Bonjour, Donald.
Yobs a raison dans son analyse.
Peut-être faudra-t-il faire évoluer le droit du travail relativement au travail de soirée, de nuit et du dimanche. Mais jusqu’à preuve du contraire, la majorité des salariés sont hostiles à ces extensions, y compris chez Sephora ou Leroy-Merlin. Cela ne vaut évidemment pas dire qu’il n’y a pas de volontaires, mais encore une fois ils sont très minoritaires.
Pourquoi doit-on lutter contre ces extensions ? Tout simplement parce que le volontariat d’aujourd’hui serait l’obligation de demain, à l’image de ce qui s’est passé en Grande-Bretagne, les plus précaires n’ayant aucune possibilité de refuser le travail de nuit, et cela au détriment de leur vie de famille.
Ajoutons à cela que permettre à quelques magasins d’ouvrir, c’et la quasi certitude que, tôt ou tard, tous les commerces d’un même lieu seront ouverts pour ne pas se faire distancer par la concurrence. Avec des employés volontaires, à votre avis ?
Autre conséquence : les ouvertures tardive et dominicale, si elles se généralisaient, ne manqueraient d’avoir un impact sur les services publics de transport et de police, ainsi que sur les cafés et restaurants fonctionnant majoritairement avec les personnels des commerces ouverts. Tout cela encore une fois avec des employés volontaires, bien sûr.
Allez donc faire un tour en Alsace et vous constaterez que, quelques restaurants pour touristes mis à part, tout y est fermé le dimanche, et les Alsaciens n’en vivent pas plus mal, même s’il leur faut prévoir dès le samedi le pain du dimanche !
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La civilisation c’est de mettre des règles pour protéger les plus faibles... Sinon, on peut faire danser les hommes et les femmes « libres » jusqu’à la mort, il y a toujours des volontaires. Eh oui, on achève bien les chevaux...
http://fr.wikipedia.org/wiki/On_ach%C3%A8ve_bien_les_chevaux -
Bonjour, Ouvaton.
Eh oui ! Et les plus faible, ce sont précisément les précaires, ceux qui n’ont pas les moyens de s’opposer aux volontés patronales, même lorsqu’elles portent gravement atteinte à la vie de famille. C’est ainsi qu’à Londres les magasins Sainsbury restent ouverts la nuit, tenus par des indo-pakistanais ou des britanniques en grande difficulté économique qui n’ont pas d’autre solution pour survivre !
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@ Yobs : C’est bien que les « syndicats » veuillent jouer aux « défenseurs universels » !.... C’est SUPER !..... Ca leur donne l’impression d’exister !... Sauf que s’ils n’existent que si peu dans le monde « ouvrier », c’est simplement que s’ils avaient des « c........ » ils s’attaqueraient directement à ce qu’on appelle joliment et poliment les « CONVENTIONS COLLECTIVES » !... Et çà ils ne le feront jamais, simplement parce que c’est trop « compliqué » !.... J’y bosse moi, dans un magasin de « bricolage », pas une grande enseigne telle que casto ou autres !.... Dans les « conventions collectives » de mon entreprise, faut bosser le samedi, ce qui veut dire qu’on a JAMAIS 2 jours de repos CONSECUTIFS en semaine, et qu’on a droit à 15 jours de congès consécutifs MAXI !.....Pas 3 semaines !.. INTERDIT !... Jsuis de repos le vendredi et le dimanche....Ca fait 12 ans que ça dure.... Et moi, c’est mon cas personnel, mais j’en connais d’autres, moi j’aimerais avoir 2 jours consécutifs de repos par semaine !... Quitte à bosser le dimanche !... Etonni, na ???.. Et oui, j’aimerai aussi avoir 3 semaines de vacances....... J’aimerais tant !... Dommage, j’ai signé !... Et aucun syndicat pour s’occuper de mes problèmes !... Pas assez d’employés dans ma « petite boutique » !... Vous voyez bien !.. A chacun ses problèmes !...... Les gens qui sont ok pour bosser plus, bosser la nuit ou bosser le dimanche, c’est leur libre choix !... On les en empêche sous couvert de protéger tous les autres !.. Moi, mes problèmes tout le monde s’en fout !... Alors les « syndicats caca », comme disait coluche !.... Les syndicats aussi veulent survivre !.. Faut bien qu’ils fassent parler d’eux, sous peine de disparaitre !.... Du « cinéma », rien que du cinéma !... On les connait leurs « grandes causes » on les connait leurs « grands discours » !... C’est de la com !... De la mauvaise com !... Pendant ce temps, y’a des bosseurs et des bosseuses qui vont perdre des sous !... Merci les syndicats !.... Qu’ils aillent se faire voir !... Combien de « travailleurs » sont syndiqués ???.... Combien ???.... C’est bon !... Adishatz !....
