Alerte météo, Nuit et brouillard sur toute l’Europe
ALERTE MÉTÉO MAXIMALE
NUIT ET BROUILLARD[1] SUR TOUTE L’EUROPE
Que faire pour sortir du drame actuel et de la camisole de force suicidaire qu’on veut nous imposer ?
Sous couvert d’une reprise saisonnière du Covid-19 et d’un nouvel engorgement des hôpitaux, artificiellement provoqué par une organisation d'insuffisance de moyens et non par des raisons sanitaires, la deuxième vague tant attendue est enfin là.
Mais c'est une deuxième vague de mesures martiales, de répression de toute vie normale (intimidation contre le rapprochement familial, couvre-feu, fermetures des commerces, menaces de reconfinement, etc…) sans véritable tension hospitalière.
Sous l’autorité pseudo-scientifique d’une honteuse manipulation médiatique des chiffres et des statistiques, le Biopouvoir[2] en place partout en Europe parvient à justifier des trains de mesures coercitives, absurdes, incohérentes et souvent contradictoires mais surtout disproportionnées pour lutter contre un ennemi invisible au prétexte d’assurer la vie et éviter l’hécatombe, Ceci par la peur panique de la mort, par la répression policière, par la « poursuite pour infractions ». Ces mesures martiales invoquées pour lutter contre un « ennemi invisible » sont prises, au prétexte d’assurer la vie et d’éviter l’hécatombe.
Tout cela en dépit des contestations médicales, scientifiques et qualifiées, qui s’amplifient dans le monde entier. Elles mettent notamment en cause « l’organisation d’insuffisance de moyens » poursuivie imperturbablement depuis la dite « première vague », sans en avoir tiré les enseignements salutaires !
Dans la situation dramatique de « confinement » policier qui se réinstalle partout en Europe, en invoquant une déclaration de guerre à un envahisseur sournois supposé venir de Chine, un « grand crime en série contre les peuples est en cours d’accomplissement ».
Un crime sanitaire et moral, contre la survie des plus faibles, résulte, par effet domino, en un crime socio-économique, contre la fragilité de nos petites entreprises et du « socle de tout notre savoir-faire unique au monde » ;
Un crime industrialo-économique et un crime financier, contre des pans entiers de nos ressources et de nos équilibres financiers ;
Un crime culturel, et enfin, un crime contre la famille, trésor sans égal de notre art de vivre, de nos valeurs et de nos libertés les plus sacrées : en un mot, de notre raison d’être et de nos moyens de survie[3] ».
Cette crise précisément aura apporté la preuve criminelle que les valeurs du Biopouvoir en place sont inverses de celles des peuples. Elle aura prouvé que quand le Biopouvoir dit vouloir « sauver des vies, quoi qu’il en coûte », cela signifie : quoi qu’il leur en coûte au service des intérêts des lobbys, jusqu’au sacrifice des plus faibles condamnés à mort sur l’autel de la course au trésor des vaccins.
« Au delà de la crise sanitaire en cours, de la crise sociale, économique et financière, qui est amorcée, avec la révélation de ce grand crime en série, résultant de l’allégeance aux lobbys, au mondialisme ultra-libéral et responsable de tant d’incompétences, de tant de pénuries, de tant d’organisation d’insuffisance de moyens, de tant de mensonges, de tant de ruines et de tant de victimes, pourquoi devrions-nous admettre durablement la camisole de force qui nous est imposée et jusqu’à la découverte fantasmée d’un vaccin miracle, porter ces masques, accepter cette distanciation sociale, cette perte de contact, ces barrières à perpétuité, cette mise à l’isolement[4] ? ».
Ce confinement meurtrier qui nous déshumanise, nous empêche de converser et fait de nous des victimes ? Victimes qui ne succomberont pas du coronavirus, mais à cause du coronavirus.
« C’est en effet maintenant ou jamais pour les peuples d’en finir avec la terreur du coronavirus entretenu, au nom de la Science[5], par les médias et des autorités sanitaires corrompues ; d’en finir avec son instrumentalisation à des fins inavouables, d’en finir avec son négationnisme criminel de la solution vaccinale attendue par tous, pour reprendre le cours normal de l’existence.[6] ».
« Le dernier mot ne doit pas rester au Mensonge, à la Violence et à cette peur de la Mort par laquelle que vous voudriez nous déposséder de nous-mêmes ; le dernier mot doit rester à la Vérité, à l’harmonie de la Nature des choses et à la Vie des forces de l’Esprit [7] ».
Bettembourg le 27 octobre 2020.
Jean-Pierre EUDIER,
Président LNPLV
[1] Nom de code des « directives sur la poursuite pour infractions contre le Reich ou contre les forces d’occupation dans les territoires occupés »
[2] https://www.ledevoir.com/societe/le-devoir-de-philo-histoire/581168/devoir-de-philo-le-biopouvoir-a-l-epreuve-de-la-vie
[3] Cf. « Réponse de la Nation, du 28 avril 2020, au Président de la République, Pour en finir avec le coronavirus et la peur : Ordre de Mission, Exit le Vaccin ! »
[4] Idem.
[5] « La démarche scientifique n'utilise pas le verbe croire ; la science se contente de proposer des modèles explicatifs provisoires de la réalité ; et elle est prête à les modifier dès qu'une information nouvelle apporte une contradiction. » Albert Jacquard.
[6] Cf. Réponse de la Nation du 28 avril 2020, op. cité
[7] Idem.
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