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Chacun doit faire son trou et se « démerder » le mieux possible selon ses possibilités.
ça marche avec un flingue ?
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Ce ne sont pas les syndicats qui ont prononcé la fermeture de certains magasins le dimanche mais le tribunal de commerce.
Qui se prononce par rapport à la loi .
Donc vos propos anti syndicats sur ce sujet sont absurdes .
Le combat à mener est celui de changer la loi .-
Bonjour, Chantecler.
Vous avez raison de souligner qu’il s’git là de décisions de justice en application des textes législatifs existants. Soit on modifie les lois, soit on les fait respecter.
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Vous avez raison, mais la justice a été saisie par les syndicats qui déclarent, je cite « avoir gagné sur toute la ligne ».
Oui la loi doit changer.Oui les syndicats doivent aussi changer -
amis étudiants et futurs licenciés , demosthene et ses amis syndicalistes vont vous expliquer à la suite de ce commentaire, comment vous allez pouvoir vous en sortir ...
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cela me rappelle un pauvre boucher qui ne trouvait pas d’apprenti car maintenant il leur faut le samedi et le dimanche de libre
le pauvre-
Salut, Capitaine.
Le comble est que ces jeunes adorent tailler des bavettes ou draguer les tendrons !
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Les nuits sont faites pour dormir. Les dimanches pour aller à la messe, manger la poule au pot et sortir en famille.
Ce sont des principes qui nous ont permis de traverser les siècles, de faire de nous ce que nous sommes et vous croyez les ringardiser comme ça ?« Réalisme plus pragmatique » c’est la nouvelle tricherie sémantique pour dire libéralisme ?-
Salut Francesca.
Je mettrais un « s »à libéralisme...Comme Michéa .
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@soleilsérieux maintenant j’ai un doute................... -
salut Aita
michéa ? Promis, je m’y mets... -
« L’empire du moindre mal »...Poche chez « Champs essais »...
Tu comprendras pourquoi les gens de « gauche » lui tombent sur le rable en ce moment...
Meilleure critique de la gauche issue de la gauche ...
Pour dire ,l’est traité de facho ...
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Merci. Je sens que je l’aime dejà
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« 101 salariés du magasin Sephora des Champs-Elysées (VIIIe) ont assigné ce vendredi en référé les syndicats du commerce de Paris, qui ont obtenu en justice lundi la fermeture à 21 heures du parfumeur, propriété du groupe LVMH, au lieu de minuit ou une heure du matin »
Il est vrai que c’est dur pour ces pov’ syndicalistes de faire le bonheur des travailleurs de nos jours) ; .Tiens, à Florange, l’autre zozo médiatique, le porte voix du peuple, s’est fait un nouveau pote : Jojo la teinture -
Pov’Pasto, tu récites tes mantras tout seul comme un con, et tu es sourd et aveugle aux réalités de ce monde.
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Evidemment, pour Pasto, il y a 101 cons de salariés qui réclament de gagner plus et 1 syndicat supérieurement intelligent qui est pourtant en train de tuer leur boulot, au nom de celui qui veut toujours avoir raison sur les autres. Sache Dugland que les magasins Séphora ne vont pas très bien en ce moment et que ce genre de connerie risque de coûter fort cher en emploi. Mais ça tu t’en fous bien sûr comme tous les mecs bornés de gauche qui montrent chaque jour leur mépris pour les salariés du privé.
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VÉCU !
Avant 68 :les syndicats représentaient les salariés !
le délégué demandait audience au patron pour défendre un collègue.
depuis 68 : ils représentent une tendance politique dont ils sont le bras armé ! les problèmes propres à l’entreprise (sauf gros licenciements) sonr zappés-
Jeff a raison
Les syndicats surtout après 81 ont été phagocités par les différents Gouvernements eux mêmes Valets des LobbiesLes syndicats ont d’ailleurs perdu une grande majorité de leurs adhérents, et subventionnés par les deniers publics sont devenus dépendants du pouvoir en placeComment peut on ne pas voir ça d’un coup d’oeil ?Il y en a qui croient encore que leurs réels intérêts peuvent être défendus par leur syndicat - doit on rire ou pleurer ?
Les Valets ont une hiérarchie dirigée de mains de maitre par les multinationales qui utilisent les lobbies pour faire marcher droit leurs Valets -
Bonjour, Jef88.
Pas tout à fait exact : dès avant 68, les syndicats étaient des courroies de transmission, à l’image de la CGT dont les permanents dans les entreprises recevaient des directives de Montreuil, elles-mêmes relais d’orientations du Colonel-Fabien. Une CGT qui, depuis des années, a largement rompu le lien de dépendance.
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Taux de syndiqués ? rappelez moi
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Salut, Yohan.
Je te renvoie à la réponse que je viens de faire plus haut à Oncle Archibald. Ce qui compte, ce n’est pas le nombre de syndiqués, mais le taux de participation aux élections professionnelles. Ce taux est 63 % en France, ce qui n’est pas idéal, mais très loin de la désaffection dont on nous rebat les oreilles, et même plutôt remarquable quand on connaît les pressions exercées dans certaines entreprises
Ce taux est à rapprocher des taux de participation aux élections politiques, de même que le nombre des adhérents. Qui conteste les résultats des partis au motif que telle élection n’a réuni qu’une participation de 60 % ? Et qui conteste la légitimité des partis au motifs qu’il ne comptent que quelques dizaines de milliers d’adhérents, très loin derrière les syndicats ? Il faut être sérieux et objectif dans les analyses
Bonne journée
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Le travail dominical et de nuit est devenu un vrai fourbi. Pourquoi les musées et pas les magasins de bricolage ? Pourquoi les marchands de meubles et pas les vendeurs d’aspirateurs ? Pourquoi les restaurants et pas les coiffeurs ? Pourquoi les Champs-Elysées et pas le boulevard Haussmann ? Pourquoi Lille et pas Dijon ? Pourquoi la culture et pas le shopping ?
A force de dérogations et d’exceptions, on n’y comprend plus rien.
Pourquoi les syndicats de salariés ont-ils laissé faire si la santé des travailleurs les tracasse tant ? Pourquoi n’ont-ils rien dit quand il était encore temps ? Pourquoi trouvent-ils à redire à Séphora et Leroy Merlin et pas à la multitude de petits magasins qui restent ouverts partout là aussi au mépris de la réglementation ?
Ne me dites pas qu’ils sont plus intéressés par les retombées médiatiques que par la protection des salariés ? Ne me dites pas qu’ils font des coups pour exister et pas pour protéger les plus faibles ?...Allez, les syndicats de salariés de salariés dans ce pays sont une honte, indifférents à la détresse de ceux qu’ils prétendent aider, accrochés à leurs fauteuils et à leurs avantages comme des sangsues sur un corps malade. Pas étonnant que les salariés soient si déprimés et exploités chez nous, pas étonnant que le chômage explose, pas étonnant que les patrons aient la voie libre pour faire ce qu’ils veulent... Et qu’on ne me dise pas que c’est la faute des salariés qui ne veulent pas adhérer ! C’est le contraire. Et puis les syndicats sont subventionnés quoi qu’il arrive, alors pourquoi être efficace ?
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Bonjour, Zenzoé
« La multitude de petits magasins qui restent ouverts », écrivez-vous. A ce détail près qu’il s’agit de commerçants ou d’artisans patrons de leur boutique, et non de salariés contraints !
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C’est vrai Fergus - mais pas toujours, surtout pour les boutiques tenues par les Asiatiques d’après ce que j’ai pu voir à Paris où je vais souvent. Il est vrai aussi que les syndicats s’attaquent également à quelques petits supermarchés locaux, comme à Caen récemment, mais dans l’ensemble, les syndicats visent plutôt les grosses entreprises, et plus à mon avis pour se faire de la pub que pour le bien-être des salariés (c’était là où je voulais en venir en fait).
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@ Zenzoé.
Il y a beaucoup d’entorses à la loi dans les milieux commerciaux asiatiques où, de surcroît, on ne sait pas toujours pour qui travaillent effectivement les employés. Cela, j’ai pu le constater souvent lorsque j’habitais dans le 13e arrondissement de Paris, juste en bordure du Chinatown où vivaient plusieurs de mes amis.
Des syndicats ont-ils voulu se faire de la pub ? Pas sûr car les retombées ne sont pas forcément positives. Quoi qu’il en soit, ce débat permettra peut-être de sortir des polémiques sans fin par le biais de propositions de loi qui pourraient faire évoluer un texte datant de 1906 et manifestement en grande partie inadapté.
Bonne fin de journée.
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pourquoi Sarkozy a-t-il fait enterrer au plus vite le rapport Perruchot ?
comment se fait-il que les syndicalistes révolutionnaires subventionnés sans adhérents pris la main dans la caisse des caisses sociales des entreprises ne soient jamais jugés ?
pourquoi sont ils qualifiés de « partenaires sociaux » alors qu’ils ne représentent que 7.5% des salariés ?
pourquoi les syndicats révolutionnaires subventionnés des entreprises nationales prennent ils LACHEMENT les usagers en otages lors des grèves , notamment à la SNCF spécialiste ? et pourquoi le pouvoir ne les embastille-t-il pas à ces occasions ?
C’est bien le ministre Paul Ramadier ( socialiste ) qui a emprisonné Maurice Thorez le déserteur comme De Gaulle , ou jacques Duclos ?
s’ils n’étaient pas subventionnés à hauteur d’UN milliard annuel , les syndicats révolutionnaires communistes n’existeraient plus.....pas leurs grèves , ils font baisser le PIB et exaspèrent les gens qui ont à se déplacer alors que le pouvoir s’abstient de contrarier ces agents de la déconstruction nationale.....
par ailleurs , voir les syndicalistes incompétents gérants des caisses sociales (sécurité sociale, comités d’entreprise) , c’est se moquer du peuple : ça leur permet de manipuler l’argent DU public dont 15.5% de contributions sociales à leur guise.....donc pour la facture du clientélisme qui est le vrai nom du socialisme
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A http://www.bfmtv.com/societe/syndicats-beaucoup-d-argent-part-poches-personnelles-610326.html A lire pour aider mieux comprendre.
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Ahhh ! les syndicats ... s’ils n’était pas corrompu !!!
Lisez le nouveau livre de Roger Lenglet & Jean-Luc TOULY « Syndicat : Corruption, Dérives, Trahisons »
Les syndicats trahissent les travailleurs !
Il y des tabous les quelles il faut surtout pas toucher ... a savoir les sources de financement des syndicats, les vrais circuits. Aujourd’hui les cotisations ne représentent plus que 3% - 4% dans l’ensemble ! L’argent est ROI ... devinez d’où vient le reste de l’argent des syndicats ?
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les invisibles ils n’existent que pour eux même ces fiottes
même un député bosse + qu’eux c pour te dire-
Le prolétariat Français est exploité par les syndicats marxistes Français et paralysent toute adaptation de la France à la mondialisation !
Enfin, ils ne représentent qu’une toute petite minorité et font « chier » un maximum de travailleurs !
Quand va-t-on les « sortir » du jeu démocratique ?
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